1
ne propagande intense est nécessaire, pour amener
cette
prise de conscience. Mais bien plus efficaces encore sont les exemple
2
tins écrits dans le feu de l’action. Pour élargir
cette
œuvre en plein essor, nous en appelons maintenant à la coopération de
3
veulent liés à rien d’autre qu’au sort commun de
cette
patrie spirituelle qu’est l’Europe libre. Pour tous ceux-là, notre bu
4
duction industrielle et de dressage des citoyens.
Cette
confusion entre l’État et la culture, cette mainmise de l’organisatio
5
yens. Cette confusion entre l’État et la culture,
cette
mainmise de l’organisation bureaucratique sur la création spontanée,
6
nos États démocratiques tendent obscurément vers
cette
limite, non par une volonté consciente et déclarée, mais en vertu du
7
Créer des liens Tirons les conséquences de
cette
brève analyse. S’il est vrai que le Centre est un pool, à sa manière,
8
ue chez nous. Politiquement, on sait ce que donne
cette
attitude ambivalente : aidez-nous avec vos dollars, mais si vous exig
9
ifiquement établie » outre-mer. Comment sortir de
cette
broussaille de malentendus ? La bonne volonté n’y suffit pas ; elle e
10
re l’Europe et l’Amérique. Pour qu’un dialogue de
cette
nature soit juste, et pour qu’il puisse créer une atmosphère plus sai
11
lable de l’Europe sans participation des masses à
cette
union ; pas de participation sans une prise de conscience des problèm
12
eut être le sens de leur vie difficile. Pour eux,
cette
Europe-là, même unie par en haut, restera sans contenu spirituel ou s
13
s, ou s’il disparaissait, les nécessités mêmes de
cette
coordination amèneraient à le réinventer. Ceci, à condition, bien ent
14
l s’agit d’ordres différents, dirait Pascal. Mais
cette
constatation, quoique nécessaire, reste loin d’épuiser la question. C
15
de dollars consentis par les gouvernements. Avec
cette
somme, on pourrait entretenir 130 centres européens de la culture (un
16
araissent. C’est donc de là qu’il faut partir, de
cette
base-là, non point d’une organisation abstraite parce que mondiale, e
17
e calquer les organisations d’aide culturelle sur
cette
réalité de base. Partir d’en bas — non pas d’un centre trop élevé et
18
aujourd’hui d’une crise de l’Unesco, gageons que
cette
crise ne proviendrait que d’un manque d’appuis extérieurs, et non pas
19
ar exemple, au CEC, les directeurs de festivals).
Cette
méthode s’est montrée la plus économique, la plus rapide et la plus e
20
tionaux, en sont pratiquement privés aujourd’hui.
Cette
situation tend à créer un esprit de provincialisme parmi les jeunes e
21
cier leurs œuvres. L’atmosphère internationale de
cette
rencontre contribuera à combattre l’esprit de provincialisme qui gêne
22
s, d’après lesquelles seront choisis les hôtes de
cette
rencontre. Le Centre a constitué un Comité d’honneur international qu
23
travail, et aux différents concerts. Au cours de
cette
rencontre auront lieu quatre concerts symphoniques et trois concerts
24
ur la liberté de la culture décernera au cours de
cette
rencontre trois Prix internationaux aux trois meilleures œuvres qui a
25
effort d’union, se mue en opposition déclarée, et
cette
opposition se cherche éperdument des justifications tardives du côté
26
le principe fédérateur ne peut être que négatif,
cette
idée perdant force et opportunité, ils vont cesser de se croire fédér
27
viennent, de mettre en valeur le côté positif de
cette
opération. Un délai de grâce pour l’Europe Les Russes renonçant
28
le succès des digests. Selon les inspirateurs de
cette
campagne — laquelle se branche sur le sentiment spontané de larges ma
29
américaine ». Mais quel remède nous offre-t-on à
cette
situation humiliante ? Le statu quo ? L’éloquence indignée ? L’adopti
30
notre monde du xxe siècle. On sait l’histoire de
cette
union. En 1787, les treize États qui venaient de se libérer de la tut
31
s sont susceptibles de produire les mêmes effets,
cette
page nous dicte une politique. Regardons-nous dans ce miroir. l. R
32
rre. Quel est le sens de l’action européenne dans
cette
conjoncture angoissante ? Hiérarchie des problèmes Les manchett
33
civique de telle ou telle nation) qui rendraient
cette
union superflue, et auxquelles d’ailleurs, sans union, l’on ne pourra
34
ssaire, ou de l’application d’un idéal. On fait à
cette
« politique » un honneur immérité en la traitant de byzantine. Elle e
35
eure et supérieure à l’individu. Nous voulons ici
cette
Europe, comme le moyen pour les Européens de se dépasser. Nous travai
36
les Européens de se dépasser. Nous travaillons à
cette
éducation. « Il y a cet immense avenir tout neuf devant nous, qui nou
37
ue négative. Mais c’est peu, ou ce n’est rien, si
cette
réalité naissante reste incapable d’instituer un Pouvoir nouveau, con
38
ce. Nous cherchons à savoir si le Projet répond à
cette
nécessité fondamentale de notre histoire au xxe siècle. Telle est la
39
te. Nos points de vue sont bien trop divers. Mais
cette
diversité représente justement notre vrai titre à l’attention des res
40
la confrontation de nos jugements sur le Projet,
cette
convergence ne peut manquer de vous apparaître significative. Voici d
41
i ce moyen, tout imparfait soit-il, peut servir à
cette
fin qui, elle, demeure indiscutable. Nous pensons qu’il le peut, pour
42
à récuser, en tant que source de la Constitution,
cette
Assemblée ad hoc que vous avez créée. Pratiquement, le sort de l’Euro
43
nations, mais dont nous sommes tous responsables.
Cette
raison suffirait à elle seule, car le sens même de chacune de nos vie
44
dération. S’il faut le modifier, que ce soit dans
cette
vue : afin de ménager son avenir fédéral. D’une part, il peut être op
45
, le sens général du congrès. La manifestation de
cette
année, convoquée à La Haye par le Mouvement européen, du 8 au 10 octo
46
ns son unité historique, et les moyens d’exprimer
cette
unité en termes contemporains ». Enfin, le ME prépare un nouveau cong
47
crise de l’Europe, ne doit pas nous faire oublier
cette
maxime générale de l’action : on n’atteint des buts rapprochés qu’en
48
c’est la fonction même du CEC que de faire vivre
cette
idée, là où vivent et agissent les idées, « dans les esprits et dans
49
donner suite pratique aux directives dégagées par
cette
réflexion. L’institution reprend ses droits et ses devoirs quand s’ét
50
ommuns et de diffusion raisonnée des résultats de
cette
recherche. Cette base pratique, instrumentale, étant désormais établi
51
usion raisonnée des résultats de cette recherche.
