1 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
1 de gauche, je lis ceci : Sur les murs des villes bretonnes , des affichettes jaunes clament : « La Bretagne crève ! Pas d’emplois
2 agne, canton de Berne, mais aussi France avec ses Bretons , ses Basques, ses Catalans, ses Alsaciens, ses Flamands, ses Provença
2 1970, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
3 fèrent mendier des subventions à Paris. Voyez les Bretons , qui votent gaulliste. » « Les conflits entre les régions seront forc
4 st pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes ? » « Les ethnies et les économies ne coïncident presque jam
3 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
5 nes de la vallée d’Udine, mais aussi aux Gallois, Bretons , Occitans, Sorabes, Croates du Burgenland, etc. La répression de la l
6 es de la France actuelle, on parle huit langues : breton , flamand, allemand, italien, occitan, catalan, basque, et naturelleme
7 au livre de Morvan Lebesque, Comment peut-on être Breton  ?, Paris, 1970 chap. sur « La Parole assassinée ». 109. Henri Schwam
4 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
8 r la plupart des langues non françaises, comme le breton , le flamand, l’occitan, le provençal, le basque, l’italien, le catala
5 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
9 s a dissous son armée). Pourquoi, dans ce cas, un Breton (ou un Sicilien, ou un Écossais ou un Flamand) devrait-il continuer à