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quels on pouvait demander au besoin des leçons de
belles
manières ou même de belles-lettres. La Russie occidentalisée a chang
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te et présente, Gallimard, 1949. Nous suivrons ce
beau
livre de très près et, sauf indication particulière, tous les passage
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hanges culturels et sportifs présentant… les plus
belles
réalisations de chaque pays. » 15. Envisager des « échanges d’étudian
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e ciel. Et souvent ils nous disent : « C’est trop
beau
! Comment peut-on travailler dans ce cadre ? » Nous essayons de leur
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e fasse ? Pour qu’on cesse d’en parler comme d’un
beau
rêve, alors qu’elle est une dure nécessité ? Pour qu’elle balaye les
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e à l’Europe, ci-après. 32. On lira plus loin le
bel
essai que nous donne sur ce grand sujet Stephen Spender. bh. Rougem
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e a paru un livre de lecture qui contient de fort
belles
pages sur l’Europe par Gonzague de Reynold. M. l’abbé Pfulg a demandé
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ont d’autres organismes pourraient s’inspirer. Ce
beau
rêve d’une Académie platonicienne — que tant d’autres ont fait depuis
9
u projet de CECA précisément, dans une préface au
bel
ouvrage d’Olivier Philip, Le Problème de l’union européenne, p. 10.
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oduire des ouvrages de qualité littéraire dans de
belles
éditions reliées et illustrées, et de les vendre directement au publi
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mini) vers le milieu du xve siècle… Il y a là un
beau
paradoxe historique, que nous ne pouvons que signaler dans cette brèv
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Angleterre, en Italie et en Espagne, rendrait un
beau
service à la cause de l’Europe. cb. Rougemont Denis de, « [Compte
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ier chapitre à lui seul vaudrait la lecture de ce
beau
livre. N’est-il pas remarquable que l’Espagne, pays de la périphérie
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ge de 17 ans, il pense devenir prêtre. Et puis un
beau
jour, au cours d’une promenade avec un de ses amis, il se découvre un
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et c’est un ami de la famille, le comte Zamoyski,
belle
figure de grand seigneur ascète et patriote, qui devient son tuteur v
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retrouvé Boni de Castellane. Ce grand dandy de la
Belle
Époque ne manque pas d’idées politiques originales. Il propose à Reti
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esse d’un Cafecl de la Marina où il trouverait de
belles
femmes nues, et seul Joseph Conrad lui fit tenir quelque argent. Comm
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une charge pour l’administration américaine. Il a
beau
déclarer qu’il est entré aux États-Unis avec 1500 dollars : comme la
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lairement. Puis il réunit tout son monde dans une
belle
salle, retourne s’asseoir à sa petite table, commande une fine à l’ea
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and Idéaliste selon les conventions. Ni grand, ni
beau
, ni blond, l’œil ironique, irascible, fumant à la chaîne, et d’une si
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paru de nous appuyer sur quelque chose qui existe
bel
et bien, et qui joue un rôle important dans la vie de chaque Européen
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éagisse contre lui avec le thomisme, ce serait un
beau
sujet d’études !) Or rien de tel ne s’est produit, autant que l’on sa
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lique : L’Europe peut nous tomber sur la tête un
beau
matin… vers 1985. La région dans le cadre européen, est une unité géo
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istes. Il n’y a pas là de problèmes sérieux. On a
beau
répéter que la musique ne connaît pas de frontières : d’une manière g
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res au terme des recherches « continentales » est
bel
et bien locale. Exemple : sauver le Léman suppose des recherches théo
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la langue maternelle par l’État national, lire le
beau
livre de Morvan Lebesque, Comment peut-on être Breton ?, Paris, 1970
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écologistes, quelque chose qui est là parmi nous,
bel
et bien là, et qui est la Question du siècle, une question pure, béan
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119. Mut zur Utopie, Munich, 1969, bon livre au
beau
titre si malencontreusement traduit en français par Réflexions au bor
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terreur permanente au sein de la paix des lâches.
Beaux
résultats ! Brillante gestion ! Mais qui était le gérant ? L’État-nat
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gravité du regard… » Je suis persuadé que dans ce
beau
volume je vais trouver quelques exemples intéressants de semblables…