Cette
base pratique, instrumentale, étant désormais établie, il s’agit d’un
52
à Rome l’automne dernier. Pour situer rapidement
cette
entreprise, partons de la deuxième question : où sommes-nous, Europée
53
rd’hui, apparaissent transitoires et relatives. À
cette
fin, j’avais introduit, dans les six thèmes proposés, l’idée d’un des
54
l’avons communiqué, « donné » au monde entier, et
cette
liqueur tout d’abord enivrante est bientôt devenue poison. C’est à no
55
t, éducation5). — Le Centre pense-t-il avoir, de
cette
manière, vraiment servi ou aidé la culture, dans les divers pays du C
56
e pas rendre vaines vos activités culturelles ? —
Cette
crise est au contraire l’argument le plus fort en faveur de l’existen
57
lisme qui tue les patries, ces craintes absurdes,
cette
ignorance, cette mauvaise éducation historique, et cette inconscience
58
patries, ces craintes absurdes, cette ignorance,
cette
mauvaise éducation historique, et cette inconscience tragique ? Le pr
59
gnorance, cette mauvaise éducation historique, et
cette
inconscience tragique ? Le problème est en réalité « culturel » au se
60
rope, ni l’éveil d’un sentiment européen. Certes,
cette
vaste organisation gouvernementale et mondiale s’occupe parfois sur u
61
du continent, les impératifs de son économie, et
cette
grande nostalgie de l’homme occidental, qui demande beaucoup plus que
62
s’ajouteraient la Russie et ses six satellites.)
Cette
grandiose alliance « démocratique » comprendrait, selon les vœux du K
63
t, et quatre nations en Asie. Il baptise « paix »
cette
conquête par la force, et « provocation belliciste » toute tentative
64
itique fédéral a pris naissance en 1848 ? Jusqu’à
cette
date, la Suisse n’était qu’une alliance d’États souverains. Pendant d
65
des cantons souverains, pourvus du droit de veto,
cette
Diète « n’avait en fait d’emprise sur les cantons que dans la mesure
66
Constitution suisse de 1848 garantit expressément
cette
souveraineté, en même temps qu’elle la limite, ou plutôt qu’elle en d
67
eur souveraineté nominale. Quant à l’essentiel de
cette
souveraineté, elles l’ont perdu, et sans retour. À la question : pour
68
) n’a pas encore senti la nécessité historique de
cette
construction — nécessité qui demeure intacte après leur vote. — En re
69
ou les combinaisons de coulisses parlementaires.
Cette
méthode a réussi (OECE, CECA) jusqu’au jour où les adversaires de l’u
70
nt et plus que dans les intérêts particuliers. Or
cette
attaque eût impliqué une campagne éducative en profondeur, que l’on a
71
ondeur reste indispensable. Du côté nationaliste,
cette
préparation se trouve faite, depuis un siècle, et notamment par les m
72
réations par lesquelles le Centre espère donner à
cette
question un sérieux commencement de réponse. Ces activités nouvelles,
73
t, triomphe des Verts ou des Bleus aux élections.
Cette
conception courante de l’action est celle des hommes qui n’agissent p
74
jour où tout sera mûr pour sa naissance. Préparer
cette
maturation ; créer ses conditions là où elles n’existent pas ; les fa
75
cientifiques d’aujourd’hui, vont être consacrés à
cette
étude. Une série de publications allant de l’ouvrage technique à la b
76
fuseront plus tard les conclusions. ⁂ Au seuil de
cette
cinquième année de nos travaux, ce n’est pas un bilan qu’on vient de
77
ouvernements. Plus ambitieuse encore, et destinée
cette
fois à demeurer très proche du Centre, une seconde initiative est en
78
est qu’il n’est pas satisfait de ce qu’il a. Mais
cette
réponse ne vaut que pour le chercheur occasionnel. Celui qui cherche
79
veux-tu donc ? et elle dit enfin : Je veux Dieu !
Cette
légende marque le but extrême de toute la recherche des hommes. La Ba
80
morales, intellectuelles et pratiques. D’où vient
cette
inquiétude fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que les meilleu
81
éplorent depuis des siècles ? Je ne pense pas que
cette
inquiétude et ce désordre soient accidentels. Je pense même qu’ils re
82
n plus large de l’interpréter, la Science avance.
Cette
inquiétude perpétuelle, dont vous venez de voir qu’elle est déterminé
83
pourtant, c’est tout cela qui a fait l’Europe. Et
cette
Europe a dominé le monde, non point malgré tout cela, mais à cause de
84
versent l’Océan, d’énormes capitaux s’amassent...
Cette
histoire vraie se passe de commentaires. Nulle autre, me semble-t-il,
85
il, n’était mieux faite pour servir d’épigraphe à
cette
journée, consacrée à l’éloge de la recherche. 11. Je la tiens du gr
86
a notion de l’homme qui fut l’origine décisive de
cette
civilisation, et qui en restera le plus haut achèvement. Ce n’est pl
87
suprême et impérieuse de susciter la résistance à
cette
immense offensive anonyme contre l’humain, phénomène dont l’histoire
88
Mais surtout, l’Europe se sent impuissante devant
cette
montée des périls. Les 325 millions d’hommes qui l’habitent, à l’oues
89
e d’une grande tâche historique, qui est celle de
cette
génération. La force dont ils auront besoin est certes d’ordre spirit
90
Entre deux blocs presque également armés — et de
cette
arme — il ne peut plus y avoir ce que l’on nommait une guerre, mais s
91
détente. La question qui se pose désormais, dans
cette
situation « négative », mais qui ouvre pourtant des avenues, c’est de
92
a démonstration de notre goût pour la liberté. Et
cette
démonstration, accompagnée d’une exposition gratuite et ouverte à tou
93
voit exigée de ceux qui parlent. Mais qui sait si
cette
discipline ne deviendrait pas, qu’on le veuille ou non, l’objet princ
94
et donc les plus coûteuses. D’autres échanges de
cette
nature seront organisés par l’intermédiaire du secrétariat. Un servic
95
oins trompeuse nous soit proposée par le Kremlin.
Cette
opinion nous paraît mal fondée, pour trois raisons : 1. Il n’est pas
96
ir les rênes du pouvoir mais sauver les âmes ». À
cette
culture byzantine fondamentale, l’occupation mongole (1224-1320) ajou
97
éjà, plus homogène et plus stable que l’ancienne.
Cette
culture était russe dans le sens le plus strict du mot, exprimant des
98
clair, du reste, que le prestige du pays tient à
cette
époque, et plus tard encore, non pas tant à son nouvel essor culturel
99
h à la mort d’Alexandre Ier, et à bien des égards
cette
domination se prolongea jusqu’à nos jours. Pendant près de deux siècl
100
ds poètes occidentaux afin de les acclimater dans
cette
contrée nouvelle ; il se pénètre du génie de la France, de l’Angleter
101
enir partie intégrante de la culture européenne.
Cette
harmonie toutefois ne valait que pour la culture proprement dite, pou
102
urg, avait décrit la magnificence fantomatique de
cette
capitale, créée par un tyran dans des marécages malsains, au prix de
103
sains, au prix de la vie de milliers d’ouvriers.
