1
rvice d’une cause qui se confond aujourd’hui avec
celle
des hommes libres. Car en fin de compte, pourquoi faut-il sauver l’Eu
2
ormalement d’autre chose. Le Centre veut grouper
ceux
qui sont responsables dans leur domaine particulier. Les créateurs et
3
ne particulier. Les créateurs et les initiateurs.
Ceux
qui se sont montrés capables, par conviction et par conscience profes
4
aux intéressés, dans le double sens de ce terme :
ceux
qui jugent que le Centre peut utilement servir les vrais intérêts de
5
ur disposition des instruments de fédération ; et
ceux
qui approuvent nos buts, veulent suivre nos efforts, et cherchaient u
6
re part. Quelques milliers d’hommes et de femmes,
ceux
qui sont réveillés, dans chacun de nos pays. Un lien et une corres
7
igence ; d’ordre technique autant que spirituel :
celle
d’offrir un organe commun aux diverses associations qui se sont const
8
sont constituées sous les auspices du Centre, et
celle
d’entretenir en permanence des contacts, un échange vivant avec ceux
9
n permanence des contacts, un échange vivant avec
ceux
qui ont à cœur le sort de notre Europe, et qui se demandent ce que l’
10
ctivités. On excusera peut-être leur sécheresse :
celle
de bulletins écrits dans le feu de l’action. Pour élargir cette œuvre
11
oute espèce. Nous en appelons aussi aux isolés, à
ceux
qui refusent l’engagement partisan, qui se méfient des plans et deman
12
, qui se méfient des plans et demandent à voir, à
ceux
enfin qui dans leur solitude, de plus en plus menacée de tous côtés,
13
opéens s’est divisée en « cultures nationales » ;
celles
-ci se sont voulues ou crues indépendantes les unes des autres, à l’im
14
d’autre part, presque automatiquement, favoriser
ceux
qui ne gênent personne, ceux qui font le moins peur aux fonctionnaire
15
tiquement, favoriser ceux qui ne gênent personne,
ceux
qui font le moins peur aux fonctionnaires, ceux qui, en un mot, ont l
16
, ceux qui font le moins peur aux fonctionnaires,
ceux
qui, en un mot, ont l’âme naturellement officielle. Si l’on veut que
17
chez nous, ce sera notre faute encore, autant que
celle
des USA. Les digests, que nous lisons par millions, ne sont tout de m
18
le choix de plusieurs thèmes d’activité, retenir
celui
qui semblait avoir des chances d’intéresser l’argent américain, et re
19
es d’intéresser l’argent américain, et renoncer à
ceux
qui intéresseraient l’Europe et les vrais moyens de l’unir. Inverseme
20
echerches. b) Les représentants de l’Amérique et
ceux
de l’Europe doivent être choisis au même niveau de culture et de resp
21
l’Europe devient de plus en plus actuel, et tous
ceux
dont la réflexion dépasse le plan des expédients politiques et milita
22
urope. Tout le problème européen se ramène donc à
celui
de l’accès des masses à la culture (définie largement comme je l’ai f
23
part de nos pays, peut indiquer la solution. Pour
ceux
qui en ont le besoin réel (même inconscient) mais ne savent pas où la
24
blic de lecteurs dix ou vingt fois plus vaste que
celui
que touchaient les libraires.) 5. La jeunesse montre peu d’intérêt po
25
parmi toutes les tâches possibles et imaginables
celles
-là seules qui nous paraissent urgentes et susceptibles de solutions p
26
st nécessairement plus lente et plus prudente que
celle
d’un organisme privé. De plus, leur secrétariat ne dispose pas d’un o
27
EC a son rôle à jouer, bien nettement distinct de
celui
des autres organismes existants. Bien ou mal, il est le seul à tenter
28
ère plus ou moins dépendant d’un autre ministère (
celui
des Finances, par exemple) et contrôlé par la majorité d’un parlement
29
un budget annuel de 9 millions de dollars, comme
celui
de l’Unesco, est gigantesque. Au regard des tâches mondiales que l’Un
30
lui-même à des pressions d’un ordre différent de
celui
de la culture. Il suppose certes des liaisons multipliées entre foyer
31
les « planifier » sur une échelle qui n’est plus
celle
du rayonnement normal et sensible des foyers de base. Fédérer dans le
32
s unies, soit comme nous le pensons préférable, à
celle
du Conseil de l’Europe ? Les tâches normales de l’État en général. Tâ
33
ter que ces méthodes éminemment fédéralistes sont
celles
que nous avons adoptées dès le départ au CEC, et que nous n’en parlon
34
dente figurent à tous les répertoires, tandis que
celles
des compositeurs de la jeune génération sont presque uniquement jouée
35
’en représente pas moins un très sérieux danger :
celui
de la confusion, précisément. Mais nous gardons sur elle un avantage
36
neuf accusés d’assassinat et l’emprisonnement de
ceux
que l’on venait de décorer pour délation, la répétition fréquente du
37
tiellement atteint par la Russie, à peu de frais.
Ceux
des Européens qui partageaient le point de vue de M. Vychinski, à sav
38
e militaire, va se trouver rapidement neutralisé.
