1
? De l’Europe, donc du meilleur d’eux-mêmes. Ils
crient
la paix, la paix, et il n’y a point de paix, ils n’osent pas en regar
2
a dernière radio libre à Budapest, une voix forte
cria
: Nous mourons pour l’Europe ! Aidez-nous ! Nous n’avions rien entre
3
différents parlements. Mais il serait insensé de
crier
victoire. La construction d’une Europe politique reste à faire ou à r
4
é au mètre près par les hasards de l’histoire, je
crierais
à la dictature totalitaire, à l’assassin, au gangster et au fou ! Voy
5
’hui se demande à quoi tout cela rime et qu’il le
crie
même dans la rue ; il est anormal qu’on ne lui réponde que par des co
6
es. Nos péchés sont criants, et tout l’Orient les
crie
, mais il n’entend pas nos grandeurs. Car la musique est le sublime de