1
dès maintenant, contre les risques d’extension de
ces
pratiques au niveau de l’Europe en formation. Libérer les échanges
2
t représentant d’un État, peut-il intervenir dans
ces
mystères ? La question n’est pas insoluble, à notre avis. La musique,
3
e, ou en tout cas, le problème des rapports entre
ces
deux cultures en filiation n’aurait rien d’irritant ni de grave, si l
4
s l’attitude antiaméricaine est plus ancienne que
ces
griefs, et très souvent ne leur doit rien.) Quant aux motifs d’attrai
5
est notre public européen qui, librement, propage
ces
succès américains et leurs contrefaçons multipliées chez nous. Notre
6
n des groupes de discussion organisés au cours de
ces
dernières semaines sur le thème Europe-Amérique. Trois exemples : — d
7
irituelle du siècle. » De brefs comptes rendus de
ces
rencontres nous parviendront bientôt. Nos lecteurs en trouveront des
8
unie pour des raisons politiques et économiques.
Ces
raisons, bien connues désormais, sont la menace russe, la prépondéran
9
civilisation et son culte de la personne humaine.
Ces
formules fournissent des conclusions de discours. De plus, elles se r
10
out d’abord ce qui a permis et permet seul encore
ces
inventions techniques, sans lesquelles les « réalités concrètes » don
11
trasbourg, il n’écoute même pas le bruit que font
ces
deux mots également privés de sens pour lui. Toute propagande europée
12
propagande européenne digne du nom doit partir de
ces
évidences. 4. Mais on va me dire : le mot culture n’a pas beaucoup pl
13
itions. Votre commission culturelle doit préciser
ces
conditions. Je me borne à en indiquer quatre. a) Un gouvernement qui
14
et les réalités concrètes d’un coin de l’Europe.
Ces
foyers bien enracinés sont les cellules vivantes de l’union de demain
15
ouvernements. Mais il se trouve que la plupart de
ces
délégués siègent aussi à l’Unesco, et sont donc en mesure de juger ce
16
a création de l’AIEE, comme on le verra, répond à
ces
nécessités. En résumé, le CEC a son rôle à jouer, bien nettement dist
17
péens » d’étiquette. Parfois, nous découvrons que
ces
résistances, ces refus de coopérer, sont dus à des malentendus. Un bo
18
te. Parfois, nous découvrons que ces résistances,
ces
refus de coopérer, sont dus à des malentendus. Un bon service de publ
19
us pourrez en juger tout à l’heure. Les motifs de
ces
succès sont simples et j’en dirai trois : le CEC travaille directemen
20
t normal — qu’une espèce de mal nécessaire, un de
ces
irritants problèmes périphériques qui viennent encore s’ajouter aux p
21
plus. Mais le fait est qu’on n’y croit guère dans
ces
milieux, et tel étant l’état de l’opinion moyenne, 9 millions de doll
22
s l’a-t-on fait ? En attendant, rêvons un peu sur
ces
9 millions de dollars consentis par les gouvernements. Avec cette som
23
tive autant que le contrôle. Reprenons brièvement
ces
trois points. 1. Trop vaste. Une organisation culturelle qui survol
24
es liaisons multipliées entre foyers de création.
Ces
liaisons peuvent et doivent être favorisées quand elle ne s’établisse
25
édéraliste Nous sera-t-il permis d’ajouter que
ces
méthodes éminemment fédéralistes sont celles que nous avons adoptées
26
ormule même du CEC. ⁂ S’il fallait résumer encore
ces
remarques déjà trop condensées, on soulignerait ces deux points : 1.
27
s remarques déjà trop condensées, on soulignerait
ces
deux points : 1. En matière de culture, les intéressés seuls sont jug
28
res, ou le rôle du critique qui est d’interpréter
ces
techniques et les nouvelles œuvres basées sur elles. En outre, les cr
29
ue au cours des 25 dernières années. Certaines de
ces
œuvres seront enregistrées, afin que les participants puissent les en
30
mandées à 12 jeunes compositeurs. Le règlement de
ces
prix fera l’objet d’un communiqué dans notre prochain bulletin. ⁂ Le
31
, des remplaçants ont été suggérés. L’ensemble de
ces
noms (une vingtaine) sera proposé à bref délai aux membres du Conseil
32
rassemblent toutes leurs énergies… Mais laissons
ces
images et voyons le concret de notre situation. L’opposition mobil
33
propres armes, n’est en aucune mesure améliorée.
Ces
trois grands faits fondamentaux, ces trois coordonnées de notre desti
34
e améliorée. Ces trois grands faits fondamentaux,
ces
trois coordonnées de notre destin historique, demeurent les motifs im
35
out va changer en Russie : ils ne changent rien à
ces
faits. Quand la Russie deviendrait notre meilleure amie, quand les Ét
36
nt le projet d’union et démontrant ses avantages.
Ces
écrits réunis sous un nom bientôt illustre : The Federalist, exercère
37
t le lecteur va comprendre l’extrême importance ;
ces
notes n’avaient d’autre intention que de l’introduire : Le monde peu
38
e atmosphère. Les faits ont trop longtemps appuyé
ces
arrogantes prétentions des Européens. C’est à nous de relever l’honne
39
de la race humaine et d’enseigner la modération à
ces
frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’union nous en rendra capables. La dés
40
au plan européen ». Je constate au contraire que
ces
problèmes (l’armée, les colonies, l’économie) sont sans issue dans le
41
transcende par nature les intérêts de chacune de
ces
nations, car c’est une civilisation, de laquelle nous sommes tous res
42
rces irrationnelles, au mépris de leurs intérêts.
Ces
forces s’appellent les partis. Et si les Européens méprisent leurs in
43
e, villageoise, ignorante, inefficace. C’est avec
ces
pays pourtant, malgré leur conception de la politique, — avec leurs d
44
s, avec leurs vertus et leurs vices, — c’est avec
ces
pays tels qu’ils sont qu’il s’agit aujourd’hui de faire l’Europe. Mai
45
gimes démissionnaires ont vu revenir à la surface
ces
mêmes coalitions ou agglutinations de sceptiques complaisants, de tra
46
e diagnostic, tant mieux. Mais qu’on n’écarte pas
ces
prévisions à l’aide d’un adjectif genre « alarmiste ». Il s’agit d’al
47
déclenche dans les mois qui viennent, chacune de
ces
choses reste possible moyennant un miracle, pas autrement. Mais les m
48
ité », dit un proverbe chinois, bonne devise pour
ces
temps. m. Rougemont Denis de, « Situation de l’Europe en juin 195
49
sur votre demande, peut servir de base à l’union.
