1
nous découvrons que ces résistances, ces refus de
coopérer
, sont dus à des malentendus. Un bon service de public relations — qui
2
, les nécessités économiques poussent la Suisse à
coopérer
toujours plus étroitement avec les organisations européennes. C’est a
3
ière », et ne peut donc pas empêcher la Suisse de
coopérer
avec les institutions qui ont pour but d’unir nos peuples. Les intérê
4
liances militaires des autres pays d’Europe, mais
coopère
aux institutions économiques européennes. Ses intérêts propres sont i
5
ce cartographique du Collège d’Europe (Bruges), a
coopéré
aux travaux préparatoires, et fournira les cartes et graphiques néces
6
consiste à créer des institutions, qui obligent à
coopérer
et bientôt conditionnent des réflexes communs. La seconde consiste à
7
mondial. Tout se rapproche, tout interfère, tout
coopère
ou tout se mêle, pour le meilleur et pour le pire. Arrêtons-nous quel
8
l faut que les Européens prennent l’initiative de
coopérer
à l’établissement d’un équilibre mondial, et trouvent pour cela les m