Cette
prise de vue remonte à 1809. Bientôt le dernier grand architecte de l
104
lo Rossi (1777-1849), allait faire de Pétersbourg
cette
étrange métropole hyperboréenne où triomphent pour la dernière fois,
105
elligentsia, révolution, censure Qu’est-ce que
cette
intelligentsia — terme latin russifié à la hâte — qui apparaît vers l
106
our être admis au sein de la nouvelle élite. » Or
cette
nouvelle élite n’est pas « libérale » au sens occidental du mot. « Il
107
er les uns les autres.19 C’est à l’Occident que
cette
intelligentsia va emprunter toutes les idées sans exception (Weidlé)
108
totalitarisme bolchévique plonge ses racines dans
cette
intelligentsia russe des années 1860-1870. Il définit « ce désir si a
109
ous pratiquent la répression par la censure. Mais
cette
censure, stupidement exercée par des bureaucrates, si elle conduit Do
110
cte unanime d’accusation contre la vie russe » —,
cette
censure laisse cependant publier la plupart des œuvres des écrivains
111
vski, Tolstoï n’ont pas échappé à la vigilance de
cette
seconde censure ; d’autres écrivains de grand talent — Leskov, Léonti
112
rement expérimentales dans les arts. Durant toute
cette
époque, le libre-échange des influences entre la Russie et les autres
113
de ce qui fut compris, rien de ce qui fut créé à
cette
époque n’est concevable en dehors de ces nouvelles connaissances, de
114
l’autre de l’immense pays, le mois de juillet de
cette
année-là était torride. Les forêts brûlaient ; on sentait jusque dans
115
une réglementation de l’opinion publique en URSS…
Cette
sorte d’attaque nous est connue… Toutefois, ceux qui prendront connai
116
ion soviétique ne semble pas gênée par l’échec de
cette
conférence… N’y aurait-il pas quelque vérité dans ces mots frappants
117
odie du Moyen Âge. Je suis convaincu que derrière
cette
façade de xénophobie et d’insularité, il y a chez le Russe moyen une
118
s idées. C’est en effet une liberté d’échanges de
cette
nature que nous nous efforçons non seulement d’établir avec les cultu
119
ronde groupant des écrivains russes et européens.
Cette
possibilité a toujours existé en Europe. Pourtant, elle ne pouvait se
120
ux pays d’Orient et d’Occident. On voit donc que
cette
table ronde, dans l’esprit de Cholokhov, ne devrait pas réunir seulem
121
ommunistes. Acceptant sans réserve le principe de
cette
invitation, essayons de voir comment une pareille table ronde pourrai
122
, incapable d’aimer Picasso ou Paul Klee ; et que
cette
adhésion, à son tour, n’entraîne des conclusions politiques absurdes.
123
ne pouvons entrer ici dans plus de détails, mais
cette
précaution de principe devait être formulée ; les modalités d’exécuti
124
toutes les raisons de nous refuser avec énergie à
cette
éventualité. Nous n’avons rien à redouter, pour notre part, d’échange
125
i les députés et j’ai voté avec enthousiasme pour
cette
déclaration ». Article de A. Cholokhov, cité plus haut, cf. p. 7 de n
126
e l’échec de la CED devant le Parlement français.
Cette
origine de l’expression en indique le sens véritable : une certaine f
127
es autres pays d’Europe. On distingue mal en quoi
cette
organisation différerait de celles du Conseil de l’Europe et de l’Uni
128
ome, en octobre 1953, par le Conseil de l’Europe.
Cette
manifestation exceptionnellement brillante avait réuni, dans les salo
129
es études discutées et mises au point au cours de
cette
deuxième table ronde. Le directeur du CEC présidera, cette fois encor
130
xième table ronde. Le directeur du CEC présidera,
cette
fois encore, les débats, auxquels prendront part notamment les écriva
131
pas d’informer nos lecteurs sur les résultats de
cette
importante réunion. ap. Rougemont Denis de, « Une deuxième table r
132
s Européens sans choisir des moyens convenables à
cette
fin : c’est dire que la méthode d’éducation doit être elle-même « eur
133
grammaire, arithmétique, histoire, sciences, etc.
Cette
communication ne vise pas à initier l’individu à des mystères en tant
134
onsables. (Tout en gardant bien dans l’esprit que
cette
formation ne peut réussir que dans la mesure où elle vise en même tem
135
auche », ou encore comme il est en révolte contre
cette
famille ou ce milieu, il votera gauche ou droite au nom de ses origin
136
l’Europe n’est plus reine ; — ce que fut naguère
cette
Europe et ce qu’elle peut devenir dès que nous aurons renoncé à nos f
137
l peut agir. Où l’Europe devient une patrie
Cette
orientation générale et cette intégration locale, on ne peut les atte
138
vient une patrie Cette orientation générale et
cette
intégration locale, on ne peut les attendre de l’École, à aucun de se
139
ux qui se posent dans ce domaine, au xxe siècle.
Cette
orientation préliminaire nous permettra maintenant de mieux définir l
140
destin historique de tous les Européens. Tant que
cette
communauté de conscience n’aura pas été réveillée et informée, les ef
141
13 juin. Il a décidé de ne pas attribuer le Prix
cette
année. Deux critères étaient fixés par le règlement du Prix : haute t
142
re suffisamment au second critère. Sur la base de
cette
expérience, le jury a étudié une nouvelle formule de Prix européen po
143
CEC suscita la Communauté. On pouvait espérer, à
cette
époque, que la perspective de se voir publié en plusieurs langues par
144
une malice percutante, à la Voltaire. Mais aussi,
cette
page décisive dans sa lucide simplicité : La mesure de l’homme moder
145
e siècle, qui fascinera les marxistes. Ou enfin
cette
conclusion, qui dit si bien l’angoisse de tous les militants de l’Eur
146
t la volonté de transformer les choses, y compris
cette
chose qu’est l’homme. Mais aussi, ce qui est humain, c’est l’orgueil
147
destiné à la presse et qui s’efforcera de combler
cette
lacune. Trois éditions différentes, en français, anglais, allemand. D
148
ment politiques. Le CEC se devait d’anticiper sur
cette
évolution inévitable, déjà sensible aux USA, mais qui doit être orien
149
ques, de traditions et de créations communes. Sur
cette
base d’unité, l’union peut s’édifier. L’unité est un fait, l’union se
150
on serait une action. L’existence de ce fait rend
cette
action possible. Premier point. Mais il y a plus. L’unité de base ell
151
l’union. La crise de l’unité rend donc impérative
cette
union qu’on vient de voir possible. Sa nécessité est inscrite dans le
152
e eux de l’extérieur. La crise de Suez a illustré
cette
situation. On a vu se dresser contre nous, à l’ONU, le monde arabe so
153
darité des nations est une nécessité vitale, dans
cette
seconde moitié du xxe siècle. 4. Premières réalisations Un con
154
mblée parlementaire européenne. L’année suivante,
cette
Assemblée se réunit pour la première fois à Strasbourg et un Comité d
155
s l’union européenne. Quelles sont les raisons de
cette
attitude réservée ? La Suisse occupe une position centrale dans notre
156
observe fidèlement son devoir de neutralité. Mais
cette
neutralité a été reconnue « dans les vrais intérêts de l’Europe entiè
157
’Europe. Elle connaît une grande prospérité. Mais
cette
prospérité peut être compromise par la crise européenne. 2. Les guerr
158
la définition d’un festival Les promoteurs de
cette
enquête ne pouvaient s’attendre à une approbation unanime de la défin
159
i serait absurde, ce serait évidemment de prendre
cette
idée au pied de la lettre, dans un esprit « totalitaire » comme le di
160
un ou deux de nos correspondants l’ont entendu de
cette
manière.) Groupement tout amical, spontanément formé dans un esprit d
161
à l’homme d’autres cultures et civilisations. De
cette
affinité d’essence et d’existence entre la musique et l’Europe, il ré
162
y avait pas d’espoir de « trouver » l’expérience,
cette
aventure étant sans précédent. Pour le reste, voici l’histoire, rédui
163
icacité de l’action éducatrice et culturelle pour
cette
union. Or sans argent, peu de collaborateurs, beaucoup d’efforts ingr
164
it de plus amples entreprises. Et c’est bien dans
cette
vue qu’il convient, croyons-nous, d’apprécier ce qu’il a fait, ce qu’
165
anton ; — une enquête finale sur les résultats de
cette
action. De plus, le directeur du CEC a été chargé d’écrire le chapitr
166
« La Suisse et l’Europe ». Le succès remporté par
cette
première expérience dans le corps enseignant a incité d’autres organi
167
talie), patronnée par le gouvernement autonome de
cette
région. La perspective du prochain percement du tunnel du Mont-Blanc
168
t-Blanc constituera le point de départ concret de
cette
expérience. Stage d’information des responsables d’expériences-pil
169
européenne, sur les problèmes éducatifs que pose
cette
intégration et sur certaines techniques particulières (jumelages de c
170
CECA ont accepté de participer à l’élaboration de
cette
première série. M. Kormoss, chef du service cartographique du Collège
171
se poursuivaient au CEC, le bulletin a paru sous
cette
forme de 1952 à 1956, à raison de six numéros par an. Dès 1955 cepend
172
ns que nous la pratiquons, nous ne dirons pas que
cette
méthode a fait ses preuves, car il faut une génération pour vérifier
173
n pour vérifier les résultats d’une entreprise de
cette
nature ; mais nous voyons du moins sur quelles thèses elle se règle,
174
rs d’entreprises éducatives dégagent et formulent
cette
constatation au terme des travaux, donnant ainsi aux résultats acquis
175
Si nous voulons survivre, il faut l’union ; mais
cette
union ne se fera pas d’elle-même ou par l’opération de mystérieux tec
176
L’Europe reine du monde avant 1914, mais perdant
cette
royauté à la suite de deux guerres provoquées par ses propres nationa
177
ici même et dans d’autres revues dès le début de
cette
année, semble être dans l’air. Un tel Conseil serait le couronnement
178
les affaires humaines. Les partisans eux-mêmes de
cette
doctrine montrent d’ailleurs qu’ils n’y croient pas absolument, puisq
179
is, de la défense de l’Europe et de notre survie.