Ces
deux faits nous incitent à vous écrire. Nous voyons que l’Europe a be
50
à des droits illusoires, ou refuser d’y renoncer,
ces
deux gestes manqueraient également de sérieux. Il n’est qu’une seule
51
’Europe, en acceptant le Projet comme un pas vers
ces
buts, vous détruirez l’obstacle qu’il faut redouter le plus : le scep
52
t la chute de barrières idéologiques. La chute de
ces
barrières suppose à son tour l’existence, le rayonnement et la force
53
être du Centre. En vue d’accomplir la première de
ces
tâches, le Centre étudie la possibilité prochaine de faire revivre le
54
a mesure des gains déjà réalisés. Comment réduire
ces
résistances là où elles sont, dans les esprits et dans les cœurs, sel
55
sens à la vie. — La politique fait-elle partie de
ces
activités ? — Oui, en tant qu’elle implique une conception de l’homme
56
re a toujours vécu d’échanges en Europe. Rétablir
ces
échanges au-dessus des frontières étatiques, c’est rendre à la cultur
57
nt combattre ce nationalisme qui tue les patries,
ces
craintes absurdes, cette ignorance, cette mauvaise éducation historiq
58
ité, mais essentiellement de l’esprit dans lequel
ces
projets sont développés, et des buts que l’on vise. La mission propre
59
s. Certes le CEC est loin d’avoir exploité toutes
ces
possibilités. Nous nous sentons encore, après quatre ans, au début de
60
ce avait unifié l’Allemagne et libéré l’Autriche,
ces
décisions ne pouvaient écarter les menaces qui pèsent sur l’ensemble
61
ographique et matérialiste du monde. Retenons, de
ces
divagations, un fait curieux : l’idée européenne a fait de tels progr
62
MM. Bidault et Eden l’ont précisé — mais ce sont
ces
projets qui ont mis l’Occident en mesure de discuter sur un fondement
63
(Début modeste, si l’on veut, mais seul concret.)
Ces
efforts peuvent échouer si le parlement français repousse demain la C
64
ainetés cantonales, et par la droite, qui jugeait
ces
souverainetés dangereusement menacées9. La solution qui s’imposa fina
65
st-il vrai qu’il y ait là un obstacle à l’union ?
Ces
souverainetés ont-elles quelque réalité et consistance, en dehors des
66
e se conduire en pirate ou de vivre en vase clos.
Ces
limites décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit,
67
était faite. Examinons les réalités que cachaient
ces
deux illusions. I. À un moment ou à un autre, nous avons tous été ten
68
ette question un sérieux commencement de réponse.
Ces
activités nouvelles, telles que la Fondation européenne et « Liens av
69
nement de l’histoire qui a tué la CED en France.)
Ces
deux faits indiquent très clairement où nous pouvons intervenir, d’un
70
de forer des canaux collecteurs, qui transforment
ces
eaux stagnantes en courants, puis en forces motrices. Première zone :
71
e risquer à la même époque. Et voici, à partir de
ces
pionniers, tout le développement des sciences chimiques, physiques et
72
epuis 1946 se voient aujourd’hui freinés par tous
ces
facteurs. Au moment où l’impulsion donnée par le Mouvement européen l
73
ional, comme si déjà l’Europe était unie. Fort de
ces
premières réalisations qui lui assurent une base d’utilité technique,
74
personnalités très diverses, mais ayant en commun
ces
deux traits : d’être acquise à l’idée européenne, et d’exercer une in
75
unes dont ils assumeront la responsabilité. Parmi
ces
tâches, la création d’une Fondation européenne de la culture serait d
76
note invitant à Moscou le Chancelier Adenauer — à
ces
échanges plus ou moins contrôlés, qui gagnera ? La réponse paraît sim
77
de l’économie et de la technique du xxe siècle.
Ces
impérieux motifs d’union ne dépendent ni de la menace russe, ni d’une
78
ui, sans réserve, aux offres répétées des Russes.
Ces
offres nous sont faites au nom de la paix, dans l’esprit qu’on nomme
79
ine avant de les envoyer parler aux Russes ! Plus
ces
penseurs seraient « représentatifs » d’une doctrine officielle d’aill
80
sur les devoirs de l’intelligentsia. Nous jugeons
ces
idées dangereuses et fausses, au nom de nos principes, c’est entendu.
81
de nos principes, c’est entendu. Mais eux-mêmes,
ces
principes, comment les appliquons-nous ? Le problème qui est ainsi po
82
pour autant son pouvoir d’entraînement au-delà de
ces
réalités. La dernière assemblée générale de l’association des festiva
83
errer les liens professionnels entre ses membres.
Ces
mesures, dont nous donnerons quelques exemples, se répartissent en tr
84
es quakers15. Pouchkine incarne les résultats de
ces
grands mouvements culturels : l’Europe, non point la Moscovie, est so
85
ue lorsqu’on se promène sur les quais, par une de
ces
nuits sans nuit du début de l’été, où le granit même se dissout dans
86
e. L’intelligentsiste russe applique à la science
ces
méthodes idolâtriques. Lorsqu’il s’est fait darwinien, le darwinisme
87
âtre d’art. On sait l’influence prépondérante que
ces
mouvements vont exercer en Europe aux débuts de notre siècle : les pe
88
, en 1909, au théâtre du Châtelet. Le triomphe de
ces
ballets est assuré par la musique russe nouvelle, œuvre des élèves de
89
pe se passionne pour les premières traductions de
ces
œuvres (même tronquées ou digested, comme ce fut le cas en Erance). U
90
aucun pays probablement n’a-t-on fait au cours de
ces
années une si grande consommation de littérature et d’art contemporai
91
créé à cette époque n’est concevable en dehors de
ces
nouvelles connaissances, de ces nouveaux enthousiasmes, de cet élargi
92
able en dehors de ces nouvelles connaissances, de
ces
nouveaux enthousiasmes, de cet élargissement général de l’horizon…
93
es autres peuples. » M. Molotov cite à l’appui de
ces
dires le fait que, du mois d’août au mois d’octobre, « vingt délégati
94
échanges commerciaux totalement libres, aborde en
ces
termes la question culturelle : Quant au projet déposé au nom des tr
95
leur peuple des contacts avec le monde extérieur.
Ces
sortes d’affirmations sont dénuées de tout fondement… Toutefois, nous
96
ds bilatéraux respectifs ce qui intéresse surtout
ces
pays ». Une proposition de résolution commune, déposée par l’URSS, co
97
conférence… N’y aurait-il pas quelque vérité dans
ces
mots frappants que j’entendais l’autre jour : — Ce qu’il y a de terri
98
demander l’abolition des contrôles stratégiques.
Ces
contrôles, nous l’avons démontré, n’ont qu’une faible incidence sur l
99
cisons maintenant, à l’aide de quelques exemples,
ces
propositions de départ, qui sont toutes susceptibles de modifications
100
es d’argent. (L’écrivain européen souffre-t-il de
ces
puissances ? dans quelle mesure ? L’écrivain soviétique en est-il lib
101
littéraire ? Si oui, comment l’améliorer ?) Tous
ces
sujets sont « brûlants », mais ils nous semblent ménager une mesure d
102
Europe d’abord, puis — nous l’espérons — en URSS.
Ces
travaux, portant essentiellement sur des faits statistiques, auraient
103
s, c’est- à-dire l’interdiction pure et simple de
ces
activités sous l’accusation d’espionnage ou de propagande destinée à
104
trine ou d’efficacité. Il est impossible de peser
ces
raisons parce qu’elles ne sont pas de même nature : les meilleures po
105
jour… Ce qui nous semble sûr, c’est qu’aucune de
ces
méthodes n’a de chances d’aboutir à la création d’une Europe vivante,
106
férence de Bruxelles, après avoir rendu hommage à
ces
efforts en cours et aux réalisations déjà acquises, s’est bornée à ad
107
c des moyens scandaleusement limités. Obtenir que
ces
moyens soient augmentés, d’une manière massive et rapide, mais sans d
108
ires, universitaires et populaires ». Obéissant à
ces
directives initiales, le CEC s’est intéressé dès ses débuts au domain
109
nt est destiné à servir d’introduction générale à
ces
projets. Il se propose de situer le problème d’une éducation pour l’E
110
es. Il était nécessaire de rappeler succinctement
ces
données générales du problème, afin de définir l’esprit dans lequel v
111
utes les autres civilisations, la transmission de
ces
connaissances se trouvait comme filtrée par un réseau de règles presc
112
oncé comme antidémocratique. Peut-on ramener tous
ces
contrastes à celui qui oppose, d’une manière globale, les sociétés fo
113
condition de ne jamais perdre de vue le fait que
ces
tendances contraires coexistent en Europe depuis des siècles, et n’on
114
’Europe à l’est et à l’extrême ouest, nous voyons
ces
tendances — entremêlées et « composées » chez nous — se dissocier, s’
115
(challenge) dans l’enseignement qu’on leur offre.