Ceux
qui ne voulaient prendre au sérieux (en Europe comme en Amérique) que
39
s fédéralistes ? Que pouvons-nous y gagner ? Tous
ceux
que de mauvaises raisons amenaient parfois à nos côtés, vont nous qui
40
ce, entre la situation de départ de l’Amérique et
celle
de notre Europe en formation. Dans la mesure où les mêmes causes sont
41
éricains, mais sur les seuls Européens — sur tous
ceux
qui n’ont pas compris qu’ils sont Européens, bon gré mal gré. Voilà c
42
n’ont jamais sauvé les « races incrédules », car
celles
-ci les transforment en catastrophes. La condition première d’un redre
43
il convient de l’accepter, même incomplet. Tous
ceux
qui ont distingué que le maximum, qui est la fédération de nos vingt
44
s : la Communauté des Six n’est qu’une étape vers
celle
des Quinze, et risque de n’être pas atteinte si l’on en fait un but e
45
e la vie européenne, domaines débordant largement
celui
de la culture au sens technique du mot. Nous y travaillons. ⁂ En tan
46
on apparente entre l’exigence d’unir nos pays, et
celle
de sauvegarder les diversités qui ont fait la richesse de l’Europe, e
47
uble défi qu’affronteront plusieurs de nos pays :
celui
de passer du régime colonial à l’association dans l’égalité, et celui
48
égime colonial à l’association dans l’égalité, et
celui
de compenser la perte de nos positions économiques dans le monde, la
49
mauvaise éducation historique de l’opinion et de
ceux
qui disent la représenter. À cause de l’absence d’une conscience comm
50
à… — À quel danger pensez-vous donc ? — Non pas à
celui
qu’il y ait deux ou plusieurs centres concurrents, mais à celui qu’il
51
ait deux ou plusieurs centres concurrents, mais à
celui
qu’il n’en existe plus même un. — Que voulez-vous dire ? — Il est sai
52
oup. Des projets ont été formulés, parmi lesquels
celui
d’une Communauté politique qui doit et peut passer prochainement au p
53
hine de guerre ; qu’elle serait soutenue même par
ceux
qui ne désirent pas y participer (les Anglais) ; et qu’enfin son heur
54
aux Français d’abord qu’on voudrait s’adresser, à
ceux
qui sentiront l’amitié d’un appel trop angoissé pour ménager ses term
55
ute tentative de révision du Pacte fédéral, comme
celle
de 1832, se voyait repoussée à la fois par la gauche, qui lui reproch
56
cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour
ceux
qui en sont victimes, de s’adapter aux réalités changeantes du siècle
57
sur fictive.) C’est ainsi que l’on doit rassurer
ceux
qui tremblent, disent-ils, de voir leur patrie « se perdre dans la ma
58
ctions. Cette conception courante de l’action est
celle
des hommes qui n’agissent pas eux-mêmes, ou qui n’ont pas assez réflé
59
1955)u Fédérer l’Europe semble une utopie pour
ceux
qui n’ont pas vu que c’est une nécessité. Pour nous qui l’avons vu, c
60
es moyens d’expression et des appuis techniques à
ceux
qui « pensent l’Europe » ; d’autre part, en contribuant aux efforts e
61
éponse ne vaut que pour le chercheur occasionnel.
Celui
qui cherche une place, s’il en trouve une très bonne, il cessera de m
62
ant des siècles. Elle est encore, à notre époque,
celle
qu’on imite partout, même quand on la combat. Elle est donc encore la
63
s les techniques qui avaient assuré sa puissance.
Ceux
qu’elle a exploités et opprimés retournent contre elle les idéaux de
64
s cela n’empêche pas des fractions importantes de
ceux
qui prétendent parler pour l’opinion, et qui disposent des moyens néc
65
de ralliement et un foyer d’initiatives pour tous
ceux
qui ont compris que l’Europe doit s’unir, mais que le développement d
66
er, en vue d’une grande tâche historique, qui est
celle
de cette génération. La force dont ils auront besoin est certes d’ord
67
ture, et de rassembler autour d’un grand projet —
celui
d’une Fondation à l’échelle européenne — des hommes qui s’étaient sig
68
teurs ? Du côté russe, la chose est claire : tous
ceux
qui parleront le feront au nom de Moscou et des principes fixés par l
69
tuelles ne présente qu’un seul danger pour nous :
celui
de nous rendre une bonne conscience purement relative, paralysant la
70
et quelle discipline de pensée se voit exigée de
ceux
qui parlent. Mais qui sait si cette discipline ne deviendrait pas, qu
71
utoniques, et préférant la domination des Khans à
celle
du pape de Rome, deviendra l’un des héros et des saints les plus popu
72
e siècle : phénomène à certains égards inverse de
celui
de la Réforme en Occident.) La rupture de plus en plus profonde entre
73
les plus puissantes et les plus contradictoires :
celle
de la France et celle de l’Allemagne. L’influence française, puissa
74
les plus contradictoires : celle de la France et
celle
de l’Allemagne. L’influence française, puissante entre toutes, au x
75
tants les plus illustres. La peinture russe, même
celle
qui, en la personne d’un Ivanov, d’un Sourikov ou d’un Wroubel, est r
76
s lettres européennes, de noms plus européens que
ceux
de Dostoïevski et de Tolstoï, et l’esprit dans lequel un Tourgueniev
77
a culture russe pendant tout le xix e siècle sera
celui
des occidentalistes et des slavophiles : or il est entièrement centré
78
vec mélancolie son passé obscur et fragmentaire à
celui
infiniment plus riche et plus glorieux de l’Occident. Ses vues sur l’
79
ation du destin russe en tout point différente de
celle
dont Pétersbourg et l’Empire semblaient avoir donné une fois pour tou
80
à la discussion, mais un dogme, et désormais tous
ceux
qui n’acceptaient pas ce dogme, et, par exemple, les partisans de Lam
81
e de « gauche » paraît ainsi plus totalitaire que
celle
de l’État. « La censure tsariste, écrit Isaiah Berlin, imposait le si
82
russes, et à la vie artistique de l’Occident qu’à
celle
de la Russie. Les discussions sur l’Orient et l’Occident, sur la Russ
83
de l’Occident ne faisait, du reste, que seconder
celle
de la Russie. L’étude du Moyen Âge occidental éclaira d’un jour nouve
84
de la peinture française moderne rendit possible
celle
des icônes. Rien de ce qui fut compris, rien de ce qui fut créé à cet
85
s un état de malaise social et spirituel profond,
celui
que dépeignent les œuvres de Bounine, de Sologoub, de Biély et d’Alex
86
Cette sorte d’attaque nous est connue… Toutefois,
ceux
qui prendront connaissance de l’histoire de notre pays… pourront voir
87
ance, de la Grande-Bretagne et des États-Unis » —
ceux
qui n’affectent pas « le régime intérieur de tels ou tels États ». On
88
ères ; sept, au libre échange des idées ; cinq, à
celui
des personnes. …Mais les seules barrières que le gouvernement soviéti
89
lent partiellement acceptés. Je souligne que tous
ceux
qui concernent le libre-échange d’idées, de nouvelles, d’informations
90
logiques américaines. Ce vœu se trouve être aussi
celui
de beaucoup de chercheurs européens. Voici donc une convergence des b
91
savoir si la méthode elle-même est la meilleure.