Cette
révolution dans la conscience bourgeoise est commencée. Maintenant il
180
aussi des promesses qu’implique l’union future, —
cette
vision claire et réaliste contribuant à susciter des volontés qui tro
181
rects et réactions induites, essayons de tirer de
cette
confrontation quelques conclusions de bon sens. Dangers que présent
182
e l’écrit Altiero Spinelli. Si j’adopte toutefois
cette
position, on voudra m’accorder que c’est en tant que philosophe et pr
183
s contradictoires. Elle pourrait être définie par
cette
formule : les contraires ne s’excluent pas, mais s’impliquent mutuell
184
e élue au suffrage universel. 2. Tous veulent que
cette
Assemblée élabore le statut politique ou la Constitution de l’Europe
185
la somme européenne de nos politiques nationales.
Cette
somme égale zéro dans le meilleur cas. Il n’y a pas de politique euro
186
omis par l’échec de l’union politique. C’est dans
cette
perspective d’urgence mondiale que les fédéralistes ont maintenant le
187
que vous avez compris l’importance que peut avoir
cette
réunion, dans le contexte de la construction européenne. De quoi s’ag
188
n issue, qui ne dépend de vous qu’en partie, mais
cette
partie vous intéresse au premier chef et justifie notre rencontre. Vo
189
ous parlez à temps. Deux mots sur l’historique de
cette
rencontre. Lors de l’assemblée générale annuelle de l’Association des
190
ous sommes engagés à convoquer, préparer et tenir
cette
réunion dans un délai de trois semaines et demie, et vous voici. Je
191
De plusieurs côtés, on nous a dit : — Attention !
cette
réunion est prématurée ! Attention ! vous arriverez trop tard ! N’en
192
: car ils ne deviendraient pas plus européens par
cette
simple addition d’informations nationales. L’Europe n’a pas besoin no
193
le culturel et humain au sein duquel se développe
cette
spécialité, et dont elle se nourrit. 3. Un enseignement supérieur do
194
es instituts européens spécialisés répondraient à
cette
nécessité. Ils offriraient ces occasions de prises de contact personn
195
les facilités offertes par telle ou telle ville.
Cette
dispersion ne présenterait pas d’inconvénients majeurs, si les instit
196
a radio, la télévision et le cinéma. Il y a enfin
cette
espèce de rumeur entretenue autour de la culture par les magazines, l
197
culture par les magazines, la presse, les modes,
cette
espèce d’aura qui entoure le phénomène culturel, sans être elle-même
198
lle-même de la culture. Ceux qui sont touchés par
cette
rumeur, cette aura, ne sont guère plus « culturels » que ne sont « sp
199
culture. Ceux qui sont touchés par cette rumeur,
cette
aura, ne sont guère plus « culturels » que ne sont « sportifs » ceux
200
de la troisième zone de diffusion culturelle, de
cette
rumeur ou aura dont je parlais tout à l’heure. Il peut certes fausser
201
que 200 et la troisième année vous fermerez. » Or
cette
Guilde compte aujourd’hui 90 000 membres, lecteurs nouveaux pour la p
202
Buck. On avouera que la qualité n’a rien perdu à
cette
augmentation spectaculaire de la quantité. De ces quelques faits stat
203
t créera toujours davantage la technique moderne.
Cette
technique, en effet, ne permet pas seulement de produire livres et di
204
ésente « en l’émancipant de ses complexes ». Dans
cette
vue de l’histoire, l’objectivité pure ne mènerait qu’à déchiffrer des
205
gmans, comme Dawson et G. de Reynold, s’attache à
cette
période pour mieux mettre en lumière la « maturité » qu’elle prépare,
206
historique, que nous ne pouvons que signaler dans
cette
brève recension. Le grand avantage de Brugmans, étudiant la période c
207
ècle pouvaient-ils se faire de l’Europe ? C’est à
cette
seule question, strictement définie et limitée, qu’entend répondre l’
208
njoncture historique et sociale de chaque époque.
Cette
critique apparaît injuste, si l’on prend garde au titre et à l’objet
209
voie son image déformée, le plus souvent hostile.
Cette
immense « expropriation », voilà bien le nouvel Enlèvement d’Europe,
210
ble ». Pourtant, nulle exaltation romantique dans
cette
conclusion confiante. Derrière la figure prométhéenne du Faust europé
211
efficacité extraordinaire. Il importe d’ajouter à
cette
très brève caractérisation du thème et de l’esprit de l’ouvrage, que
212
plus encore que dans le passé. Mais pour éveiller
cette
conscience, il faut aller jusqu’à ses sources collectives : l’École e
213
rapports finaux : du moins verra-t-on cités dans
cette
publication les noms de 89 d’entre eux ! Les enquêtes scolaires ont t
214
les résultats fort variables qui ont été obtenus,
cette
publication vise à dégager un certain nombre de conclusions pratiques
215
d, afin de mieux montrer ensuite, par le moyen de
cette
publication, ce qui peut être fait et ce qu’il reste à faire. Fort de
216
iaux, à la fois matériels et moraux, produits par
cette
activité. Quoi qu’on en pense, un fait demeure indiscutable : le conc
217
i a permis de passer du « petit cap de l’Asie » à
cette
royauté longtemps incontestée — et qui peut renaître demain sous d’au
218
t à nos yeux une unité de culture. Sur la base de
cette
unité intégrant les apports les plus divers au cours des siècles, mai
219
ande : quelles seront ses limites ? Nous refusons
cette
question mal posée. Car une culture ne saurait être définie par des b
220
’Europe que nous voulons doit être à la mesure de
cette
force de rayonnement. Son découpage accidentel et temporaire en Europ
221
n proportion d’une telle mission, nous savons que
cette
faiblesse matérielle est la rançon de notre indépendance de tous part
222
plus vaste union. Où sont les obstacles majeurs à
cette
union ? On nous répète qu’ils seraient dans les faits, dans les intér
223
t, et c’est d’elle enfin que les peuples ont reçu
cette
idée de la liberté et ces moyens de se libérer qu’ils ont hâte d’appl
224
les méthodes de l’Éducation, comme si les fins de
cette
Éducation allaient de soi. Et en effet, durant des siècles, ces fins
225
et à n’importe qui, d’un savoir déclaré objectif.
