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ent à chaque instant soutenus et obligés par leur
appartenance
à un groupe défini, à un Ordre, ou comme on le disait au Moyen Âge, à
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eillant dans chacun de nos peuples le sens de son
appartenance
à un ensemble humain et spirituel qui dépasse largement la nation, no
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ou tics de langage font préférer régulièrement l’
appartenance
nationale à toute autre qualification (religieuse, idéologique, profe
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ental ou mondial) ; 3° à admettre une pluralité d’
appartenances
ou d’allégeances, conforme à la pluralité des activités humaines, aux
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ée plus haut. Il est assez facile de visualiser l’
appartenance
d’un élément à deux ou trois ensembles (dans mon cas : « Neuchâtel »,
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concevoir cette liberté (pluralité ou variété) d’
appartenances
démontre une déficience ou un retard d’éducation démocratique. (« Ce
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conformistes de chez eux, etc. Ce ne sont pas nos
appartenances
nationales qui nous diversifient vraiment, mais des écoles de pensée,