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’a-t-on fait au cours de ces années une si grande
consommation
de littérature et d’art contemporains provenant d’autres pays d’Europ
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et plus facile à chiffrer : l’accroissement de la
consommation
de la culture au xxe siècle. La notion de culture est récente. Aussi
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ui intervient sous nos yeux dans le domaine de la
consommation
de la culture. Je répète que ce phénomène est contemporain du dévelop
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eures. La première, c’est que la production et la
consommation
culturelles, au xxe siècle, sont devenues d’immenses affaires et for
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de l’humanité : toutes les prétendues lois de la
consommation
s’en trouveraient du même coup radicalement faussées. Cette hypothèse
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que de bloquer tout le processus économique de la
consommation
, de l’investissement et même de la fécondité. De même, les prévisions
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st-elle un produit spécifique de notre société de
consommation
et du capitalisme de profit ? La destruction massive et populaire des
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ion simultanée, de 20 à 75 % selon les cas, de la
consommation
, de la production, de la natalité et des investissements, et surtout
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ui, avec l’augmentation de la population et de la
consommation
, tout le pétrole de la terre semble devoir être brûlé d’ici trente an
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on allant de 20 % à 75 % selon qu’il s’agit de la
consommation
, des investissements, du taux de natalité, de la pollution, et surtou
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lus grande part des investissements, des biens de
consommation
, et de la pollution. Si l’Occident pouvait imposer la politique de r
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nce comme un fait scientifique que désormais « la
consommation
d’électricité va doubler tous les sept ans », j’oppose le type de pré
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se le type de prévision qui nous fait voir que la
consommation
d’électricité doit cesser de doubler tous les sept ans en Occident, c
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court terme au passé. Quand elle annonce que « la
consommation
va plus que doubler durant la prochaine décennie » (Time, 17 novembre
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isme allait donner le modèle) et notre société de
consommation
, — selon que l’on serait au début ou à la fin d’un vaste effort colle