Cette
instruction ne vise pas à introduire au mystère, mais au contraire à
226
l’enseignement qu’on leur offre. Ces jugements et
cette
description, je les extrais du livre qu’une institutrice écœurée publ
227
définir ce qu’est la voie européenne. Posons-nous
cette
question très simple : Pourquoi sommes-nous choqués par les excès amé
228
férences, dessiné à grands traits. Pour illustrer
cette
première partie de mon exposé, j’aurai recours à une parabole, que j’
229
, libre pour accomplir sa vocation, et engagé par
cette
vocation dans une communauté humaine devant laquelle il se voit respo
230
vant laquelle il se voit responsable. À partir de
cette
idée de l’homme, il devient possible d’interpréter d’une manière cohé
231
une à l’autre, mais maintenues ensemble, et c’est
cette
tension, sans cesse renouvelée et restaurée, cet équilibre dynamique,
232
a donc pu me le communiquer en quelques mots, et
cette
initiation a réussi, où l’instruction avait échoué. J’ignore son nom,
233
er d’institutions communes, il est bien clair que
cette
fédération ne tombera pas du ciel, et ne sera pas non plus instaurée
234
politique des élèves et de leur apathie civique.
Cette
constatation signifie que le régime actuel de nos pays est accepté pa
235
étruire ses fondements politiques et économiques.
Cette
difficulté et cette déficience, communes à nos enseignements civiques
236
ts politiques et économiques. Cette difficulté et
cette
déficience, communes à nos enseignements civiques nationaux, vont app
237
mènent tout à la doctrine socialiste soviétique.
Cette
imprégnation idéologique apparaît d’une manière non moins frappante d
238
e ! Et d’abord, garçon ! deux fines à l’eau ! » À
cette
« suite », nous avons collaboré pendant près de treize ans. Nous avon
239
y voit un trait de l’intelligentsia parisienne de
cette
époque. Il a rencontré Gide dans un train entre Prague et Paris, et i
240
les Beresford. À travers ses notes succinctes sur
cette
période de sa vie, on l’entrevoit chez la comtesse de Castries parlan
241
ser à une cause qui paraît sans espoir. C’est sur
cette
opinion d’abord que Retinger estime qu’il faut agir. À la faveur du l
242
t ans plus tôt, Conrad avait déjà derrière lui, à
cette
époque, toute sa carrière d’officier de la marine marchande. Il avait
243
passe en Amérique latine. La pièce fut commencée
cette
nuit même, dans la plus grande excitation, et les deux amis y travail
244
nées d’exil. Il ne dira qu’une phrase au terme de
cette
nuit-là : « Cher Joseph, c’est un grand bonheur d’avoir enfin pu veni
245
tique de première importance pour sa patrie. Mais
cette
mission, il devra l’accomplir en passant d’abord chez l’ennemi. Probl
246
x-ci garantissent la libération de la Pologne. De
cette
mission qui, selon lui, échoua complètement, Retinger tire des leçons
247
plus suffisamment intéressé. Il semble considérer
cette
aventure comme un simple exercice dans son apprentissage des réalités
248
e la retracer ici. Qu’il suffise de rappeler qu’à
cette
époque, les compagnies étrangères, américaines surtout, possédaient 9
249
gouvernement central n’avait plus aucun pouvoir.
Cette
exploitation du pays par l’étranger rapportait certes au gouvernement
250
résumés, je crois bon de ne pas les omettre dans
cette
esquisse biographique : ils donnent ses vraies couleurs à toute une p
251
e d’aller lui-même informer Mr. Hoover. Chargé de
cette
mission secrète par le président, il part pour Washington. À son pass
252
tes avec lesquels Retinger collabora durant toute
cette
période : de l’Américain Sam Gompers (« le plus grand de tous ») au H
253
sieurs pays. La mort de Morel, en 1925, met fin à
cette
tentative. Puis, avec l’aide de quelques députés travaillistes, il dr
254
uerre de 1939 va lui permettre enfin de sortir de
cette
période de bohème politique et d’accéder au niveau où l’histoire non
255
SOE50, de lui fournir les moyens nécessaires pour
cette
mission. Pour des raisons de sécurité, Retinger fut d’abord caché dan
256
vit, « qui m’empêcha de penser au saut et d’avoir
cette
sensation horrible de trac au creux de l’estomac ». Signal, saut, man
257
efficace toute action menée en exil pour modifier
cette
politique. L’ultime salut de la Pologne ne pouvait venir, à ses yeux,
258
connaître. Sa plus grande habileté, durant toute
cette
période, fut sans doute de donner l’impression qu’il était obligé de
259
emands avec Adenauer, qu’on connaissait à peine à
cette
époque, et qui au surplus demeura dans sa chambre d’hôtel, suivant de
260
e cesse de retrouver ce qui avait été proposé dès
cette
date. Mais plus étonnante encore que la réussite du Congrès de l’Euro
261
ropéen et il en devient le secrétaire général. En
cette
qualité, il forme et conduit, avec Duncan Sandys, président du Mouvem
262
ralisme, mais l’intermédiaire indispensable entre
cette
avant-garde et les pouvoirs, c’est-à-dire les gouvernements et parlem
263
à Ferney, en février 1948, pour m’embarquer dans
cette
longue entreprise, et me persuader de tenter l’aventure. Lorsque plus
264
évoqua la mission particulière de la Suisse dans
cette
perspective : « L’idée culturelle européenne a sa résidence en Suisse
265
de culture indépendantes qui se manifestent dans
cette
seconde moitié du xxe siècle, notamment celle de l’Inde, du monde ar
266
sans doute l’un des moyens les plus efficaces de
cette
fin ; 2° qu’un problème tout à fait analogue se posait aux nouvelles
267
les moyens matériels indispensables pour initier
cette
ambitieuse et nécessaire action d’avenir, pour réunir un premier coll
268
en Amérique latine — une tendance à réagir contre
cette
croissante uniformité qui les prive de leurs signes extérieurs tradit
269
conscients des lacunes et maladies spécifiques de
cette
culture ; et donc ouverts aux valeurs différentes, complémentaires, o
270
« l’aide aux pays techniquement arriérés » : que
cette
aide ne soit pas payée ou acceptée au prix de l’âme d’une culture ; é
271
t de raison profane, en tension et contradiction.