Ces
lignes sont extraites du livre qu’une institutrice écœurée vient de p
116
raignante pour l’esprit. La voie européenne
Ces
deux repères extrêmes une fois posés, il nous est plus facile de défi
117
spérité et sa vie même… Et il est vrai que toutes
ces
choses — réelles ou mythiques d’ailleurs — sont pour lui autant de my
118
structures économiques et politiques ; — comment
ces
forces se manifestent ou agissent à son échelle, dans le milieu qu’il
119
sort de tout l’ensemble européen, au sein duquel
ces
forces et intérêts, ces structures et courants deviennent visibles. I
120
européen, au sein duquel ces forces et intérêts,
ces
structures et courants deviennent visibles. Il pourra prendre enfin,
121
res ; il deviendra lui-même éducateur. Or ce sont
ces
seuls responsables qui voudront l’Europe et la feront, et non les « m
122
es qui touchent directement la vie de l’habitant.
Ces
exemples, il s’agit maintenant de les présenter aux auditeurs d’un co
123
ne vaut que ce qu’on en fait. Qu’a-t-on fait dans
ces
murs depuis six mois ? Que fait-on réellement au Centre ? De janvier
124
laborateurs à des réunions extérieures. Chacun de
ces
comités suscités par le Centre a représenté des mois de préparation ;
125
rat avec au moins un éditeur devient infime. Dans
ces
conditions, un Prix européen réservé aux seuls manuscrits inédits cou
126
ompositeurs. (Voir plus loin.)ay Tenant compte de
ces
expériences et des besoins particuliers des guildes, le jury littérai
127
ce projet, le CEC s’adressa aux guildes du livre.
Ces
entreprises, qui se sont rapidement développées après la guerre, ont
128
e Varsovie en 1944, intitulé La Prise du pouvoir.
Ces
deux ouvrages, publiés aussitôt par les guildes, puis par de nombreux
129
notre institution tient presque tout entier dans
ces
deux paragraphes. Notre but général reste de faire l’Europe en forman
130
n raccourci analogue, ne pourrait-on pas dire que
ces
deux grandes défaites européennes : la Première et la Seconde Guerre
131
queux puis totalitaire fut la cause principale de
ces
conflits. Or il est clair que le nationalisme fomenté par les campagn
132
r l’histoire de son propre pays. Lorsqu’il aborde
ces
débats — et 99 fois sur 100, il n’aura même pas l’occasion d’aller ju
133
CECA) groupe les ressources de six pays. En 1957,
ces
pays décident de créer entre eux un Marché commun. 5. La Suisse étan
134
pur divertissement est passé au rang d’industrie.
Ces
divers processus ne peuvent que s’accélérer dans l’ère où nous entron
135
ublic qu’à celui des aspects économiques. Deux de
ces
options se trouvaient mises en discussion par notre questionnaire : d
136
mosphère spécifique de la manifestation. L’une de
ces
formules (par l’accord avec les lieux ou par l’homogénéité de la conc
137
créer un jury international, qui aurait recours à
ces
critères pour décerner ou non l’étiquette de « festival » semblait pr
138
, — est-il besoin de le répéter ? Saisir ensemble
ces
deux termes que la logique oppose, est un mouvement, un geste de l’es
139
vion de Londres. Il venait proposer à l’auteur de
ces
lignes de préparer la partie culturelle du premier Congrès de l’Europ
140
relles, et le besoin de représentation commune de
ces
forces vis-à-vis du reste du monde nous appellent et nous poussent da
141
tre dans plusieurs pays, depuis le début de 1956.
Ces
activités comprennent notamment des publications et des conférences d
142
s pouvant être généralisées par la suite. Deux de
ces
expériences sont déjà en cours dans le Midi et le Sud-Ouest de la Fra
143
e manière vivante la nécessité de notre union. De
ces
négociations, qui se poursuivirent pendant plusieurs années, marquées
144
n éducative européenne pourra être entreprise sur
ces
bases. Santu Lussurgiu (Sardaigne) Objectif : dans un groupe
145
variés sur les problèmes d’ensemble de l’Europe.
Ces
ouvrages seront publiés simultanément en sept langues dès que l’assoc
146
e pays et de langues. Il s’agissait de convaincre
ces
éditeurs de former, à cet effet, un pool ayant pour premier but la pu
147
s Europe-URSS. Traduits en deux ou trois langues,
ces
bulletins touchent un public plus large et paraissent répondre à des
148
sent répondre à des besoins réels. Compte tenu de
ces
indications, la formule du bulletin a été modifiée à partir de décemb
149
000 exemplaires, qui paraissent annuellement. Sur
ces
six bulletins, un seul présente l’ensemble des activités du Centre, l
150
« faire l’Europe » se sont précisées au cours de
ces
dernières années : la méthode institutionnelle (CECA, Marché commun,
151
(CEC, instituts, associations professionnelles).
Ces
trois voies seront définies, comparées et discutées par les partisans
152
é, allemand de l’autre.) Ensuite il faut offrir à
ces
hommes compétents l’occasion de travailler ensemble en tenant compte
153
Terre, imités et copiés par tous les peuples. Or
ces
produits sans les valeurs qui les ont rendus possibles et qui en règl
154
es pharmaciens… À mesure que s’élargit la base de
ces
initiatives culturelles (au sens le plus large du mot) le besoin de c
155
n’oseraient jamais la payer… Les Russes n’ont pas
ces
scrupules-là, ils font ce qu’il faut ; ils gagneront sans coup férir,
156
ne façon précise, de convaincre les détenteurs de
ces
moyens que leurs investissements dans le domaine culturel ne doivent
157
ent compte de ce qui la distingue dans le monde).
Ces
deux nécessités, rythme et finalité, paraissent en fait aussi contrad
158
uite ? La seule attitude efficace, en présence de
ces
contradictions, nous paraît devoir être celle d’un œcuménisme pratiqu
159
ès en paternité qui diviseront nos successeurs41.
Ces
jeux restent frivoles, même si l’on se fâche, et l’aigreur des propos
160
Désunion de l’Europe, union de ses adversaires :
ces
deux grands faits dominent la situation à laquelle les fédéralistes e
161
t les mouvements fédéralistes. La multiplicité de
ces
mouvements était peut-être inévitable. Elle ne deviendra fatale — au
162
eux universitaires « européistes » en présence de
ces
problèmes, soit : — les rapports préparatoires, — un résumé des débat
163
spécialisées, et d’une formation technique, dans
ces
mêmes disciplines, poussée au-delà de ce que peuvent donner les école
164
ium generale européen aux spécialistes avancés de
ces
mêmes branches — en partant de l’idée que le progrès scientifique dép
165
connaissances techniques nécessaires, le métier.
