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an fédéraliste s’est épuisé, puisque plus rien ne
bouge
apparemment. Le fait est que cet élan vient de rencontrer des résista
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ntre-poussée qu’il provoque. Si l’on ne voit rien
bouger
pour le moment, on se tromperait en jugeant que la lutte a cessé ou q
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omme la patrie du conservatisme — « rira bien qui
bougera
le dernier ! » serait sa devise — ce petit livre incisif traduit le g
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se ; elle attend encore sa « relance ». L’opinion
bouge
, la jeunesse bouge, le danger croît, mais les parlements restent cois
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core sa « relance ». L’opinion bouge, la jeunesse
bouge
, le danger croît, mais les parlements restent cois. Suez et Budapest
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sez au noir. » J’avais compris ! Mais comme je ne
bougeais
pas, il ajouta : « Ne pensez plus à ce que vous faites de vos mains,
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dent a-t-elle un sens, quand l’Occident change et
bouge
tout le temps et de plus en plus vite, et sans toujours savoir où il
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u du navet communautaire… Et pourtant, rien ne
bouge
: pourquoi ? Mais s’il en est ainsi des motifs de l’union, s’ils s