1
a vu certains États intégrer toutes les activités
culturelles
, le roman, le théâtre, la poésie, les sciences, à leur plan général d
2
essentielles : tout cela provient du nationalisme
culturel
, et tout cela tend, pratiquement, à faire dépendre la vie de l’esprit
3
beaucoup, par exemple, d’« organiser les échanges
culturels
». Observons qu’il n’en serait pas question si les frontières étaient
4
édiat, sans condition. Le terme même « d’échanges
culturels
», avouons-le, est devenu bien déplaisant, à force d’avoir servi d’éc
5
t encore, dans la mesure où elles vivent. L’unité
culturelle
de l’Europe n’a plus à être faite : elle existait aux origines, et el
6
s des erreurs providentielles. Comment un expert
culturel
, mandaté par un ministère et représentant d’un État, peut-il interven
7
nt été posées, et la culture dépérit. Les experts
culturels
des États sont devenus nécessaires pour « organiser » des échanges qu
8
ce du stalinisme perd son urgence dans le domaine
culturel
, un problème d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ens
9
ble. Il est clair que le problème des relations «
culturelles
» — au sens le plus large du mot — entre les USA et l’Europe devient
10
re par exemple, c’est la sauvegarde du patrimoine
culturel
de l’Europe, l’héritage de notre glorieuse civilisation et son culte
11
lui répondre qu’en se réclamant de nos traditions
culturelles
, ainsi que des libertés qu’elles nous ont assurées. Mais cela fait, o
12
raisons de perdre son temps dans une commission «
culturelle
» lors d’un congrès des jeunesses (ou des aînesses) politiques. L’int
13
rtis politiques, il faut renvoyer les « problèmes
culturels
» à plus tard. 2. Mais d’autre part, on peut penser que l’Europe qu’i
14
que, est une réalité de civilisation, une réalité
culturelle
, — s’il est vrai que la culture est la prise de conscience de ce que
15
lture, par suite ses conditions. Votre commission
culturelle
doit préciser ces conditions. Je me borne à en indiquer quatre. a) Un
16
erait plus réel dans le cas du Comité des experts
culturels
du Conseil de l’Europe, formé de délégués des gouvernements. Mais il
17
possibilités de coopération. Quant aux instituts
culturels
européens, l’une des raisons d’être du CEC était de leur offrir un li
18
ystématique et suivie la coordination des efforts
culturels
en vue de l’union de l’Europe. Et s’il n’existait pas, ou s’il dispar
19
ulture, mais bien du principe même des organismes
culturels
dépendants de la politique. À ce titre, elle mérite un examen, que pr
20
, à l’endroit de l’Unesco, les milieux proprement
culturels
. Nous ne voyons, pour notre part, aucune raison d’affecter la pudeur
21
’est-ce que l’Unesco ? Un organisme qualifié de «
culturel
», mis sur pied par les gouvernements, composé de fonctionnaires nomm
22
a par miracle forme humaine et valeur proprement
culturelle
, ce sera bien grâce aux tours de force de quelques fonctionnaires cha
23
tion, et songer aussi à ses tâches. Les activités
culturelles
n’étant aux yeux de nos gouvernements — et c’est normal — qu’une espè
24
s trois points. 1. Trop vaste. Une organisation
culturelle
qui survole toutes les civilisations de la planète ne peut se donner
25
mal défini et presque vide de contenu proprement
culturel
. (En fait, on se borne à dire qu’on travaille pour la paix.) D’autre
26
champ d’action optimum d’une œuvre de coopération
culturelle
correspond concrètement au « champ d’étude historique intelligible »
27
ie comme aux interférences politiques. Le travail
culturel
est par nature fédéraliste, donc décentralisé. Il se développe par de
28
donc naturel de calquer les organisations d’aide
culturelle
sur cette réalité de base. Partir d’en bas — non pas d’un centre trop
29
n (comprenant la libération pratique des échanges
culturels
dans une aire donnée), de subvention (après examen des propositions é
30
rage (en cas de conflit entre certaines activités
culturelles
et le bien commun des peuples ou du groupe de nations considéré).