Ces
deux étapes de toute formation normale restent en dehors du champ dél
166
s répondraient à cette nécessité. Ils offriraient
ces
occasions de prises de contact personnelles avec l’avant-garde d’une
167
instituts, ou parallèlement à l’une ou l’autre de
ces
sessions, des stages d’études européennes par professions, qui répond
168
enseignement général sur l’Europe ; 2° réunion de
ces
instituts en un seul Centre européen d’enseignement postuniversitaire
169
, substitut à la religion, voire religion en soi.
Ces
deux notions ont suivi à peu près la même évolution sémantique. Jusqu
170
nt des praticiens de leur branche. Il y a ensuite
ces
moyens de culture qui sont le livre, le disque, la radio, la télévisi
171
rels distribués chaque année par centaines, ou de
ces
savants qui tout d’un coup atteignent à la grande popularité (pour de
172
vent agir sur les producteurs et distributeurs de
ces
mass médias ; ou encore, dans quelle mesure on peut les convaincre de
173
35 millions en 1957. Il est facile d’imaginer que
ces
millions de disques ont contribué à préparer un vaste public entièrem
174
, parce qu’il ne ressemble pas aux « succès » que
ces
éditeurs ont connus jusqu’à présent. Il semblerait, à les en croire,
175
tte augmentation spectaculaire de la quantité. De
ces
quelques faits statistiques, nous pouvons tirer dès maintenant deux c
176
ion, c’est que les fabricants et distributeurs de
ces
moyens de culture — éditeurs, dirigeants et producteurs de la radio e
177
helon européen. ⁂ C’est pour tenter de répondre à
ces
questions nouvelles que le Centre européen de la culture, ayant recue
178
on. Pour réelles et inévitables qu’elles soient,
ces
difficultés ne sauraient nous arrêter, si nous considérons les avanta
179
l’appréciation de l’époque de « naissance », tous
ces
auteurs catholiques s’accordent à reconnaître dans le Moyen Âge le «
180
t parlait Rimbaud, trois fois cité en épigraphe à
ces
essais, avec une efficacité extraordinaire. Il importe d’ajouter à ce
181
on efficaces qui existent dans tel ou tel milieu.
Ces
possibilités, une fois reconnues, ne manqueront pas d’encourager cert
182
tout, dans la mesure où nous avons trouvé partout
ces
responsables réalistes, ces animateurs enthousiastes sans lesquels no
183
avons trouvé partout ces responsables réalistes,
ces
animateurs enthousiastes sans lesquels nous n’eussions rien pu faire,
184
peut être fait et ce qu’il reste à faire. Fort de
ces
expériences acquises, le CEC et son département de l’éducation se don
185
faut-il un Centre en pareil domaine ? Répondre à
ces
trois questions, très normales et très légitimes, ce sera définir du
186
ers et les plus éloignés ; et qui pis est, toutes
ces
images apparaissent particulièrement incompatibles avec les réalités
187
1956 à 1960 voient donc apparaître, en réponse à
ces
deux problèmes nouveaux, d’une part des fondations (Genève, puis Amst
188
relles, et le besoin de représentation commune de
ces
forces vis-à-vis du reste du monde, nous appellent et nous poussent d
189
les peuples ont reçu cette idée de la liberté et
ces
moyens de se libérer qu’ils ont hâte d’appliquer d’abord à ses dépens
190
allaient de soi. Et en effet, durant des siècles,
ces
fins n’étaient guère contestées : un accord général existait quant à
191
ère. Au lieu d’initiation, on parle d’initiative.
Ces
deux termes marquent le début et la fin d’une évolution millénaire al
192
e l’humanité devait fatalement passer de l’une de
ces
attitudes à l’autre en vertu de quelque loi de l’Histoire, devait aba
193
tend former. Quels sont, dans l’Occident moderne,
ces
types d’hommes ? Trois tendances principales en Occident Du poi
194
(challenge) dans l’enseignement qu’on leur offre.
Ces
jugements et cette description, je les extrais du livre qu’une instit
195
té conduit au conformisme imposé par l’État. c)
Ces
deux repères extrêmes une fois posés, il nous est plus facile de défi
196
rqué trois tendances pratiquement dominantes dans
ces
trois régions de l’Occident. Je vous laisse le soin de nuancer le tab
197
des problèmes de dosage, d’équilibre vivant entre
ces
éléments. Le problème de la discipline scolaire par exemple. En faut‑
198
alectique, antinomique, dynamique de la personne.
Ces
termes sont abstraits s’ils ne sont pas sentis. En voici une autre ve
199
tés » au sein de la « communauté ». Bien entendu,
ces
quelques formules choisies à la volée dans les textes qu’on va lire n
200
. Problèmes communs et déficiences communes
Ces
variations ou oppositions nationales perdent d’ailleurs beaucoup de l
201
lits de valeurs et de conceptions morales, etc.).
Ces
critiques nous paraissent valables pour tout l’Occident. La grande di
202
s économiques ! Mais il est clair aussi que, dans
ces
conditions, le civisme réel n’existe plus, la liberté de choix et d’o
203
tend pas être ?). Conclusions introductives
Ces
quelques aperçus, je le répète, n’avaient d’autre ambition que d’intr
204
des textes qui suivent. C’est plus encore ce que
ces
textes ne disent pas que ce qu’ils disent qui doit nous engager à pre
205
ible. Amitié avec Joseph Conrad Au cours de
ces
mêmes années, Retinger s’était lié intimement avec Joseph Conrad, qu’
206
ys d’adoption. Retinger et sa femme furent durant
ces
années, les seuls Polonais à fréquenter sa maison, et à lui parler de
207
uis retrouver son adresse. » (Lira-t-il peut-être
ces
lignes ? Elles lui apprendraient qu’il se trouve détenir l’un des iné
208
bres de circuler chez les Alliés.) Pour atteindre
ces
deux objectifs, Retinger ne dispose ni des fonds nécessaires, ni de l
209
cinq millions en Amérique. Le rappel constant de
ces
chiffres fait plus en quelques semaines que toute la propagande du Bu
210
t pas seulement d’avoir de bonnes idées, mais que
ces
idées devaient être implantées dans un milieu donné, et qu’il s’agiss
211
rempart à l’Europe contre l’expansion russe. Pour
ces
raisons patriotiques et politiques, et par goût de l’aventure sans do
212
tés européennes. Exil en Espagne Cependant,
ces
activités d’agent politique privé ne sauraient plaire à tout le monde
213
de lui et de son bon droit, Retinger néglige tous
ces
avertissements. Jusqu’à ce jour d’octobre 1917 où il se voit convoqué
214
pour la réaliser. Au désert et en prison De
ces
années mexicaines, deux épisodes sont rapportés avec quelque détail d
215
, comprend soudain qu’il est devenu tout pareil à
ces
personnages de Conrad, dont il avait voulu, sept ans auparavant, fair
216
ade des USA a vendu depuis un an au gouvernement.
Ces
papiers révèlent toute la conspiration organisée par les compagnies a
217
in, Ben Smith, Ben Tillett, Jimmy Thomas, etc. De
ces
souvenirs personnels, jugements et anecdotes, on peut déduire que l’a
218
cuments que j’ai pu consulter mentionnent, durant
ces
mêmes années, une mission au Vatican, amenant un rapprochement entre
219
rime Minister du cabinet Churchill. Durant toutes
ces
années, voyageant sans cesse entre le Mexique et la Pologne, séjourna
220
ais. Effrayé à l’idée d’être transporté dans tous
ces
escaliers et passages sous-voie, Retinger enjoignit à son compagnon d
221
te que l’idée du Benelux naquit au cours d’une de
ces
réunions. La mort accidentelle du général Sikorski mit fin aux entret
222
ux-démocrates de France, d’Allemagne et d’Italie.