Ceux
qui pensent surtout au succès de la CECA répondent oui, ceux qui pens
92
nsent surtout au succès de la CECA répondent oui,
ceux
qui pensent davantage à l’échec de la CED répondent non, et ceux qui
93
t davantage à l’échec de la CED répondent non, et
ceux
qui pensent à la succession chronologique des deux événements hésiten
94
elles sont les autres méthodes proposées ? Il y a
celle
qui consisterait à faire l’Europe non par pièces et morceaux peu à pe
95
fédéraliste, elle semble s’apparenter également à
celle
des autorités spécialisées et à celle de la Constituante. Elle précon
96
également à celle des autorités spécialisées et à
celle
de la Constituante. Elle préconise, en effet, à l’instar de la premiè
97
s autorités spécialisées est surtout économique ;
celle
de l’agitation pour une Constituante essentiellement politique ; et c
98
r une Constituante essentiellement politique ; et
celle
du fédéralisme, sociologique. Les trois méthodes peuvent être défendu
99
gue mal en quoi cette organisation différerait de
celles
du Conseil de l’Europe et de l’Union de l’Europe occidentale. Toutefo
100
l est trop clair qu’elle déhorde les capacités de
ceux
— trop peu nombreux — qui s’y sont consacrés jusqu’ici, avec des moye
101
tographique, leur goût ne diffère donc en rien de
celui
du « petit bourgeois réactionnaire de l’Occident ». ⁂ « Tous les enfa
102
buée à n’importe qui, sans autres graduations que
celles
qu’impose l’âge de l’élève. Le fait que, malgré tout, certaines étude
103
mocratique. Peut-on ramener tous ces contrastes à
celui
qui oppose, d’une manière globale, les sociétés fondées sur le respec
104
aura su réaliser cet équilibre, et bon éducateur,
celui
qui ne cessera d’y tendre. Deux extrêmes, et comment ils se rejoig
105
notre fédération. Il va de la réalité mondiale à
celle
de la commune et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de la part
106
cessaire et doit être opéré en même temps : c’est
celui
qui consiste à intégrer le jeune individu dans sa communauté ou ses c
107
ans sa communauté ou ses communautés locales. Car
celui
qui aura pris conscience de ce qu’il peut faire dans son rayon découv
108
che, il comprendra par expérience que son sort et
celui
de ses voisins dépendent du sort de tout l’ensemble européen, au sein
109
, à la mesure des jeunes les plus entreprenants :
ceux
qui attendaient un but digne qu’ils s’y dévouent, et qui demain voudr
110
semble enfin viable à l’échelle mondiale (qui est
celle
du xxe siècle), ne cesseront de se heurter à l’obstacle majeur : la
111
’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)aw
Ceux
de nos amis, proches ou lointains, qui visitent pour la première fois
112
vre. Ce n’est pas encore l’heure des bilans, mais
celle
de se demander si le cap est bien fixé, et de vérifier les commandes.
113
de nos plans. Les mois qui viennent doivent être
ceux
de la récolte effective des résultats ! Conférences pédagogiques de B
114
d’un dialogue Europe-Inde — pour ne parler que de
ceux
de nos projets qui, déjà, ont été conduits tout près de la ligne de d
115
t ce furent de loin les meilleurs — ce sont aussi
ceux
qui avaient le moins besoin d’être révélés par le Prix… Il semble don
116
éen doive s’orienter vers une solution analogue à
celle
adoptée par la Fondation pour les bourses de compositeurs. (Voir plus
117
défis qui occupent nos forces sont secondaires :
celui
du monde communiste, celui du monde jaune, celui du monde musulman se
118
ces sont secondaires : celui du monde communiste,
celui
du monde jaune, celui du monde musulman seront surmontés ou non selon
119
celui du monde communiste, celui du monde jaune,
celui
du monde musulman seront surmontés ou non selon que nous deviendrons
120
s la nature », et nos peuples préféreront bientôt
ceux
qui oseront leur dire « que l’Europe est une idée violente ». (Il ne
121
ic organisé qui puisse être atteint en Europe par
ceux
qui se préoccupent de répandre la culture et l’idée européennes. Une
122
à leur intention, moins chers et mieux édités que
ceux
qu’ils auraient pu trouver dans le commerce, mais que, pour bien des
123
loisirs est destinée à surpasser progressivement
celle
du travail (grâce aux développements de la technique, et en particuli
124
désormais, à nos frères asservis de l’Est, à tous
ceux
qui sont morts pour « l’Europe notre mère », comme le disait un de le
125
imbéciles multipliés sur le chemin de l’union par
ceux
qui n’ont pas encore vu le danger que nous courons tous ? La leçon
126
ndamnée sans recours, mais on l’imite partout. Et
ceux
qui se croyaient sûrs de recueillir ses dépouilles, au nom de l’Aveni
127
ique, économique et militaire qui était autrefois
celle
de l’Europe. Les Russes dominent les pays de l’Est de notre continent
128
d’unir nos peuples. Les intérêts de la Suisse et
ceux
de l’Europe entière sont inséparables. Résumé 1. Au lendemain d
129
éennes. Ses intérêts propres sont inséparables de
ceux
de l’Europe entière. Questionnaire 1. Quels pays européens ont-
130
la TV, il y a tous les acheteurs de disques, tous
ceux
qui jouent d’un instrument, les chorales populaires, les Jeunesses mu
131
e des programmes et de l’éducation du public qu’à
celui
des aspects économiques. Deux de ces options se trouvaient mises en d
132
approuvent entièrement. Mais nombreux sont aussi
ceux
qui souhaitent : — soit d’atténuer l’insistance sur « l’accord entre
133
ibelius) se présentent tout d’abord à l’esprit de
celui
qui médite sur une définition du festival en tant que fête, car le ca
134
mule définitive des festivals, ni rassembler tous
ceux
qui sont dignes du nom. Quelques-uns, non des moindres d’ailleurs, n’
135
re valoir les droits de l’ensemble sans sacrifier
ceux
de l’individu, faire chanter les tons purs et les voix différentes, e
136
cherché à le résoudre d’une manière unilatérale.
Ceux
qui insistent surtout sur la nécessité de maintenir bien vivantes les
137
n compare ses activités passées et présentes avec
celles
qu’avaient prévues le congrès de La Haye puis la conférence de Lausan
138
nt à garder pour champ d’action la Grande Europe,
celle
qui doit un jour regrouper tous nos peuples, de Gibraltar à l’Oural s
139
ois (sans cesse renaissants) et de mettre en pool
celles
de leurs activités et de leurs ressources — mais celles-là seules ! —
140
de leurs activités et de leurs ressources — mais
celles
-là seules ! — qui bénéficieraient d’une intégration plus poussée. À l
141
l’Assemblée du Conseil de l’Europe, et de 8 mois
celle
de la session préparatoire du Collège d’Europe. bn. Rougemont Denis
142
u Centre de développer un projet tout différent :
celui
d’une série d’expériences-pilotes d’éducation européenne en milieu po
143
ud de Bordeaux, France) Objectif : analogue à
celui
de la Haute-Provence, mais dans une région d’économie mixte (rurale e
144
seuls résultats définitifs acquis jusqu’ici sont
ceux
de Fribourg, qui montrent qu’une expérience réussie se prête aussitôt
145
qui atteint rapidement un tirage très supérieur à
celui
des bulletins ordinaires. Ce sont ensuite le numéro spécial sur la Fo
146
cial sur la Fondation européenne de la culture et
celui
sur le problème des échanges culturels Europe-URSS. Traduits en deux
147
dre supranational : ce ne peut être utilement que
celui
de l’Europe, communauté de culture et de signification. Parfois aussi
148
ux résultats acquis leur vraie valeur éducative :
celle
d’une prise de conscience. L’information européenne Mais toute
149
grand nombre possible d’Européens, mais d’abord à
ceux
qui détiennent une responsabilité quelconque à n’importe quel niveau
150
de rappeler constamment à l’opinion (et d’abord à
ceux
qui la font !) nous paraissent être les suivants : — Le renversement
151
ux fois la population des USA et une fois et demi
celle
de l’URSS, quand on le rappelle, suffit à redresser des perspectives
152
n revanche, les meilleurs atouts de l’Europe sont
ceux
que lui crée sa culture. Mais il s’en faut de beaucoup que les détent
153
its au chapitre des dons philanthropiques, mais à
celui
de l’intérêt bien compris, de la défense de l’Europe et de notre surv
154
resque sans appuis mais avec la passion lucide de
ceux
qui luttent contre la montre, nous les résumerons comme suit : elle c
155
ais que feront d’ici-là tous nos autres pays ? Et
ceux
de l’Est ? 3. La revendication d’une Constituante élue exprime l’impa
156
ce de ces contradictions, nous paraît devoir être
celle
d’un œcuménisme pratique. Elle doit enregistrer les faits suivants :
157
Du point de vue fondamentalement européen qui est
celui
de notre Centre et qui inspire sa méthode, quel intérêt éducatif et c
158
cours réguliers dans les universités existantes.
