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de gauche, je lis ceci : Sur les murs des villes
bretonnes
, des affichettes jaunes clament : « La Bretagne crève ! Pas d’emplois
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agne, canton de Berne, mais aussi France avec ses
Bretons
, ses Basques, ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses Provença
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fèrent mendier des subventions à Paris. Voyez les
Bretons
, qui votent gaulliste. » « Les conflits entre les régions seront forc
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st pas une entité économique viable. Et qui parle
breton
à Rennes ? » « Les ethnies et les économies ne coïncident presque jam
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nes de la vallée d’Udine, mais aussi aux Gallois,
Bretons
, Occitans, Sorabes, Croates du Burgenland, etc. La répression de la l
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es de la France actuelle, on parle huit langues :
breton
, flamand, allemand, italien, occitan, catalan, basque, et naturelleme
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au livre de Morvan Lebesque, Comment peut-on être
Breton
?, Paris, 1970 chap. sur « La Parole assassinée ». 109. Henri Schwam
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r la plupart des langues non françaises, comme le
breton
, le flamand, l’occitan, le provençal, le basque, l’italien, le catala
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s a dissous son armée). Pourquoi, dans ce cas, un
Breton
(ou un Sicilien, ou un Écossais ou un Flamand) devrait-il continuer à