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des préjugés tenaces, et des pratiques qu’il nous
appartient
de dénoncer dans notre plan particulier. On parle beaucoup, par exemp
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tiative véritable, dans le domaine de la culture,
appartient
en fait aux petits groupes, à de petits exécutifs spécialisés. Il ser
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rs dépens ! C’est aux fédéralistes éprouvés qu’il
appartiendra
donc, durant les mois qui viennent, de mettre en valeur le côté posit
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sions, secrétariat et comités d’experts : il leur
appartient
, comme à nous, de donner suite pratique aux directives dégagées par c
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te est bientôt devenue poison. C’est à nous qu’il
appartient
donc d’inventer l’antidote de ce toxique et de créer un type nouveau
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œuvre à tel dogme politique régnant en URSS. Ceci
appartient
en effet à la définition de la culture soviétique, et il s’agirait de
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sirs concrets du peuple russe, ni aux nôtres. Ils
appartiennent
à une ère désormais dépassée par l’évolution historique, et dont les
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qui pourront être prises ailleurs, et qu’il vous
appartient
d’influencer, si toutefois vous parlez à temps. Deux mots sur l’histo
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écessaire. C’est donc au Livre et au Manuel qu’il
appartient
de combattre le mal qu’ils ont causé et de nous guérir de nos réflexe
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aleurs particulières de la culture à laquelle ils
appartiennent
, nourris de ces valeurs et y croyant pour l’essentiel ; mais égalemen
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poserait également pour chaque région. Il ne nous
appartient
pas de discuter ces problèmes dans le présent papier, qui ne veut qu’
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ux meneurs de jeu par colloque, et ils ne peuvent
appartenir
à la même spécialité. Et quant au contenu : seuls sont portés au prog
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férence se manifeste d’abord comme une erreur. Il
appartient
au bon maître de distinguer l’erreur due à la maladresse de l’« erreu
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dans laquelle il s’est formé. Roland de Lassus n’
appartient
ni à la Belgique, ni à la France, ni à l’Italie actuelles, de même qu
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sée que l’on observe dans le même temps, mais qui
appartiennent
à des ères différentes de l’histoire humaine, il y a béance. Et par e
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mais globalement nocive). C’est à l’Europe qu’il
appartient
de modifier ces conditions, et l’on ne voit pas de raisons d’espérer