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— cas du Sud-Tyrol, du Jura bernois, du Guipuscoa
basque
ou de la Catalogne —, crises dont il est concevable qu’elles se résol
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de Berne, mais aussi France avec ses Bretons, ses
Basques
, ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses Provençaux, ses Itali
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langue catalane, aux Tyroliens du Haut-Adige, aux
Basques
de France et d’Espagne, aux Slovènes de la vallée d’Udine, mais aussi
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re des minorités brimées (Sud-Tyrol, Val d’Aoste,
Basques
, etc.), séparant une métropole de son hinterland (Lille, Bâle, Genève
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on, flamand, allemand, italien, occitan, catalan,
basque
, et naturellement le français, imposé comme seule langue officielle e
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’Espagne de la France ». En réalité on trouve des
Basques
des deux côtés de la chaîne, dans sa partie ouest, des Catalans des d
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poussées autonomistes au pays de Galles, au Pays
basque
, en Catalogne ; et tous les phénomènes similaires actuellement étouff
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tières de tous nos États, les exemples abondent :
Basques
et Catalans divisés par les Pyrénées ; régions de Bâle et de Genève b
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e breton, le flamand, l’occitan, le provençal, le
basque
, l’italien, le catalan et l’allemand. Toute la géographie de nos manu
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agnes sont habitées sur les deux versants par des
Basques
au nord-ouest et par des Catalans au sud-est, ou encore que le Rhin «
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techniques vont servir à traquer les séparatistes
basques
ou ukrainiens, les houligans et autres Tupamaros, ceux qui les aident