Ces
trois mouvements attiraient surtout les jeunes, de 18 à 40 ans. (L’UE
223
r exemple, ni Lausanne qui a créé le CEC ; ce que
ces
deux congrès ont créé en revanche, ce sont les conditions psychologiq
224
et politiques qui ont permis la mise en place de
ces
institutions, et de bien d’autres. Je ne crois pas que Jean Monnet et
225
s qu’il élabora jusqu’au dernier jour. » 49. «
Ces
ouvrages ne passèrent pas inaperçus », écrit J. H. Retinger ; « Paul
226
ins de coquilles ! » (Joseph Conrad, p. 37). 50.
Ces
initiales mystérieuses désignaient le Special Operation Service, orga
227
niveaux de vie, et sans rapprocher les cultures.
Ces
dernières manifestent au contraire — notamment en Asie et en Afrique,
228
alogue entre les cultures résultent clairement de
ces
deux phénomènes antagonistes. Les contacts inévitables, s’ils restent
229
culture à laquelle ils appartiennent, nourris de
ces
valeurs et y croyant pour l’essentiel ; mais également conscients des
230
res cultures. — des rencontres personnelles entre
ces
interlocuteurs. — des entreprises communes, idéologiques ou pratiques
231
m, de l’Afrique, ou d’autres cultures orientales.
Ces
instituts sont presque tous rattachés à une université, et répartisse
232
planète, mais il serait imprudent d’affirmer que
ces
ouvrages, dans l’ensemble, répandent plus de connaissances exactes qu
233
encore le temps d’y participer. En admettant que
ces
activités soient suffisantes dans leur domaine et soient menées d’une
234
gue avec l’Afrique noire, ou l’Inde, ou la Chine,
ces
quatre ensembles adopteront des attitudes très différentes, parfois o
235
ntre l’Inde, la Chine et l’Indonésie. C’est entre
ces
régions bien distinctes, et non pas entre continents trop vastes ou e
236
tituer. 2. « Présenter » (expliquer et enseigner)
ces
régions et leurs principes de cohérence culturelle, tant à leurs habi
237
conforme à l’American way of life. La culture de
ces
deux ensembles est facile à « présenter », parce qu’elle s’est consti
238
gue sincère et fécond des cultures. La mission de
ces
centres régionaux serait triple : — réunir une documentation bien sél
239
et de coopération aux hommes qui peuvent résoudre
ces
problèmes ; puis placer les résultats de ces travaux à la disposition
240
udre ces problèmes ; puis placer les résultats de
ces
travaux à la disposition des responsables de l’éducation, de la polit
241
des arts, etc. ; — Publication des résultats de
ces
travaux ; — Préparation d’ouvrages « présentant » la culture de la ré
242
es caractères communs à tous ses peuples ou pays.
Ces
ouvrages seraient ensuite traduits dans les autres régions, par l’int
243
s ils seraient en tout cas les moyens de détecter
ces
interlocuteurs (parfois de les former) et d’entrer en contact avec eu
244
que région. Il ne nous appartient pas de discuter
ces
problèmes dans le présent papier, qui ne veut qu’introduire le sujet.
245
rdination — un foyer d’études et d’initiatives ».
Ces
trois fonctions expliquent suffisamment pourquoi le CEC, aujourd’hui,
246
les ont été empêchées, dont plusieurs au cours de
ces
tout derniers jours. Je n’en salue que plus chaleureusement votre pré
247
tre les musulmans et l’Inde — pour ne prendre que
ces
trois exemples — sont de nature politique avant tout. Et que, par con
248
t de croire, de légiférer, de rêver et d’agir. Or
ces
réalités qu’on peut appeler culturelles sont les sources profondes de
249
tique, économique et social. La méconnaissance de
ces
réalités « culturelles » est ce qui empêche le plus souvent nos négoc
250
nt à cette pression qu’elles subissent toutes. De
ces
deux faits de base résultent des tensions virtuelles, ou actuelles, q
251
aît la nécessité du dialogue. Il est très bon que
ces
cultures soient différenciées mais si l’on ne veut pas aboutir à des
252
rtoires, Index, Guides. On pourra certes discuter
ces
rubriques et la répartition entre elles d’ouvrages qui, bien souvent,
253
à 150 volumes, considérés comme ouvrages de base.
Ces
listes aideront les libraires à composer leurs vitrines, lors de la S
254
inent, ses problèmes et les solutions proposées à
ces
problèmes depuis des siècles, ou de nos jours. Chacun brûle d’apporte
255
’être optimiste.) Défauts communs à la plupart de
ces
ouvrages : ils sont écrits à la hâte, pour « coller à l’actualité »,
256
la culture*55. Constitué de représentants de tous
ces
organismes et de hauts fonctionnaires de plusieurs ministères de l’Éd
257
de plusieurs stages internationaux. Le premier de
ces
stages se tint à Bruxelles en début janvier 1963 sous les auspices et
258
ues semaines près. Comme il fallait s’y attendre,
ces
réponses font ressortir surtout les lacunes et l’insuffisance de l’en
259
ver, ou à former, les hommes qui se chargeront de
ces
tâches, et les moyens financiers nécessaires. Ces derniers devraient
260
les volontés qui suffiraient sans doute à réunir
ces
ressources. 55. Les organismes dont le nom est suivi d’une astérisq
261
international. Le festival d’Aix, qui satisfait à
ces
deux critères avec tout l’éclat que l’on sait, se trouvait donc préde
262
t que possible le caractère parlé et improvisé de
ces
débats : ils présentent, dans l’ensemble, une photographie qu’on ne p
263
diminuez l’importance des frontières nationales,
ces
frontières que le xix e et le xx e siècles ont imposées d’une manière
264
mes frontières ou extensions, si vous dévalorisez
ces
cadres, vous libérez les diversités. Le phénomène européen d’aujourd’
265
ine, ou de l’arabe, ou de celle de l’Inde, toutes
ces
cultures sont en présence d’une même menace ou d’un même défi : la ci
266
sur les inventions techniques, que la plupart de
ces
inventions ne sont pas dues à des techniciens spécialisés mais à des
267
rge de curiosités variées, et qui sont amenés par
ces
curiosités à faire des découvertes, à trouver du neuf qu’ils ne trouv
268
ais par le développement même de la technique. De
ces
considérations générales, ce que nous avons à retenir ici, je crois,
269
culturelle et l’évolution économique. Notons que
ces
évolutions ne sont jamais parties d’une base « nationale » au sens co
270
n’étaient pas les mêmes ou n’existaient pas dans
ces
époques-là. Elles ne vont pas d’une nation à l’autre mais d’un foyer
271
Renaissance italienne ou flamande. Qu’est-ce que
ces
cours offraient ? Un appel aux créateurs, et une réponse à leurs créa
272
ment de ceux, d’abord, qui ont pris conscience de
ces
problèmes. Par des stages de discussion, d’information, d’expérimenta
273
s, sciences, littérature, langues. Pour organiser
ces
stages, on a recherché l’appui des gouvernements, des autorités munic
274
ourgmestre — qui lui ont permis l’organisation de
ces
stages ainsi qu’aux Communautés européennes et au Conseil de l’Europe
275
recueilli l’accord le plus général. Le lecteur de
ces
textes et des résumés de quelques stages déjà tenus voudra bien garde
276
n peut aussi bien dire qu’ils unissent et relient
ces
mêmes peuples. Le Rhin divise Français et Allemands ? Mais le Danube
277
nes des autres par des frontières arbitraires. Si
ces
frontières se dévalorisent (comme celles des Six, ou celles des canto
278
graphie. Et je ne sais s’ils y répondront pendant
ces
journées d’étude, mais ils sauront au moins qu’un Européen d’aujourd’
279
cela qui l’intéresse et que c’est peut-être dans
ces
directions qu’ils feraient bien d’orienter l’esprit de leurs élèves :
280
et ses diverses facultés, et les subdivisions de
ces
facultés, et tous les instituts spécialisés qui autour d’elles ou en
281
deux mouvements de sens contraire, qui affectent
ces
facteurs traditionnels de division du genre humain. Mouvement de conv
282
ions qu’un dixième de ce qu’elle est aujourd’hui.