Cette
dialectique interne explique son dynamisme, souvent ressenti comme ag
272
ux, philosophique, biophysique, etc. Aujourd’hui,
cette
civilisation est diffusée dans le monde entier, mais sans son context
273
une région, étudier les problèmes spécifiques de
cette
région ; offrir un lieu de rencontre et de coopération aux hommes qui
274
immense du dialogue entre les cultures. Ici, dans
cette
maison, nous nous sommes efforcés, depuis onze ans, de réunir en vue
275
e nationale ou partisane. Il est tout naturel que
cette
« voix de l’Europe » cherche maintenant à dialoguer avec d’autres voi
276
que plus chaleureusement votre présence autour de
cette
table. (Suit une présentation des participants, lecture des messages,
277
cessité de lui donner des suites. Je souhaite que
cette
première journée de conversation nous permette de vérifier notre acco
278
ent le dialogue des cultures qui pourrait établir
cette
base d’entente. Même si la chance qu’il nous offre est faible, nous d
279
raiment, par converser tout simplement, autour de
cette
table, sans discours et sans formalisme. J’ai assisté à trop de congr
280
enciatrice, par laquelle nos cultures répondent à
cette
pression qu’elles subissent toutes. De ces deux faits de base résulte
281
ope et dans le monde arabe, par exemple. Une fois
cette
première mise au point de notre situation de départ effectuée nous po
282
la technique. Je parlais dans mon introduction de
cette
espèce d’uniformisation superficielle, venant de l’extérieur, qui nou
283
mène au dialogue — pour quelle raison ? Parce que
cette
technique, elle est sortie tout de même, on l’a rappelé à plusieurs r
284
a culture dans chacune des régions différentes et
cette
réalité objective qu’est devenue la technique. Première forme du dial
285
ogue, première raison de dialoguer. Il s’agit que
cette
technique objectivée ne vienne pas maintenant briser, dissocier, des
286
river à un développement harmonieux, et non pas à
cette
brisure, à cette espèce de schizophrénie que risque de créer la techn
287
ppement harmonieux, et non pas à cette brisure, à
cette
espèce de schizophrénie que risque de créer la technique dans des rég
288
c’est le cas en Europe. Nous en arrivons alors à
cette
question de la culture ou des cultures. J’avais prévu dans mon introd
289
es nations européennes, il nous faut avoir en vue
cette
culture de l’universel dont parlait d’Arboussier et dont parle Sengho
290
a dernière guerre. Le critère adopté pour établir
cette
liste est des plus simples : ont été cités les ouvrages qui, dans tou
291
éen. Vers une Semaine européenne du livre De
cette
bibliographie seront extraites (et publiées dès mars 1963, en brochur
292
otre initiative, et qui aura lieu au printemps de
cette
année (du 30 mars au 6 avril) avec l’appui déterminant de la Communau
293
duction « européiste » contemporaine. L’examen de
cette
coupe appelle, à notre avis, deux remarques fondamentales. Trop de
294
arché commun, ni donc de prétexte et d’objet pour
cette
littérature « d’actualité », qui vient toujours après ce que d’autres
295
er d’institutions communes, il est bien clair que
cette
fédération ne tombera pas du ciel, et ne sera pas non plus instaurée
296
action européenne dans le domaine de l’éducation.
Cette
réaction positive, sans réserve, est particulièrement frappante dans
297
xemplaire le rôle que peut jouer un festival dans
cette
renaissance des régions. Mon ami Roger Bigonnet n’a pas oublié que po
298
lloque d’Aix se trouve renforcée et confirmée par
cette
remarquable synthèse. cv. Rougemont Denis de, « [Avant-propos] Pou
299
s, ou renouvelées, qui se partagent le monde dans
cette
deuxième partie du xx e siècle, qu’il s’agisse de la culture européen
300
e est en train de s’objectiver, de se détacher de
cette
base, de ce foyer créateur qu’a été l’Europe, et de se confronter ave
301
res très diverses, nous sommes tous colonisés par
cette
même civilisation technologique et nous devons retrouver notre équili
302
e, et grandi avec elle depuis cent cinquante ans.
Cette
thèse peut paraître pessimiste, peut paraître se rattacher à tout ce
303
sse à la synthèse des opinions émises au cours de
cette
première partie de nos débats, je voudrais répondre en quelques mots
304
une métropole culturelle et économique. Je trouve
cette
image parfaitement exacte en ceci qu’elle évoque un pouvoir émetteur,
305
la mauvaise décentralisation… Comment constituer
cette
masse de manœuvre monétaire qui correspondrait à ce qu’était autrefoi
306
ars ; je tiens ce chiffre d’un de ses directeurs.
Cette
fortune provient d’une mesure très simple, qui est la détaxation des
307
un test qui permettrait de mesurer la vitalité de
cette
métropole, c’est-à-dire de voir jusqu’à quel point le secteur industr
308
peuvent s’apporter les uns aux autres. Je suggère
cette
idée de fondation, dotée par l’économie régionale, non pas dans l’esp
309
u point ; 3° d’inciter les participants à élargir
cette
action dans leurs milieux, c’est-à-dire d’organiser à leur tour des s
310
ppelée Babel, ce qui veut dire confusion. Grâce à
cette
tour, il espérait escalader le Ciel : tentant ainsi non seulement d’é
311
bien que presque tout le genre humain collabora à
cette
œuvre d’iniquité. Une partie commandait, une partie dressait les plan
312
besoins certains et à des nécessités limitées de
cette
même vie — mais comme inspirés de créer une forme d’existence tout ar
313
forme d’existence tout artificielle… » Au-delà de
cette
Europe décrite par Valéry, l’interprétation de Dante me paraît valabl
314
de l’Europe, elle fait songer irrésistiblement à
cette
institution dont le nom même semble indiquer qu’elle devrait résumer
315
elles, et donc artificielles — elle fait songer à
cette
tour du Savoir, tellement démesurée qu’il faut, pour l’édifier, divis
316
C’est l’Europe, c’est elle seule, qui a déclenché
cette
évolution planétaire. L’Europe a découvert la terre entière, et perso
317
ralement le tour du monde. Mais en même temps que
cette
culture se mondialise, dans la mesure où partout, on exige ses produi
318
manifeste et se prononce, précisément au cœur de
cette
culture qui fut l’agent de la convergence mondiale, un mouvement radi
319
ogie et la philosophie, ni dans les lettres. Mais
cette
disparité n’a rien de rassurant, tout au contraire : elle accroît la
320
ies — mais tant pis, cela ne se sait pas encore !
Cette
espèce de résignation intellectuelle correspond à une forme schizoïde
321
La presque totalité des expériences tentées dans
cette
intention si louable ont échoué, et les raisons de ces échecs répétés
322
us compréhensif. Les activités intellectuelles de
cette
communauté peuvent être définies à grands traits comme suit. Quant à
323
plus qu’elle n’a jamais fait dans son histoire.
Cette
liste de thèmes, vous le sentez, ne demande qu’à s’allonger au gré de
324
de l’Europe ont beaucoup évolué depuis 1945. Dès
cette
année-là et au cours des cinq années suivantes, les groupes de milita
325
idéologies, certaines formes de vie publique, que
cette
culture seule expliquait. Alors parut un troisième motif d’union : re
326
d’un philanthropisme naïf. Ce sont les travaux de
cette
commission qui, personnellement, me passionneraient le plus, parce qu
327
trouveraient du même coup radicalement faussées.
Cette
hypothèse n’est pas gratuite, ou farfelue. Dans l’Inde védique, de 15
328
ffirme assez bizarrement l’un de nos rapporteurs.
