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’institutions, de partis et de préjugés tombés du
ciel
ou donnés par la nature, c’est une manière de vivre et de penser, née
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enne où triomphent pour la dernière fois, sous un
ciel
pâle, perdus parmi des horizons sans bornes, les cinq ordres de Vitru
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ut de l’été, où le granit même se dissout dans le
ciel
décoloré et où les colonnes ne sont plus que des ombres blanches flot
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ge » entre les hautes futaies, les pelouses et le
ciel
. Et souvent ils nous disent : « C’est trop beau ! Comment peut-on tra
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bien clair que cette fédération ne tombera pas du
ciel
, et ne sera pas non plus instaurée par des moyens dictatoriaux : les
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attractive », note J.H.R.), puis pénétra dans le
ciel
de Pologne au-dessus de Zakopane, station de montagne pleine de souve
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bien clair que cette fédération ne tombera pas du
ciel
, et ne sera pas non plus instaurée par des moyens dictatoriaux : les
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t pas que la synthèse s’opère dans le vide, ou au
ciel
des Idées — car là sans doute toutes les synthèses imaginables existe
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le part ailleurs, ni de la force des choses ni du
ciel
des Idées, procèdent l’Histoire, le devenir des cités et l’avenir de