Ceux
qui auront à en tirer parti (pour la recherche ou l’application) les
159
Il s’agirait en somme d’une formule comparable à
celle
des « ateliers » de la Renaissance, formés autour d’un maître. De tel
160
ule) signifie le métier, l’habileté technique, et
celui
qui exerce un art est un artisan, qu’il soit peintre ou ingénieur. Ma
161
eintre ou ingénieur. Mais à partir du romantisme,
celui
qui exerce un art est appelé un artiste, et il n’est plus censé être
162
même, jusqu’au xixe siècle, l’homme cultivé est
celui
qui a reçu et assimilé des notions générales et une méthode de pensée
163
toutes les définitions qu’on en donne, je retiens
celle
de T. S. Eliot, selon lequel la culture serait ce qui donne un sens à
164
mène culturel, sans être elle-même de la culture.
Ceux
qui sont touchés par cette rumeur, cette aura, ne sont guère plus « c
165
guère plus « culturels » que ne sont « sportifs »
ceux
qui se bornent à assister à des matchs. Mais ils deviennent peu à peu
166
e. L’innovation la plus importante me semble être
celle
qui intervient sous nos yeux dans le domaine de la consommation de la
167
Les principaux problèmes signalés tout à l’heure,
celui
des auteurs traitant de l’Europe, celui des éditeurs désireux de les
168
l’heure, celui des auteurs traitant de l’Europe,
celui
des éditeurs désireux de les publier, et celui des institutions qui a
169
e, celui des éditeurs désireux de les publier, et
celui
des institutions qui agissent à la fois comme auteurs et distributeur
170
nsiste à concilier les exigences de la qualité et
celles
de la vente. Le jeu se complique, ici, du fait que d’une part, la qua
171
Editeuropa surmonte avec succès l’épreuve du feu,
celle
d’une première année de publications, il pourra contribuer à l’élabor
172
défend de croire à l’histoire éducative ou utile,
celle
d’un Bossuet ou d’un Fénelon, pourvoyeuse de conseils politiques. Car
173
instituteurs et autres enseignants, mais par tous
ceux
qui peuvent jouer un rôle dans l’édification de l’Europe unie, et que
174
oigneusement que d’autres l’héritage hébraïque de
celui
du christianisme. C’est avec sa deuxième partie, les Expériences comm
175
les moins généralement connus de notre aventure,
ceux
durant lesquels se nouera la première synthèse spécifiquement europée
176
l ou d’un Jakob Burckhardt — et je cite à dessein
ceux
dont il donne la meilleure analyse — avec la pensée d’un Rousseau, d’
177
nces dans le domaine scolaire vinrent s’ajouter à
celle
de Fribourg, seule prévue au début ; tandis que deux expériences amor
178
es. Nous voulions expérimenter. Notre manière fut
celle
d’un jardinier, qui donne des soins méticuleux à des pousses minuscul
179
l’abri de la tentation majeure dans ce domaine :
celle
de plaquer sur une région-cobaye, sélectionnée par quelque cerveau él
180
s sa vie propre. Nos moyens étaient comparables à
ceux
de l’homéopathie, permettant d’inciter — non de forcer — des réaction
181
à les combattre, en agissant en premier lieu sur
ceux
qui forment les esprits et l’opinion, mais également en saisissant to
182
du mot culture, évoque des images trop précises :
celle
d’une organisation géométrique, celle d’une bureaucratie, celle d’une
183
précises : celle d’une organisation géométrique,
celle
d’une bureaucratie, celle d’une uniformité de traitement imposée aux
184
ganisation géométrique, celle d’une bureaucratie,
celle
d’une uniformité de traitement imposée aux objets les plus divers et
185
t avoir ses problèmes uniques, parce qu’il ignore
ceux
des autres, et prétend les résoudre seul, en toute ignorance des solu
186
cupe de poser les problèmes communs et de grouper
ceux
qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus tard, 1955 : l’idée de coopér
187
justifié la raison d’être de l’institution — pour
ceux
qui savent, tout au moins ; plus rarement, il est vrai, aux yeux d’un
188
mais sans cesse renaissants) et de mettre en pool
celles
de leurs activités et de leurs ressources — mais celles-là seules — q
189
de leurs activités et de leurs ressources — mais
celles
-là seules — qui bénéficieraient d’une intégration plus poussée. À l’h
190
olombes. Vous connaissez tous la colombe de Kant,
celle
qui s’imagine qu’elle volerait mieux dans le vide, sans la résistance
191
avardages — était conçue sur le modèle militaire (
celui
du drill, des alignements au cordeau, du silence dans les rangs, des
192
C’est le contraire qu’on observe en général. (De
celui
qui parle bien, les autres élèves disent : « Il raffine ! ») 2° La pl
193
ose à l’éducateur européen de notre temps : c’est
celui
du dosage entre la préparation générale et la formation technique. Le
194
teurs est beaucoup plus difficile et complexe que
celui
de vos collègues de l’Est et de l’Ouest. Mais avouez qu’il est aussi
195
L’homme personnel, l’homme de sa vocation, c’est
celui
qui incarne le paradoxe formulé par Victor Hugo il y a un siècle, et
196
atoire est née en même temps que nos démocraties.