Cette
brève introduction à l’ensemble des rapports de base ne visait en som
329
ans l’histoire de la conscience européenne. 62.
Cette
commission fusionna, au dernier moment, avec la commission économique
330
dans l’optique de l’Europe que nous voulons unir,
cette
Europe qu’il s’agit de faire vivre tout d’abord dans l’esprit et le s
331
e quelque chose, le libre choix de cet acte ou de
cette
abstention le rendant aussitôt responsable vis-à-vis de sa propre con
332
i qui agit sous contrainte n’est pas responsable.
Cette
liaison fondamentale et indissoluble de la liberté et de la responsab
333
ité, la différence personnelle puisse apparaître.
Cette
différence se manifeste d’abord comme une erreur. Il appartient au bo
334
tionales » bien distinctes, autonomes et rivales.
Cette
conception n’est pas seulement responsable des guerres absurdes, just
335
, mais ils sont là pour tous, et lui seul en tire
cette
œuvre qui nous intéresse, non telle autre, née au même moment, dans l
336
etc., sont des créations typiques des Européens.)
Cette
similitude des procédés, genres et structures de l’œuvre, que nous ne
337
telle ville d’art, non pas l’État où était située
cette
ville. En revanche, les styles étaient continentaux, et sont devenus
338
tés appartenant à cinq nations différentes. Avant
cette
différenciation, il y avait déjà la littérature et les éléments commu
339
danoise, la normande, la française, la celtique.
Cette
unité culturelle, contrairement à l’unité qu’institue une organisatio
340
que ceci s’oppose à cela, dramatiquement, et que
cette
« réalité fondamentale du siècle », que serait la nation, est précisé
341
nation, est précisément celle qui fait obstacle à
cette
« seule chose véritablement importante de notre temps » ? Qui ne voit
342
e, normal et inévitable du progrès. Pour dissiper
cette
illusion, il faudrait enseigner dans nos écoles un minimum d’histoire
343
la première nation, la France, peut être datée de
cette
déclaration des légistes de Philippe le Bel : « Le Roy de France est
344
ion, accepter l’idée de renoncer éventuellement à
cette
formule périmée, en faire autant avec la notion sacro-sainte de souve
345
tre. La CECA, puis la CEE ont permis de surmonter
cette
absurdité manifeste, et plusieurs autres. Dans l’Europe de demain, li
346
e, laquelle sera fédéraliste ou ne sera pas. Dans
cette
Europe unie la représentation du peuple français sera assurée par l’É
347
e révélera immédiatement possible. Il se peut que
cette
évolution exige bien plus de temps que les pionniers de l’Europe unie
348
ndemains de la Seconde Guerre mondiale. Du moins,
cette
fédération de régions « immédiates à l’Europe » — comme les communes
349
e et publique en Grèce. Elle donna même son nom à
cette
forme d’activité : la politique 83. De même que la polis, avec ses au
350
ûr, un coup d’œil sur l’histoire suffit à réfuter
cette
croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle dernier, Ernest Renan s’étai
351
era84. » Mais tout le monde n’a pas lu Renan… Et
cette
succession qu’il annonce, ce « remplacement » des États-nations par l
352
e cent ans de propagande des nationalismes, et de
cette
religion civique qui prend la place de la foi chrétienne dans l’espri
353
administratif. Préférons, dans le monde régional,
cette
liberté modeste mais bien réelle, aux ivresses de l’indépendance abso
354
Ein Volk, ein Reich, ein Führer ! » disaient bien
cette
volonté quasi démente de réduction de tout au même cadre physique : s
355
dération européenne composée d’unités régionales.
Cette
étape me paraît décisive parce qu’elle marque le dépassement de l’ère
356
régionale par l’État-nation centralisé conduit à
cette
forme de vide économique et culturel qui a résulté partout de la colo
357
encore hypothétique. Je ne voudrais indiquer dans
cette
première esquisse que le principe des réponses aux trois objections :
358
au 16 novembre 1848, et il est entré en vigueur à
cette
date sans la moindre mesure de transition. (Suppression instantanée d
359
titudes, blocages mentaux, qu’éprouve un homme de
cette
seconde moitié du xxe siècle à concevoir une Europe des régions, pro
360
toire sur lequel cet État se déclare souverain. —
Cette
superposition forcée de réalités radicalement hétérogènes constitue l
361
as de la prospérité de ses citoyens. Aujourd’hui,
cette
même réduction correspond à la seconde nature de l’homme alphabétisé,
362
contraire : poser un nouvel ordre. Voilà pourquoi
cette
région laisse froids les fédéralistes intégraux, au nombre desquels j
363
saut qualitatif et révolutionnaire pour favoriser
cette
évolution, ou plutôt cette dévolution du centralisme de la capitale a
364
onnaire pour favoriser cette évolution, ou plutôt
cette
dévolution du centralisme de la capitale au centralisme des métropole
365
e toute sa science constitutionnelle », je trouve
cette
proposition : Organiser en chaque État fédéré le gouvernement d’aprè
366
monde ne saurait empêcher les citoyens, habitant
cette
région économique, de continuer à se rattacher politiquement à l’une
367
sistance qu’opposent certains esprits à concevoir
cette
liberté (pluralité ou variété) d’appartenances démontre une déficienc
368
rechercher si les pouvoirs distincts, au terme de
cette
analyse, appellent ou non la coordination, sous quelles formes et dan
369
la TV et dans tous nos débats. La politique, dans
cette
acception ridicule mais de très loin la plus courante du terme, ne si
370
se » d’Aragon reste moins efficace que Déroulède,
cette
injustice n’est due qu’aux circonstances, non à la différence des tal
371
complexe et souple, comme la paix, comme la vie.
Cette
antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Toutes les
372
ent compris tandis que vous vous complaisiez dans
cette
mauvaise conscience narquoise qui est la bonne conscience du gauchist
373
urbaines qu’elle intoxique. La gauche alors, dans
cette
affaire ? Elle proteste contre la pollution, à l’exemple et à la suit
374
que les jeunes de 18 à 35 ans constituent 75 % de
cette
majorité.) d) « Mais où est la lutte des classes dans tout cela ?
375
ion prolétarienne pour mieux nourrir sa lutte, et
cette
politique du pire s’opposerait donc nécessairement au progrès techniq
376
atisme soviétique, n’envisagent la suppression de
cette
forme moderne de l’esclavage.101 Le point IV du Programme de base d
377
ches sociales d’aujourd’hui. L’agent souverain de
cette
politique-là n’est jamais le Peuple mais l’État, substitut du roi qu’
378
assant par Berlin, Prague et Madrid, a ressuscité
cette
angoisse et dramatisé la question, sans apporter d’éléments de soluti
379
t le monde sauf les hippies et autres houligans ?
Cette
bourgeoisie mentale inclut l’ex-classe ouvrière qui n’a pas développé
380
1845. 101. L’Ordre nouveau, n° 3 juillet 1933.
Cette
revue, publiée de mai 1933 à 1938, fut l’organe du groupe du même nom
381
es plus communément pratiquées par les membres de
cette
société. Ou encore le système des valorisations religieuses, éthiques
382
us ne trouvons pas de données sur la diffusion de
cette
même presse en Suisse romande voisine : secret professionnel, dit-on.
383
ns chères à l’école — ni plus vraies pour autant.
