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perspective. Le Laboratoire européen de physique
nucléaire
, dont le premier plan fut élaboré au CEC, va se construire. Mais l’Un
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’initiative du Laboratoire européen de recherches
nucléaires
), lancé 4 séries de publications, et organisé diverses manifestations
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ar le Centre : laboratoire européen de recherches
nucléaires
, éducation populaire, pédagogie sportive, ou encore dialogue Europe-A
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deux extrêmes de l’alliance d’États sans pouvoir
central
et de la totale unification, la Suisse chercha pendant près d’un demi
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ît considérable quand on est assis dans le bureau
central
d’un mouvement, devant près de cinq-cents brochures de titres différe
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création d’un Laboratoire européen de recherches
nucléaires
. Elle a réussi, comme on sait, sous les auspices de douze gouvernemen
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fait entrevoir que les applications de l’énergie
nucléaire
et solaire permettront, vers la fin de ce siècle, de réduire le trava
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ve). Enfin, le Laboratoire européen de recherches
nucléaires
(CERN), en cours de construction à Genève, la Société européenne de l
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colonial, l’automation, l’électronique, l’énergie
nucléaire
et solaire, les « intrigues des trusts », les « menées souterraines d
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attitude réservée ? La Suisse occupe une position
centrale
dans notre continent, mais n’a pas de débouchés directs sur la mer. U
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se à l’étude d’un Institut européen de recherches
nucléaires
, et coordination par le CEC des organismes d’éducation populaire. Tou
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alisation d’un Laboratoire européen de recherches
nucléaires
, conformément à la résolution n° III de la conférence de Lausanne (ab
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destinées au corps enseignant, la création d’une
centrale
de matériel audio-visuel, et des expériences-pilotes d’action éducati
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effet, les derniers développements de la physique
nucléaire
, par exemple, ne sauraient faire l’objet de cours réguliers dans les
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— les ingénieurs, — les spécialistes en sciences
nucléaires
, — les spécialistes en automation, — les historiens, — la gestion d’e
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nouvel Enlèvement d’Europe, qui fournit le thème
central
de la série d’essais réunis sous ce titre par M. Luis Diez de Corral,
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ons se sont multipliées : Instituts de recherches
nucléaires
, d’enseignement européen dans les universités, d’éducation scolaire e
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action et la répulsion à l’animation de l’énergie
nucléaire
, des courants électriques, de la vie amoureuse. Cependant le dosage d
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arti La Russie soviétique n’a pas de ministère
central
de l’Éducation (chacun des États garde le sien, comme en Allemagne ou
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s neiges du Grand Nord, sous les tentes de l’Asie
centrale
, dans les quartiers industriels de Leningrad et dans un centre agrico
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ans plusieurs États, sur lesquels le gouvernement
central
n’avait plus aucun pouvoir. Cette exploitation du pays par l’étranger
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formeraient le noyau d’une fédération de l’Europe
centrale
, à laquelle pourraient adhérer l’Autriche, la Roumanie et les États b
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es. Aucun plan d’ensemble ne les guide, et aucune
centrale
d’information n’existe encore, à notre connaissance, dans ce domaine.
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que les savants contemporains ont créé la science
nucléaire
: or, les impasses et les paralogismes qu’ils y rencontrent semblent
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problème que nous allons aborder est si vital, si
central
, et disons-le, si formidable, au sens étymologique du mot, que si nou
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ement irrépressible d’une région que brime l’État
central
— cas du Sud-Tyrol, du Jura bernois, du Guipuscoa basque ou de la Cat
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auteurs, de l’exploitation des régions par l’État
central
. On s’est intéressé très spécialement aux régions périphériques, les
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d réduire les attributions de l’État (ou autorité
centrale
) « à un simple rôle d’initiative générale, de garantie mutuelle et de
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ent ?), ni de déléguer les pouvoirs de l’autorité
centrale
. Mais très exactement de séparer, de diviser, de partager. Seulement,
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du xxe siècle. Les politiciens courtisent l’État
central
pour qu’il « consente » ou qu’il « octroie » ce que l’intérêt général
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port aux réalités du monde actuel. Voilà le thème
central
de la critique fédéraliste de l’État-nation. L’État-nation qui se pré
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fective au tiers-monde, la prévention des guerres
nucléaires
et des catastrophes écologiques. Le seul remède aux trop petites dime
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existent déjà : CERN à Genève pour les recherches
nucléaires
, la CEE à Bruxelles pour l’économie. Il est bien évident qu’il faut e
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eçoit en retour que 12 % de subventions de l’État
central
. Alors, certaines ethnies exigent une aide spéciale, d’autres l’auton
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it comme le CERN à Genève s’occupe des recherches
nucléaires
de dimensions continentales, ou encore comme le Marché commun à Bruxe
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ais d’autant plus tyranniques, envoyés par l’État
central
. Et c’est pourquoi j’ai dit qu’il nous faudra dix à quinze ans pour f
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vant les catastrophes écologiques, économiques et
nucléaires
que tout annonce ? À cela je répondrai par une anecdote tirée de la v
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à travers la frontière, non maîtrisés par l’État
central
; problèmes de production locale et de distribution d’énergie, rendus
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l n’est pas une vraie personne, c’est le problème
central
de notre temps. Les régions fonctionnelles, d’aires diverses — chacun
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tôt plus garantie que par la possession de l’arme
nucléaire
. Mais l’arme nucléaire est désormais à la portée de toutes les mafias
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ar la possession de l’arme nucléaire. Mais l’arme
nucléaire
est désormais à la portée de toutes les mafias politiques. Il est don