Celles
-ci méritent leur nom dans la mesure même où, soit par l’École, soit p
197
nocrates. Le problème urgent qui se pose est donc
celui
de la promotion d’un civisme européen. Mais de quoi pouvons-nous part
198
iste sur le fait que l’histoire d’une société est
celle
des classes laborieuses… (donc) des rapports de production48 ». Voilà
199
s vingt millions de Polonais des trois régions et
ceux
de l’émigration, mais il ne suffit pas à inspirer et diriger une acti
200
Retinger. Le sujet fut aussitôt choisi : c’était
celui
de Nostromo, roman de Conrad qui se passe en Amérique latine. La pièc
201
: la traversée dura 31 jours, presque autant que
celle
de Colomb. Sur le pont, un hangar abritait 30 vaches, dont plusieurs
202
sse du Nord » s’identifia très vite pour lui avec
celle
de la Pologne luttant pour se libérer de la Russie. Les nombreux trai
203
de Boni de Castellane, conjuguée d’ailleurs avec
celle
d’un ami anglais de Boni, Arthur Capel (mort en 1919), qui avait lanc
204
qualité officielle », a décidé de lier son sort à
celui
de Sikorski : il a confiance en son honnêteté absolue, en ses dons de
205
ipka et M. Ninčic pour les pays de l’Est, et pour
ceux
de l’Ouest, MM. P.-H. Spaak, van Kleffens et Kerstens, Trygvie Lie, B
206
cts aux hommes politiques formés avant la guerre.
Ceux
qui admettaient la nécessité non d’une fédération réelle, mais de ce
207
ce qu’il faudrait faire, il avait peu d’idées, et
celles
qu’il exprima me parurent vagues ou fausses, d’ailleurs visiblement i
208
seulement par ma conférence à ce congrès, et par
celle
que j’avais donnée un an plus tôt aux Rencontres internationales, mai
209
in, et vaincu l’inertie la plus lourde du monde :
celle
des gouvernements devant une idée neuve. Il ne fut pas seulement le p
210
les moyens de l’Idée. Et tout d’abord convaincre
ceux
qui pouvaient y aider. Il avait publié plusieurs ouvrages, surtout au
211
inguaient pas, dans la cohue des Importants. Mais
celui
qui regardait les choses de près, s’apercevait bientôt que la grande
212
bientôt que la grande idée dont on parlait était
celle
de ce petit homme sans apparence et silencieux ; que le groupe était
213
pe n’étaient pas toujours clairs pour beaucoup de
ceux
qui en faisaient partie, mais les résultats finissaient par parler d’
214
ne faisait que suivre une idée simple et grande :
celle
de grouper nos forces et nos faiblesses, de manière à les faire servi
215
des hommages émus, on ne savait où le trouver. «
Celui
qui s’abaisse sera élevé », certes, mais pas dans ce monde-ci, qui ne
216
e si elle n’est pas feinte, et n’admire guère que
ceux
qui ont pris la peine de briguer ses applaudissements, selon les règl
217
ns cette seconde moitié du xxe siècle, notamment
celle
de l’Inde, du monde arabe, de l’Afrique noire et de l’Amérique latine
218
entre les principes fondamentaux de sa culture et
ceux
d’autres cultures régionales (africaines, asiatiques, arabes…) doit c
219
les autres cultures, mais n’est guère étudiée par
celles
-ci en tant qu’ensemble ou unité. (Chaires d’indianisme, de sinologie,
220
leur propre culture, et souvent pire que rien sur
celle
des pays où ils vont aller. De même, les étudiants d’outre-mer qui vi
221
de l’Inde, par exemple, est plus harmonieuse que
celle
de l’Europe, moins « dialogique » par sa nature même. Mais son problè
222
sa nature même. Mais son problème majeur, qui est
celui
de l’intégration de la civilisation technicienne à son grand héritage
223
tude d’une seule culture. Une autre catégorie est
celle
des revues publiées en Occident et consacrées à un groupe de cultures
224
et de préjugés. En revanche, des livres tels que
ceux
de Keyserling sur l’Inde et sur l’Amérique latine ; de H. Zimmer, de
225
ne nous frappe, dans un tout autre ordre, qui est
celui
des faits plus que des méthodes. 3. Les relations culturelles entre
226
dénominateur commun aux problèmes de l’Inde et à
ceux
du Japon, par exemple, ou de la Chine. Au surplus, la problématique E
227
autoritaire d’un occidentalisme technicien — chez
ceux
qui entendent lutter contre l’Occident. Réveiller la notion et la con
228
uis onze ans, de réunir en vue de tâches communes
ceux
qui veulent agir et parler en tant qu’Européens, membres d’un même en
229
oses. Pour entreprendre une tâche aussi vaste que
celle
que nous envisageons, notre petite réunion d’aujourd’hui peut apparaî
230
. L’art du colloque me paraît être, curieusement,
celui
qui reste le plus conventionnel à notre époque, ennemi des convention
231
ssier disait très justement que son cas n’est pas
celui
des Africains d’Afrique qui, parce qu’ils viennent d’accéder à l’indé
232
s rapports de ce pays avec l’ensemble européen) ;
ceux
qui décrivent des événements historiques survenus dans l’aire géograp
233
s et situés dans leurs rapports avec l’ensemble ;
ceux
qui parlent d’œuvres d’art ou de pensée créées un jour ou l’autre par
234
ns le contexte de notre unité de culture ; enfin,
ceux
qui n’ont l’Europe que dans le titre — ils sont fréquents, depuis que
235
cès d’une idée se mesure aussi au grand nombre de
ceux
qui s’imaginent la découvrir, quitte à faire la leçon à ses initiateu
236
, les auteurs possibles, les projets en cours, et
ceux
qu’il conviendrait d’encourager ou de susciter, — tels seraient, à no
237
nocrates. Le problème urgent qui se pose est donc
celui
de la promotion d’un civisme européen. ⁂ Au terme d’un colloque univ
238
mes dont le nom est suivi d’une astérisque * sont
ceux
qui ont apporté leur contribution au financement du groupe ad hoc et
239
uropéenne ou de l’africaine, ou de l’arabe, ou de
celle
de l’Inde, toutes ces cultures sont en présence d’une même menace ou
240
soit d’apporter la culture dans une région comme
celle
d’Aix-Marseille, qui a déjà une forte densité culturelle. Il ne s’agi
241
ulement et en premier lieu aux gens du phare ou à
ceux
qui habitent autour, sur son île. Il est destiné à permettre et assur
242
s, les échanges et les mouvements. Il se peut que
ceux
qui le gardent en soient très fiers, mais le but de leur phare, ce n’
243
économique, et le problème des responsabilités de
ceux
qui entreprendront de l’animer. cr. Rougemont Denis de, « [Inter
