1 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
1 saires de ce côté. Après d’assez nombreux voyages clandestins — dont l’un le conduit jusqu’en Autriche, un autre chez le comte Ledo
2 sera bientôt la fille — de créer une organisation clandestine au service de l’unité européenne, en s’assurant d’abord l’appui d’hom
3 e ne savait rien de sa venue, sauf quelques chefs clandestins , il se mit à fréquenter dès les premiers jours les cafés de la capita
4 jours. Descendant d’un tram près de son domicile clandestin , il se sentit presque incapable de marcher. Trois jours plus tard, il
5 chargée de soutenir les mouvements de résistance clandestins sur le continent. Le service comptait 3000 officiers, 2000 femmes et
2 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
6 e société sera peut-être secrète, ces communautés clandestines , ces régions sans institutions : il importe seulement qu’elles existe
3 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
7 anquer de jouer le rôle d’une sorte de propagande clandestine en faveur des situations sociales ou des régimes qui se prêtent le mi