Ces
données numériques, que je prends pour images, sont probablement vrai
283
les distances entre le savoir et le croire, entre
ces
deux aspects de la personne totale, jadis but et module de tout l’eff
284
é sur lequel on se soit accordé ? Il est vrai que
ces
questions débordent le seul domaine de l’Université, et qu’elles affe
285
opéenne, et c’est là qu’ils se posent à eux-mêmes
ces
questions, et nous les posent avec une insistance gênante — car nous
286
synagogue, ou de l’Amérique précolombienne. Dans
ces
cultures, tout est sacré. La distinction sacré-profane n’existe pas,
287
es, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent
ces
questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépasser leur ré
288
ntention si louable ont échoué, et les raisons de
ces
échecs répétés me paraissent assez évidentes. La généralité n’est pas
289
moins au seuil des synthèses nécessaires. c) Mais
ces
synthèses ne tomberont pas du Ciel, elles n’apparaîtront pas objectiv
290
physique en séminaires restreints, ils créeraient
ces
« carrefours de vérités hétérogènes » sur lesquels et à partir desque
291
uelles et de la fécondité de leurs interférences.
Ces
hommes seront d’abord des spécialistes, et qui prouveront leur excell
292
ict fédéral de l’Europe intellectuelle. Là vivent
ces
« hommes de synthèse » dont je vous parlais tout à l’heure : professe
293
la coopération européenne en matière culturelle.
Ces
quelque 50 rapports ont été attribués à une première série de quatre
294
qu’aux hommes du tiers-monde, comment et pourquoi
ces
sous-développés qu’étaient les Européens du Moyen Âge et de la Renais
295
élites européennes de ce siècle se dessinent dans
ces
rapports. Les uns comme M. Joseph Needham, le grand sinologue anglais
296
son absence forcée de ce congrès, il est en Chine
ces
jours-ci) critiquent vivement toute tentative d’affirmer nos valeurs
297
ages subtils de la Chine et de l’Inde : parce que
ces
sages essayaient de se mettre à la portée de leur intelligence souven
298
s, d’une visite à Heidegger, et dans quels termes
ces
hommes revenus chez eux décriraient les croyances « risibles et enfan
299
ue chacun à sa manière, si différentes que soient
ces
manières et si opposées qu’elles puissent paraître, ces cinq rapports
300
nières et si opposées qu’elles puissent paraître,
ces
cinq rapports ont une vertu commune qui est de mettre en question les
301
e, anticulturelle, barbarisante ? L’exactitude de
ces
calculs ne suppose-t-elle pas que tous les peuples auraient accepté l
302
chariot à deux grandes roues ou la marche à pied.
Ces
exemples me paraissent de nature à nous rappeler que le niveau de dév
303
i et personne ne demandera quel est le lien entre
ces
matières et la préparation civique des élèves. Mais que l’on en vienn
304
Même à supposer que nul d’entre vous ne partage
ces
doutes ou ne se pose ces questions, il est certain que le lien entre
305
d’entre vous ne partage ces doutes ou ne se pose
ces
questions, il est certain que le lien entre culture et civisme n’est
306
, je me vois conduit à reprendre la définition de
ces
deux réalités. Je voudrais vous montrer comment, si elles sont bien c
307
s libre et responsable. Je voudrais insister sur
ces
deux derniers termes, et sur leur liaison nécessaire. L’homme europée
308
s libre. Ni dans le premier, ni dans le second de
ces
cas, il ne saurait être considéré comme un citoyen véritable. De ces
309
ait être considéré comme un citoyen véritable. De
ces
définitions de base résultent des conséquences importantes pour l’édu
310
rt le préparer à la libre initiative personnelle.
Ces
deux exigences de l’éducation européenne ne sont contradictoires qu’e
311
tout d’abord apprendre à voir, à lire, à écouter
ces
chefs-d’œuvre. Mais cet apprentissage ne sera efficace que si l’élève
312
hniques artistiques qui ont permis la création de
ces
tableaux, monuments, œuvres littéraires ou musicales. Ayant acquis un
313
ure suit à peu de choses près les mêmes voies. Or
ces
voies, notons-le, traversent avec une glorieuse indifférence une bonn
314
de « mathématiques soviétiques », car avant tous
ces
découpages arbitraires, il y a la grande communauté de créations et d
315
eut-être même, doit-elle commencer par là. 63.
Ces
déclarations sont extraites de deux conférences prononcées à Vienne,
316
oment, dans le même milieu). Si je m’élève contre
ces
expressions (« respect des peuples », « apports des pays »), c’est qu
317
t caractériser en peu de mots une œuvre, une vie,
ces
réflexes ou tics de langage font préférer régulièrement l’appartenanc
318
une fois décisif, l’Espagnol Unamuno ! Dans tous
ces
cas, ce n’est pas le passeport qui caractérise l’écrivain, mais la ré
319
, Germains, Arabes, Slaves : nous avons tous subi
ces
influences, tout ce passé reste présent et agit dans nos écrits : La
320
me, abstraction, etc. — et les correspondances de
ces
styles et mouvements dans tous les arts : peinture, sculpture, archit
321
auteurs non moins importants que les langues par
ces
mêmes auteurs utilisées, altérées ou rénovées. Quelles que soient les
322
avec emphase. Il ne consiste pas non plus à nier
ces
maux, mais bien à faire en sorte qu’ils cessent d’être réels. L’Ét
323
ibilités entre les huit combinaisons possibles de
ces
paires de forces divergentes : flamand-wallon, catholique-laïque, lib
324
e fonctionnel, formule de l’avenir européen. Tous
ces
symptômes révèlent une inadaptation morbide de l’État-nation aux réal
325
dépens de l’empire et de la papauté, voire contre
ces
symboles de l’unité du globe, de l’universalité du genre humain. Et q
326
et trop grands à la fois Regardons maintenant
ces
États-nations unitaires tels qu’ils sont dans leur être et leur agir
327
ndre au défi du tiers-monde, c’est-à-dire de tous
ces
États-nations inconsidérément multipliés sur tous les continents par
328
avec tous les autres : ce sont les résultantes de
ces
complexes de forces qui dénotent, définissent et mesurent les régions
329
tre, l’état civil et la gendarmerie. Et c’est sur
ces
régions que nous bâtirons l’Europe, non sur les cadres en bonne parti
330
sions pour donner libre jeu à nos diversités 76.