244
, mais c’est à toi de commencer ! Ce dialogue est
celui
de tout engendrement, et en dépit de Zénon d’Élée, il aboutit souvent
245
où fallait-il commencer ? Par un regroupement de
ceux
, d’abord, qui ont pris conscience de ces problèmes. Par des stages de
246
lions ici ne représentent qu’une faible partie de
ceux
qui ont été présentés aux stages organisés de 1962 à 1964. On s’est b
247
tre pays un bassin naturel (houille ou fer) comme
celui
de la Ruhr-Lorraine-Luxembourg-Belgique, sous prétexte que les gens,
248
traires. Si ces frontières se dévalorisent (comme
celles
des Six, ou celles des cantons suisses), les régions naturelles ou cr
249
ntières se dévalorisent (comme celles des Six, ou
celles
des cantons suisses), les régions naturelles ou créées par de nouvell
250
es plus actuels, et aussi des plus angoissants de
ceux
que nous a légués l’antiquité proche-orientale, si étroitement mêlée
251
e Ciel et jetés dans une confusion telle que tous
ceux
qui étaient venus à l’œuvre parlant une seule et même langue, dussent
252
la même langue, p. ex. les architectes entre eux,
ceux
qui roulaient les pierres, entre eux, et ceux qui les taillaient, et
253
ux, ceux qui roulaient les pierres, entre eux, et
ceux
qui les taillaient, et ainsi de chaque groupe spécialisé (et sic de s
254
seuls qui s’en tinrent à la langue sacrée furent
ceux
qui avaient refusé de prendre part à l’œuvre et s’étaient tenus à l’é
255
recherches n’ayant plus d’autres liens réels que
ceux
d’une administration, par ailleurs accablée de soucis matériels et qu
256
ondre. Le problème qu’on soulève ici, et qui est
celui
du principe de cohérence de notre civilisation, me paraît absolument
257
e et sa constitution, est étrangement homologue à
celle
des grandes querelles théologiques de Nicée, de l’augustinisme, de Lu
258
rce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire, c’est
celui
de l’Un et du Divers également réels et valables, dont le problème de
259
de l’union dans la diversité n’est pas seulement
celui
de l’Université, mais celui de notre politique d’intégration européen
260
é n’est pas seulement celui de l’Université, mais
celui
de notre politique d’intégration européenne, dans sa forme fédéralist
261
ce problème dans le cadre qui nous intéresse ici,
celui
de l’Université ? Trois solutions me paraissent concevables. a) La pr
262
ce sont les meilleurs spécialistes, c’est-à-dire
ceux
qui vont le plus loin dans l’analyse de certains cas particuliers, qu
263
de nos facultés classiques. Voici quelques-uns de
ceux
que, pour ma part, je serais heureux de pouvoir étudier et discuter,
264
pratiques. Je ne parlerai ici que des premières,
celles
qui vont se mettre à l’ouvrage cet après-midi et demain matin. À la p
265
oques entre les cultures des autres continents et
celles
de l’Europe est traitée par deux ou trois rapports, qui décrivent la
266
yeux de ce grand sage occidental ! En revanche, à
ceux
qui affirment contre l’Europe et pour lui faire la leçon, que toutes
267
avons pas le droit de l’ignorer ni de le cacher à
ceux
que nous nommons — et qui se nomment eux-mêmes — sous-développés. Nou
268
s rapports soumis à notre quatrième commission62,
celle
qui s’occupera de plusieurs sujets groupés sous l’étiquette de questi
269
u jeu, et les dures nécessités concrètes qui sont
celles
de la vie publique et civique — domaine du sérieux. On pourra s’inqui
270
le châtiment. L’irresponsable n’est pas libre, et
celui
qui agit sous contrainte n’est pas responsable. Cette liaison fondame
271
tion formelle ressemble étrangement, en Europe, à
celle
que je viens de donner du civisme. En effet, la culture pour un Europ
272
Dès la Renaissance donc, le créateur européen est
celui
pour qui l’art n’est plus seulement l’illustration des vérités orthod
273
ttner, je voudrais proposer ici un seul exemple :
celui
de l’évolution de la musique en Europe. Elle naît avec le chant grégo
274
e long du grand axe commercial de la Renaissance,
celui
qui relie Venise et Bruges, les échanges de compositeurs et de styles
275
séparer radicalement « l’artiste » de la masse de
ceux
qui auraient bien voulu mais n’ont pas pu (ou l’inverse) et des amate
276
as, Sutras, textes sacrés et commentaires — et si
celui
qui les lit à haute voix met l’accent sur la mauvaise syllabe, il s’e
277
ttérature du passé peut toujours être active dans
celle
du présent. Ainsi Homère dans Virgile, Virgile en Dante, Plutarque et
278
Goethe, Euripide dans Iphigénie de Racine et dans
celle
de Goethe. Ou, de nos jours, Les Mille et Une Nuits et Calderón dans
279
activités littéraires en Europe. c) Les thèmes. —
Ceux
hérités de l’Antiquité, tels que le défi au destin ou l’acceptation d
280
bilité de l’homme qui a contrevenu aux lois, etc.
Ceux
hérités du christianisme, tels que le salut par la grâce ou par les œ
281
ocation personnelle, le sacrifice par amour, etc.
Ceux
qui viennent d’autres sources : l’honneur, la passion amoureuse, la l
282
age le plus rigoureux et spécifique d’une langue,
celui
qu’en fait un vrai poète, qu’apparaît dans toute sa fécondité la comm
283
considérer comme le devoir suprême de l’individu
celui
qui le lierait à quelque super-État.65 5. Fédérer n’est pas méla
284
stes européens ne demandent pas d’autre union que
celle
que permet l’unité existante de notre culture. Unité dans la diversit
285
aujourd’hui des déclarations inquiétantes, comme
celle
d’André Malraux il y a quelques mois : « Les nations sont redevenues
286
u siècle », que serait la nation, est précisément
celle
qui fait obstacle à cette « seule chose véritablement importante de n
287
nd on nous affirme que le xxe siècle ne sera pas
celui
du triomphe de l’Internationale, comme Marx l’avait dit, ni le siècle
288
l’existence d’un problème chaque année plus aigu,
celui
du sous-développement de nombreuses et vastes régions de nos plus gra
289
de rejet de toutes instances universelles — sauf
celle
dont il se trouve qu’on peut la contrôler — sera vite suivi par les r
290
la formule du xive siècle. Ce spectacle, qui est
celui
de la naissance des nations, remplit d’effroi les sages de l’époque.