Cette
notion, qui a son origine sous Louis XIV, est mise en forme par la Ré
384
alée de notre culture européenne, je le vois dans
cette
interaction perpétuelle des grands courants continentaux, et des foye
385
s professions libérales sur tout le territoire de
cette
région universitaire. d) Si l’économie fait comprendre la nécessité d
386
présentée d’abord comme une entité territoriale.
Cette
perspective est malencontreuse et conduit vite à l’impasse. Un découp
387
es communes de part et d’autre de la frontière ».
Cette
recommandation unanime s’est traduite dans la Déclaration finale au p
388
. Les difficultés de divers ordres qui ont motivé
cette
interruption temporaire sont aujourd’hui résolues. Nous repartons à n
389
pe, et qui nous contraignent maintenant à réussir
cette
union, au plus tard, dans les dix à quinze ans qui viennent. 1er m
390
son commerce et sa technologie. Il fallait unir à
cette
fin nos maigres forces nationales. C’est ainsi que l’OECE (organisati
391
ssement de la production industrielle, qui permet
cette
prolifération délirante de l’homme sur la terre, entraînera l’accrois
392
autres inconvénients du progrès occidental. Mais
cette
néo-colonisation provoquera des réactions brutales. L’écart entre le
393
faisons-nous là ? Quel est le sens de ma vie dans
cette
société qui n’en est pas une, puisqu’elle n’est plus une communauté ?
394
ous conduit-elle ? Elle ne le sait pas elle-même.
Cette
question, et surtout qu’elle demeure sans réponse, voilà qui devrait
395
e le plus profond, c’est celui qui est au cœur de
cette
société matérialiste, dont le seul principe absolu est le profit, cal
396
ir, de se manifester dans une communauté vivante.
Cette
crise morale affecte l’Occident tout entier, et par lui toutes les ra
397
xes que ceux où se développent les similarités. »
Cette
suggestion rejoint les conclusions que j’ai tirées pour ma part, depu
398
n’est en fait qu’une forme politique récente, et
cette
forme se révèle déjà inadéquate, à la fois trop petite et trop grande
399
pe, puis la reconnaissance de l’obstacle majeur à
cette
union, que constituent les prétentions de l’État-nation à une souvera
400
ir ces régions, et trouver ou créer les moyens de
cette
fin. Imaginons la réalisation de ces deux temps de la construction eu
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gement les problèmes discutés dans la presse sous
cette
rubrique. Il résume en réalité tous les problèmes de notre société, e
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aux. Il opérait la grande soudure du xxe siècle.
Cette
hypothèse, émise dès 1969, trouve dans le livre de Jean Mauriac, Mort
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Mémoires, j’expliquerai pourquoi il fallait faire
cette
réforme des régions… Elle était absolument nécessaire. C’était une af
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es leurs cités, tous leurs pays. Pourtant je vois
cette
possibilité s’illustrer d’une manière exemplaire dans l’œuvre et la c
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atrice résultent et se composent, précisément, de
cette
pluralité des données culturelles qui, moins forts, moins doués, les
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de, neuf écrivains, savants et philosophes. Voici
cette
page et ma réponse. Texte de George Orwell Une nouvelle guerre europ
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et même étendre le climat du libéralisme. Combien
cette
idée était fausse, voilà ce qui commence à se faire sentir. Presque c
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sont mieux que celle d’Orwell — m’incite à poser
cette
question : l’auteur a-t-il été un vrai prophète, à savoir celui qui a
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uit dans et par la phrase même qui l’annonce. Car
cette
phrase trahit et déclare la démission du spirituel qu’elle dit fatale
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stato-nationaux, pour commencer) nous invitent à
cette
démission de la personne — dont ils résultent en vérité ! — et la pré
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autogestion, des régions fédérées, voilà le But.
Cette
société sera peut-être secrète, ces communautés clandestines, ces rég
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e demanderait, pour exister, qu’à être libérée de
cette
frontière dont on voit de moins en moins la raison et le sens, mais d
413
rsitaire. Englobant celles déjà citées plus haut,
cette
nouvelle région fonctionnelle contribuerait à former la conscience d’
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anco-genevoises, avait écrit trois opuscules dans
cette
langue, dont nous ne connaissons plus que quelques mots mais qui a sa
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ans l’inconscient de ses habitants.) Ajoutons que
cette
« plus grande région » est aussi celle de l’horlogerie européenne, et
416
it cependant un facteur décisif de la solution de
cette
crise. Il faut défaire et dépasser l’État-nation si l’on ne veut pas
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d’un électron et celui de déterminer sa position.
Cette
nouvelle « relation d’incertitude » définirait le passé et l’avenir d
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s, mais ils ne nous imposent rien. En présence de
cette
agression libératrice, il n’y a qu’une attitude raisonnable : si l’on
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iller les calculs. Mais, du même coup, se vérifie
cette
loi : l’exactitude des prévisions quantitatives mesure la démission d
420
re inédits de Jay Forrester, je répondais ainsi à
cette
question : Faut-il en désespoir de cause faire confiance à la fameus
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que « surprenants ou inattendus ». Je relève dans
cette
liste les cinq événements suivants : Première Guerre mondiale. Les U
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al de l’empire, la Gaule jouissait apparemment de
cette
indépendance. Et dans d’autres provinces, il semble que les hérésies
423
s aux mêmes lois, et par-là prévisible, mais dans
cette
mesure même, déshumanisé. On peut aussi nommer cette prospective pers
424
te mesure même, déshumanisé. On peut aussi nommer
cette
prospective personnaliste, parce qu’elle ne voit de sens possible à l
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he à la mort, j’entends les centrales nucléaires.
Cette
analyse des motifs et des fins n’est faite aujourd’hui par personne.
426
ient pour vraiment sérieux). Je voudrais inverser
cette
échelle des valeurs, et proposer la thèse suivante : — Les relations
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premier quart du xiie siècle. On peut voir dans
cette
révolution du sentiment la dernière phase du mouvement vers l’Europe,
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nde, et personne n’est jamais venu les découvrir.
Cette
constatation symbolique nous permet de faire ici l’économie de l’énum
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eux, traditionnel, qui donnait sa valeur réelle à
cette
forme plastique, musicale, ou magique. Et sans plus de souci de l’int
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entifico-technique d’information, vers le pays où
cette
information produira de l’énergie. Le pétrole est « arabe », dit-on,
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eule en fournir le mode d’emploi. Nécessairement,
cette
dissociation schizophrénique fausse tous les termes de l’échange auss
432
mples nous permettront d’illustrer le principe de
cette
crise mondiale et l’impact sur le tiers-monde de « ce qui est venu de
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déchiffrer le message : il ne peut donc que subir
cette
forme comme une contrainte stérilisante. L’énoncé des plus hautes va
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sannerie. Il va falloir la moderniser. Et ce sera
cette
exigence de rejoindre les conditions d’une révolution marxiste que Ma
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on culturelle », et cela s’explique aisément. Car
cette
« révolution » est en réalité, la modernité décrétée. Le chemin de la
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grave danger pour la survie du genre humain. Car
cette
souveraineté sans limites se présente toujours comme quelque chose qu
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à méditer, c’est-à-dire à Penser avec les mains
cette
Politique de la personne dont nous sommes tous d’accord, ici, pour
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eter, toutes affaires cessantes, à peine sorti de
cette
salle. Une seule ombre au tableau : l’idée que les trois réalisateurs