Ces
paroles éveillèrent un écho pour moi des plus inattendus : c’est qu’e
331
s l’espérer. Montée des régions Au cours de
ces
dernières années, on a vu se multiplier les recherches scientifiques,
332
our le fédéralisme et le progrès social », je lis
ces
quelques phrases : Nous proclamons la nécessité de la Révolution féd
333
réclamons la création d’États régionaux français.
Ces
États régionaux disposeront de pouvoirs exécutifs, législatifs et jud
334
de proche en proche, mèneront très loin… Ce sont
ces
nécessités qui expliquent que le Marché commun ait cru devoir convoqu
335
de l’Allemagne, qui a obligé les gouvernements de
ces
pays à étudier très sérieusement le problème de la régionalisation du
336
à la fédération Imaginons maintenant que dans
ces
métropoles, peu à peu, se forment ces centres de décision régionaux d
337
nt que dans ces métropoles, peu à peu, se forment
ces
centres de décision régionaux dont tout le monde parle, et qu’ils acq
338
aire Je voudrais indiquer quelques exemples de
ces
mutations de concepts et de catégories politiques qu’exige la prise d
339
particulier les fonctions de décision. En outre,
ces
centres jouent presque toujours un rôle très important du point de vu
340
portant du point de vue intellectuel et culturel.
Ces
agglomérations ont dès lors une importance essentielle pour l’identif
341
confondre avec la simple unité locale. Mais entre
ces
limites supérieure et inférieure la possibilité peut exister de plusi
342
régions contiguës de taille donnée, en sorte que
ces
limites doivent être tracées avec une certaine liberté de jugement 85
343
tout bord. Les phénomènes majeurs qui ont motivé
ces
prises de conscience successives sont faciles à énumérer : a) la CEE,
344
nt article est de proposer qu’en tenant compte de
ces
facteurs, on reconnaisse la nécessité de franchir un pas décisif et q
345
tato-national sécrété par le siècle dernier. Tous
ces
réactionnaires butés et volontiers grandiloquents, à gauche au moins
346
n les allergies de tel ou tel chef d’État. Contre
ces
passions-là, nul argument ne vaut et je perdrais mon temps à en écrir
347
s qu’économiques, culturelles que techniques. Or,
ces
ordinateurs, nous les avons ! J’ai dit ailleurs que le fédéralisme in
348
s. » « Voulez-vous donc balkaniser l’Europe ? » (
Ces
réflexes passionnels, étourderies et boutades ne sont guère passibles
349
, ce sont les guerres qui ont servi de prétexte à
ces
concentrations forcées, c’est leur préparation, leur conduite et leur
350
e d’études Le champ d’études régionaliste, que
ces
quelques remarques définissent, est à peine exploré. a) Il faudrait c
351
leur action concrète. Je ne renvoie pas dos à dos
ces
fascistes et ces communistes, je ne dis pas qu’ils sont tous les même
352
ète. Je ne renvoie pas dos à dos ces fascistes et
ces
communistes, je ne dis pas qu’ils sont tous les mêmes. Ils se haïssen
353
cela ne compte pas. Les structures qui gouvernent
ces
deux nations relèvent d’une seule et même implacable logique, celle d
354
ou « enfin concret » (c’est-à-dire refusant tous
ces
droits) — ni l’union de l’Europe, ni la participation civique, par su
355
ité qu’en principe. Aujourd’hui — repoussant tous
ces
anciens débats à l’arrière-plan — il y a le totalitarisme, et il y a
356
ses, est-ce un produit spécifique du communisme ?
Ces
phénomènes sont décisifs pour l’avenir de l’humanité, mais les énervé
357
a lutte des classes dans tout cela ? », me disent
ces
dévots scandalisés, comme d’autres intégristes s’écrieraient que j’ai
358
tinentales en passant par les régions) traduisent
ces
options générales — et c’est le civisme. Politique veut dire stratégi
359
aticisme purement théorique et telquellisant. Car
ces
décisions dramatiques qui absorbent le plus clair des énergies d’une
360
es locales opprimées par l’État despotique. Entre
ces
deux mouvements, il y a une corrélation nécessaire. » Arnaud Dandieu,
361
entants, le 7 octobre 1970, par Jay W. Forrester.
Ces
prévisions ont été commentées par l’auteur dans l’ouvrage intitulé Wo
362
es responsables techniques de la coopération dans
ces
régions. Elle s’est tenue dans la Maison de l’Europe, les séances plé
363
Déclaration finale, résultant de la discussion de
ces
rapports, et qui fut adoptée à l’unanimité. Nous faisons précéder ces
364
fut adoptée à l’unanimité. Nous faisons précéder
ces
textes d’un résumé analytique du Rapport de base, dont il nous est ma
365
utre langue, chaque maître peut refuser de donner
ces
leçons ! Et du côté officiel, on ergote sur la qualité de « langue ma
366
aisé de le faire dans une région frontalière) que
ces
clichés généralement hostiles aux voisins se justifient mal. Ils nais
367
vrai, comme le disent les discours officiels, que
ces
« précieuses diversités » soient celles de nos nations ? Je propose l
368
que ses foyers sont plus nombreux. Au Moyen Âge,
ces
foyers de création sont les universités, à la Renaissance les cités e
369
es. La volonté stato-nationale de faire coïncider
ces
entités hétérogènes ne peut engendrer que crises inutiles et conflits
370
s. Car dans le cas d’un partage de l’Europe entre
ces
deux sortes d’influences, il est clair que les gouvernements stato-na
371
nseignants apparaît virtuellement la plus forte. (
Ces
régions sont très nombreuses le long de l’axe nord-sud, rhénan-alpin.
372
as les moyens de recherches requis, dans aucun de
ces
domaines : ces moyens sont de dimension continentale. (Ainsi le CERN
373
e recherches requis, dans aucun de ces domaines :
ces
moyens sont de dimension continentale. (Ainsi le CERN et le Super-CER
374
ique « se développant dans son aire propre » et «
ces
aires d’application variant, en fait et en droit, selon les problèmes
375
un, l’Euratom, le CERN ont pourvu au plus urgent.
Ces
organismes ont ouvert la voie à des accords commerciaux et monétaires
376
es instruments capables de résoudre virtuellement
ces
problèmes économiques et commerciaux, on a vu que cela ne suffisait p
377
ment aux lèvres est celle-ci : Qui pourra prendre
ces
décisions et les imposer ? Un gouvernement mondial ? Il n’existe pas
378
t — USA, Europe, URSS, à quoi s’ajoute le Japon :
ces
quatre parties du monde produisent la plus grande part des investisse
379
squelles nous avons entraîné toute la planète, et
ces
guerres sont nées de nos nationalismes, et c’est à nous, Européens, q
380
dans leur ensemble souhaitent l’union, et que de
ces
65 %, les trois-quarts, soit 75 % exactement, sont des jeunes de 18 à
381
savent très bien qu’ils ne pourront jamais tenir
ces
promesses, et qu’ils n’en ont ni l’intention ni le pouvoir. La « souv
382
pays européens à poser le problème régional. Que
ces
motifs soient de nature ethnique ou économique, linguistique ou géogr
383
ontinentale ; trop grand, il appelle les régions.