291
t seul juge non seulement de ses intérêts mais de
ceux
des autres. C’est donc une partie qui se veut aussi grande que le tou
292
été et sont des empires manqués, à commencer par
celui
de Napoléon, les seuls empires réussis de notre temps se trouvent êtr
293
écutifs, législatifs et judiciaires comparables à
ceux
qui existent, par exemple, pour les États-Unis d’Amérique. Les États
294
s régions limitrophes bi- ou trinationales, comme
celle
de Liège-Maastricht-Aachen… Des régions à la fédération Imagino
295
s de la région, puis d’expériences concertées, et
celles
-ci connaîtront forcément des échecs. Organiser, structurer, animer de
296
par la révolution la plus difficile à accomplir,
celle
des catégories de pensée dans lesquelles ont vécu tous nos ancêtres d
297
emière approximation, les limites correspondent à
celles
des aires d’influence de son ou de ses agglomérations principales. Si
298
tement de nous faire sortir de l’ère néolithique,
celle
qui a été marquée par la fixation des tribus nomades sur des territoi
299
des tribus nomades sur des territoires cultivés,
celle
qui a donc été dominée pendant dix à douze millénaires par les notion
300
part, que l’on substitue au terme d’indépendance
celui
d’autonomie, qui a l’avantage de rappeler le gouvernement des cités p
301
régions nous amèneront à mettre en lumière, c’est
celle
de la pluralité des allégeances soit d’une personne, soit d’un groupe
302
ui a gagné. b) La géométrie plane et euclidienne,
celle
des arpenteurs, suffisait à l’État-nation (et même aux fédérations in
303
n hurluberlu parlait de l’indépendance des Indes.
Celle
de l’Écosse ne saurait surprendre davantage. 70. Petit « Domaine roy
304
l’empire. 72. « Quand il s’agit de nations comme
celles
de la vieille Europe […], qui pourrait admettre de bonne foi, à moins
305
le terme de difficulté est souvent plus exact que
celui
d’objection. Dans la plupart des cas, la résistance ne provient pas d
306
rétiques, mais l’État a le devoir de sévir contre
ceux
qui contestent l’un de ses dogmes (objecteurs de conscience, par exem
307
’a démontré qu’entre les ambitions de Napoléon et
celles
d’un dictateur du xxe siècle il y ait d’autres différences que celle
308
du xxe siècle il y ait d’autres différences que
celles
dues aux moyens techniques de mise au pas d’une nation. Et de Napoléo
309
ndivision : grande maxime, qui conteste un monde,
celui
de la République une et indivisible des jacobins, de l’Empire napoléo
310
mort jeune », comme l’appelaient Aron et Dandieu,
celui
que Bakounine comparait à Bismarck, et qui pensait que l’État doit êt
311
relèvent d’une seule et même implacable logique,
celle
de l’État totalitaire, aboutissement normal de l’idée de souveraineté
312
rétiques du christianisme mais on fusille ou pend
ceux
que l’on accuse d’intelligences avec l’ennemi. On emprisonne les obje
313
te des classes est une réalité très différente de
celle
dont je traite ici. Elle me paraît indépendante du problème de l’État
314
un ouvrier d’usine nationalisée ne diffère pas de
celle
d’un ouvrier d’usine privée, mais diffère largement de la condition d
315
TV italienne. Quant à l’Alsace : « nombreux sont
ceux
qui désireraient que les émissions locales de l’ORTF en langue allema
316
lement pathogène de nos frontières politiques est
celui
du lit de Procuste qu’on nomme État-nation. Il procède de la volonté,
317
changement des régions ethniques est millénaire ;
celui
des régions économiques est décennal ; mais la frontière politique un
318
ationale, la moins mauvaise étant tout simplement
celle
qui se laisse le mieux traverser. IV. Il n’y a pas de cultures nat
319
ficiels, que ces « précieuses diversités » soient
celles
de nos nations ? Je propose là-dessus deux observations faciles à vér
320
; les hippies d’un pays s’accorderont mieux avec
ceux
de n’importe quel autre qu’avec les conformistes de chez eux, etc. Ce
321
Weimar ou Dresde dans les Allemagnes romantiques,
celles
de Hegel, de Schelling et des Schlegel, de Novalis et de Jean-Paul, d
322
s d’Aoste doivent pouvoir parler directement avec
ceux
de Chamonix — comme le permet aujourd’hui le tunnel du Mont-Blanc — a
323
n). Il doit défendre les droits du général contre
ceux
du singulier. Il est aussi le dépositaire des finalités civiques à ch
324
La création de lycées européens sur le modèle de
celui
de Luxembourg et l’introduction d’un baccalauréat européen sont d’exc
325
urg. Un autre projet de coopération est à citer :
celui
qui tend à grouper dans une coopération régionale les universités de
326
inévitables entre les exigences de l’économie et
celles
de l’écologie sont faciles à mettre en évidence à l’échelon local et
327
cité. Pour les politiciens, la seule réalité est
celle
de l’État-nation, tel qu’ils l’ont apprise à l’école — et ceux qui pa
328
t-nation, tel qu’ils l’ont apprise à l’école — et
ceux
qui parlent d’autonomies régionales ou communales sont à la fois de d
329
s la « Déclaration finale » de Strasbourg ait été
celle
des audacieux. ⁂ Le Rapport de base est un monument. Notre résumé ne
330
l’aire d’une région fonctionnelle sera simplement
celle
de l’ensemble des communes pour lesquelles un problème fonctionnel se
331
bien lus, et allons l’être mieux encore, par tous
ceux
qui ont à cœur de sauver une Europe non pas des chiffres mais des hom
332
mique commune à tous nos pays, et pas seulement à
ceux
de la CEE d’ici 1980. 3e motif. — Mais à peine mis en place les in
333
ïes. Avec une population quatre fois supérieure à
celle
des pays industrialisés, le tiers-monde — il faut oser le dire ! — n’
334
sordres ». Car le désordre le plus profond, c’est
celui
qui est au cœur de cette société matérialiste, dont le seul principe
335
ein des différences situées sur d’autres axes que
ceux
où se développent les similarités. » Cette suggestion rejoint les con
336
ructurées ; et à la notion de frontières bornées,
celle
de foyers librement rayonnants. L’État-nation qui règne seul, depuis
337
est-à-dire plus universel et plus particulier que
celui
des nations modèle xixe siècle. On nous a appris que les frontières
338
elief. Mais il y a plus : leur renaissance serait
celle
d’un chauvinisme local plus irrespirable encore que le chauvinisme na
339
n’a arrêté la pollution de l’air et des eaux, ni
celle
des esprits par les ondes. Une génération éduquée en accord avec les
340
éon. La révolution d’Octobre aboutit à Staline. À
ceux
qui me répètent : « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs !
341
ir régional, etc. Le seul pouvoir qui importe est
celui
que l’on a sur soi-même, car il est synonyme de liberté mais aussi de
342
ode de vie propre, avec ses exigences exaltantes,
celles
de construire jour après jour notre personne comme une œuvre d’art ?
