1 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
1 — cas du Sud-Tyrol, du Jura bernois, du Guipuscoa basque ou de la Catalogne —, crises dont il est concevable qu’elles se résol
2 de Berne, mais aussi France avec ses Bretons, ses Basques , ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses Provençaux, ses Itali
2 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
3 langue catalane, aux Tyroliens du Haut-Adige, aux Basques de France et d’Espagne, aux Slovènes de la vallée d’Udine, mais aussi
4 re des minorités brimées (Sud-Tyrol, Val d’Aoste, Basques , etc.), séparant une métropole de son hinterland (Lille, Bâle, Genève
5 on, flamand, allemand, italien, occitan, catalan, basque , et naturellement le français, imposé comme seule langue officielle e
6 ’Espagne de la France ». En réalité on trouve des Basques des deux côtés de la chaîne, dans sa partie ouest, des Catalans des d
3 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
7 poussées autonomistes au pays de Galles, au Pays basque , en Catalogne ; et tous les phénomènes similaires actuellement étouff
8 tières de tous nos États, les exemples abondent : Basques et Catalans divisés par les Pyrénées ; régions de Bâle et de Genève b
9 e breton, le flamand, l’occitan, le provençal, le basque , l’italien, le catalan et l’allemand. Toute la géographie de nos manu
10 agnes sont habitées sur les deux versants par des Basques au nord-ouest et par des Catalans au sud-est, ou encore que le Rhin «
4 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
11 techniques vont servir à traquer les séparatistes basques ou ukrainiens, les houligans et autres Tupamaros, ceux qui les aident