Ces
deux tendances, loin de se contredire, se commandent mutuellement dan
384
Rhin divise, mais le Rhône unit ! Or à mesure que
ces
frontières se dévalorisent, entre les pays de la CEE notamment, des r
385
politiques. Mais si l’on considère l’ensemble de
ces
« cas spéciaux », on voit se dégager deux classes de motifs principau
386
dans les pays de l’Est européen. Presque partout,
ces
ethnies brimées déclarent souffrir d’un sous-développement économique
387
et à travers leurs frontières. Puis il faut unir
ces
régions, et trouver ou créer les moyens de cette fin. Imaginons la ré
388
moyens de cette fin. Imaginons la réalisation de
ces
deux temps de la construction européenne. 1° Faire une région, ce n’e
389
e problème est partout le même : comment résoudre
ces
difficultés concrètes en dépit de l’obstacle que constituent les fron
390
es organismes vivants et utiles, rien n’empêchera
ces
régions de nouer entre elles et leurs voisines de l’intérieur des lie
391
oéconomique, culturel, écologique, universitaire.
Ces
liens à travers les frontières et avec les autres régions de l’intéri
392
s’étendant à tout le continent. Rien n’empêchera
ces
associations de nommer des délégués qui se rencontreront périodiqueme
393
onner les échanges régionaux. Et rien n’empêchera
ces
personnes de constituer dans leur domaine propre des agences européen
394
et de leurs régions. Rien n’empêchera, enfin, que
ces
assemblées ne fonctionnent en fait comme des Chambres européennes, qu
395
nnent en fait comme des Chambres européennes, que
ces
agences ne constituent en fait des ministères, non officiels certes,
396
parent Français et Espagnols, alors qu’en réalité
ces
montagnes sont habitées sur les deux versants par des Basques au nord
397
pas, Monsieur le Maréchal, s’écria le jardinier,
ces
arbres mettent cent ans à pousser ! — Tu vois bien, riposta Lyautey,
398
eurs richesses aux gouvernements qui administrent
ces
territoires. Ce schéma de l’administration de notre terre est en cont
399
eux remontent à plusieurs siècles. L’existence de
ces
États-nations nous paraît tellement normale qu’il nous arrive d’oubli
400
s régions, nouvelle formule de la prospérité ; et
ces
régions devaient « s’ouvrir » à leurs voisines au-delà de la frontièr
401
tout point de langue unique qui se soit imposée à
ces
patries, voilà qui paraît interdire la possibilité d’un écrivain qui
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en toute indépendance d’esprit, peut-on dire que
ces
traits composent une personnalité typiquement suisse ? Je constate qu
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ilà le But. Cette société sera peut-être secrète,
ces
communautés clandestines, ces régions sans institutions : il importe
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peut-être secrète, ces communautés clandestines,
ces
régions sans institutions : il importe seulement qu’elles existent, p
405
. Il y a sans doute ici plusieurs spécialistes de
ces
problèmes qui pourraient être tentés de croire que les raisons de fai
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partir de la crise mondiale qui exige la région.
Ces
deux types de réponses, partant du plus près et du plus loin, se rejo
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ntèle principale de l’aéroport de Cointrin ! Tous
ces
problèmes concrets, quotidiennement vécus, et le fait aisément vérifi
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les deux guerres européennes, devenues mondiales.
Ces
guerres ont ruiné le prestige de l’Europe politique (d’où la décoloni
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st la création, l’intervention de l’esprit. Entre
ces
pôles se passe la vie, notre aventure collective et personnelle, éphé
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istes ne jouent pas un rôle comparable à celui de
ces
figurines que le sorcier transperce d’une aiguille ou mutile, persuad
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Expérimentées pendant la lutte contre les Viets,
ces
techniques vont servir à traquer les séparatistes basques ou ukrainie
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d secours pour notre politique, car les effets de
ces
techniques, nous le voyons bien aujourd’hui, sont trop nombreux, trop
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modèle napoléonien. »129 Mais une fois reconnues
ces
limites à l’intuition et au calcul, il faut admettre aussi qu’une soc
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, Einstein, de Broglie, Freud, Schrödinger.) Or,
ces
cinq événements résument l’histoire du siècle. Imprévisible par la mé
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c prévisionnel. D’autant plus qu’il se trouve que
ces
mêmes événements méthodiquement imprévisibles ont fait l’objet de pré
416
s irrationnelles au sein de la société »131. Mais
ces
prévisions impossibles sont justement de celles que les auteurs plus
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les responsabilités, n’aurait pas vu se produire
ces
soulèvements. […] Limiter une expansion malsaine n’aurait pas été moi
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eaucoup trop tard pour que Rome, en reconnaissant
ces
tendances, puisse constituer un ensemble de conception nouvelle. Par
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nnes, Lausanne, 1972. 130. Voir les citations de
ces
auteurs en Appendice. 131. Bernard Cazes, dans Survivre au futur ? r
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entaux qui s’en réclament, le concept exprimé par
ces
mots signifie qu’il est entendu, avant tout discussion et comme allan
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res sauf une seule : l’occidentale. D’où viennent
ces
erreurs radicales que commettent au sujet de leur propre culture les
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ndra sa politique et l’usage de ses armements. Or
ces
forces sont religieuses à l’origine, si elles ne s’avouent plus que c
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s-monde ; 2° des modalités de la confrontation de
ces
cultures. III. Le concept de révolution Mais s’il est vrai que
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plaçant ceux qui existent devant nos yeux. Tous
ces
traits définissent une anti-religion. Que les Églises plus tard aient
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Romains. IV. « Tout est venu à l’Europe… »
Ces
faits religieux fondamentaux conditionnent les échanges entre l’Europ
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autre part. Rappelons les périodes principales de
ces
échanges. De l’aurore des civilisations jusqu’à l’Empire d’Alexandrie
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troubadours et le roman celtique ; la synthèse de
ces
grands phénomènes culturels pouvant être localisée à la cour de Poiti
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souvenirs de l’école du dimanche de mon enfance !
Ces
apports émotifs ou plastiques à nos arts ont peu de chances de durée
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, venue de l’Europe et d’elle seule, qui a révélé
ces
richesses naturelles et dans un sens précis, concret, les a créées. T
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ropéenne. Que se passe-t-il quand le monde adopte
ces
inventions, ces procédés, ces formes ? D’une manière globale, je croi
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passe-t-il quand le monde adopte ces inventions,
ces
procédés, ces formes ? D’une manière globale, je crois que nous somme
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and le monde adopte ces inventions, ces procédés,
ces
formes ? D’une manière globale, je crois que nous sommes en droit de
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même ses sommets. Elle n’est pas souvent digne de
ces
œuvres, mais c’est elle qui les a créées. Nous l’oublions souvent et
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-vous pas un petit livre expliquant d’où viennent
ces
objets, pourquoi vous avez eu l’idée de les construire et comment ils
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es les mafias politiques. Il est donc fatal, dans
ces
conditions, qu’une guerre atomique, même si aucun État ne la souhaite
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e). C’est à l’Europe qu’il appartient de modifier
ces
conditions, et l’on ne voit pas de raisons d’espérer que des solution
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teindre son plein vers 1910. La décolonisation de
ces
mêmes contrées commence en 1945 et approche de son terme dans les ann
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1. Dans toutes les conférences internationales de
ces
dernières années sur la démographie, la pollution ou l’alimentation,
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des souverainetés nationales dans la lutte contre
ces
dangers. Ce qui signifie pratiquement le blocage de toute mesure effi
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1948 et en 1950 à Paris. Le premier me décrit en
ces
termes : « Petit, trapu, l’œil sombre, le poil noir, le sourcil épais