343
s non seulement me hérisse, mais me fait dire que
ceux
qui l’emploient font un étrange retour en arrière. Il y a déjà eu l’E
344
encore « les tenants d’un certain mythe européen,
celui
de l’Europe des régions, qui est une absurdité ». Ce qui n’a pas à êt
345
nner que son discours est démodé depuis cent ans,
ceux
qui réfléchissent sur notre société et sur les causes de sa crise abo
346
conclusions politiques non seulement contraires à
celles
des politiciens, mais situées sur un autre plan de réalités. Dès 1932
347
’a pas une économie nécessairement plus saine que
celle
de la Belgique, et aucune des deux n’a une économie plus saine que le
348
ux de l’Histoire le précurseur de l’ère nouvelle,
celle
des régions. Il gagnait sur tous les tableaux. Il opérait la grande s
349
chute, il manifeste « une certaine satisfaction :
celle
d’avoir réussi son départ. […] Il se montrait préoccupé du jugement q
350
re de Carl J. Burckhardt. C’est qu’il fut l’un de
ceux
, très rares, dont la personne, le style, la formule créatrice résulte
351
ommentaire Je me méfie des « bons prophètes », de
ceux
auxquels l’histoire donne entièrement raison : si tout ce qu’ils anno
352
tie trop bien réalisée — et peu le sont mieux que
celle
d’Orwell — m’incite à poser cette question : l’auteur a-t-il été un v
353
: l’auteur a-t-il été un vrai prophète, à savoir
celui
qui avertit, qui annonce l’issue tragique de nos manèges, mais nous a
354
t : il ne peut exister que dans nous et par nous.
Celui
qui aime activement son prochain se comporte en chrétien, et le chris
355
ui l’ont produit, qui l’ont fait leur libérateur,
celui
qui venait les libérer de leur responsabilité, c’est-à-dire de leur l
356
surer de sa réalité. Le second cas est évidemment
celui
des régions, du problème régional. En tant qu’il est discuté en publi
357
on, que la région ne sera jamais une réalité pour
celui
qui ne veut pas la faire ; ou pour celui qui n’accepterait qu’on se s
358
ité pour celui qui ne veut pas la faire ; ou pour
celui
qui n’accepterait qu’on se soucie de la faire que si on lui prouvait
359
re que si on lui prouvait d’abord qu’elle existe.
Celui
qui nie toute valeur « scientifique » à l’action de construire, nie l
360
re le plus loin possible des prises concrètes, de
ceux
qui en subiront les conséquences. Quelles sont, parmi les fonctions n
361
aires à la vie d’une communauté de type européen,
celles
qui souffrent le plus du fait de la frontière, ou, à plus proprement
362
reconnue par des gouvernements — en l’occurrence
ceux
de Paris, Berne et Genève. Dès ses premières séances, la Commission s
363
ple, qui concerne la fonction de l’enseignement :
celui
des universités de Suisse romande et de Rhône-Alpes. On sait que la c
364
rganisation d’une région universitaire. Englobant
celles
déjà citées plus haut, cette nouvelle région fonctionnelle contribuer
365
outons que cette « plus grande région » est aussi
celle
de l’horlogerie européenne, et celle de la clientèle principale de l’
366
» est aussi celle de l’horlogerie européenne, et
celle
de la clientèle principale de l’aéroport de Cointrin ! Tous ces probl
367
126 L’antinomie entre le pouvoir de connaître et
celui
de changer évoque immédiatement l’antinomie démontrée par Heisenberg
368
re pouvoir de mesurer la vitesse d’un électron et
celui
de déterminer sa position. Cette nouvelle « relation d’incertitude »
369
ent constitue un danger infiniment plus grave que
celui
de rouler moins vite et de régler à 20 degrés nos thermostats, voire
370
croissance est à la fois possible et nécessaire,
celle
de la production matérielle. Au type de prévision fausse et néfaste q
371
futurologistes ne jouent pas un rôle comparable à
celui
de ces figurines que le sorcier transperce d’une aiguille ou mutile,
372
actes — voire seules à l’être — ont été jusqu’ici
celles
qui portaient sur des techniques indépendantes du jeu des forces soci
373
ou ukrainiens, les houligans et autres Tupamaros,
ceux
qui les aident, ou les approuvent, ou pourraient le faire, et finalem
374
pte de toute régulation exercée par des citoyens,
celle
du Plan stalinien, mais celle aussi des ordinateurs du Pentagone, pro
375
e par des citoyens, celle du Plan stalinien, mais
celle
aussi des ordinateurs du Pentagone, programmés par la Rand Corporatio
376
conduit à des conclusions tout arbitraires, comme
celles
d’Herman Kahn annonçant qu’en 2050, les vingt milliards d’habitants c
377
ition de nouveaux concepts « plutôt déroutants »,
ceux
de Bohr, Einstein, de Broglie, Freud, Schrödinger.) Or, ces cinq évé
378
ut ou à la fin d’un vaste effort collectif, comme
celui
de la production industrielle. La morale des stato-nationalismes anno
379
Mais ces prévisions impossibles sont justement de
celles
que les auteurs plus intuitifs que scientifiques cités plus haut mult
380
seules prévisions objectives qui m’importent sont
celles
qui m’indiqueront quelles sont les voies barrées, les grèves possible
381
ux des finalités virtuellement incompatibles avec
celles
de l’espèce d’une part, et de la société de l’autre. Exemple : — Qua
382
toroutes, c’est-à-dire une croissance illimitée —
celle
que l’on « justifiait » naguère par la croissance démographique… Or t
383
ns ou non, l’avenir est notre affaire. Et non pas
celle
des lois mythiques derrière lesquelles nous essayons de nous cacher,
384
érence fondamentale entre les autres religions et
celle
qui domine l’Occident ? La réponse doit être cherchée dans la théolog
385
substance des choses espérées, ferme assurance de
celles
qu’on ne voit point », aux certitudes de la religion gageant le passé
386
eux, une nouvelle Terre » sont promis, remplaçant
ceux
qui existent devant nos yeux. Tous ces traits définissent une anti-
387
isent des mélodies populaires du pays de Galles —
celles
-là mêmes que les « revivalists » des années 1830 utilisèrent pour tan
388
rs européennes tient dans l’œuvre de Bach et dans
celle
de Mozart. Les Messes et les Passions réduisent à peu de chose toute
389
populaire du pays. Dans le cas de la Chine, c’est
celle
de Confucius (551-479 av. J.-C.), aujourd’hui désigné comme ennemi du
390
ïncidence, pourrait ressembler par quelque côté à
celui
auquel on le dédie, rappeler ses thèmes favoris, ou encore évoquer so