31
isons de faire l’Europe, économiques, militaires,
culturelles
, il y a celle-ci, qui n’est pas négligeable : rendre nos différentes
32
et certains articles de Life ; enfin « l’invasion
culturelle
» de Wall Street symbolisée par le succès des digests. Selon les insp
33
’économie et de la culture. Et c’était sa section
culturelle
qui avait été chargée d’écrire et de présenter le Message aux Europée
34
pe aux fins de définir « le problème spirituel et
culturel
de l’Europe considérée dans son unité historique, et les moyens d’exp
35
participation de six personnalités politiques et
culturelles
de premier plan, entourées de quinze publicistes influents, ne sera p
36
ssibilité prochaine de faire revivre les sections
culturelles
nationales formées par le Mouvement européen. Les contacts que nous v
37
ion. Lors d’une rencontre récente avec la section
culturelle
hollandaise, un modèle de « cahier des charges » a été élaboré. Sitôt
38
les résultats de la réflexion des Six. De l’unité
culturelle
à la communauté politique Mon dessein n’est pas de résumer les péripé
39
L’examen de notre crise spirituelle et par suite
culturelle
et civique fut introduit avec ampleur par M. Eugen Kogon. Il conclut
40
ionale et son expansion : ce sont les « Relations
culturelles
». L’apport du Centre a consisté dans la mise au point d’une méthode
41
Ce serait d’aider financièrement les initiatives
culturelles
. Nos États ne consacrent qu’à peine 1/1000e de leur budget à la cultu
42
ibuer à rétablir la seconde condition de la santé
culturelle
en Europe, nous avons conçu le projet d’une Fondation européenne de l
43
rope ne va-t-elle pas rendre vaines vos activités
culturelles
? — Cette crise est au contraire l’argument le plus fort en faveur de
44
onscience tragique ? Le problème est en réalité «
culturel
» au sens large du mot : c’est un problème d’éducation. C’est un prob
45
égulier. Il est clair que la tâche d’un organisme
culturel
comme le Centre n’est pas de suppléer à la carence d’une véritable pr
46
Et celle-ci dépend à son tour de tout l’ensemble
culturel
et spirituel de notre civilisation. Rien ne serait donc plus faux ni
47
de l’argent, comme il arrive, pour une entreprise
culturelle
. J’allai voir un industriel qui fabrique d’énormes turbines. Il m’éco
48
turbine. Ainsi grâce au génie d’Euler, au milieu
culturel
de Bâle, et au piétisme, des milliers d’ouvriers et d’ingénieurs gagn
49
l a commencé par agir dans les domaines de la vie
culturelle
où il semblait possible d’obtenir rapidement des résultats concrets.
50
Lever de rideau
culturel
? (octobre 1955)z Les risques de la paix Mettant fin aux chan
51
est vraie, à qui profitera-t-elle ? Aux échanges
culturels
que l’Est propose — avec une insistance particulière dans la note inv
52
certain, c’est que l’échange est une forme de vie
culturelle
congénitale à l’Occident, mais dans laquelle les Russes ne se sentent
53
t les communistes occidentaux et votre propagande
culturelle
, vous n’avez vraiment rien à y perdre. Et nous serons enchantés de no
54
on seulement sa défense, mais son essor social et
culturel
. C’est qu’elle est menacée par la révolte de l’Asie et de l’Afrique d
55
t non pas seulement en déclarations, les échanges
culturels
vont reprendre, un dialogue va s’instituer. Quels en seront les inter
56
ce cas, il faut plus que jamais l’union morale et
culturelle
de nos pays, la volonté de s’unir et la conscience vivante d’une unit
57
russe. z. Rougemont Denis de, « Lever de rideau
culturel
? », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, octobre 1955,
58
sicaux » sera développée dans un souci de qualité
culturelle
. Un bulletin périodique d’informations destiné à la presse et aux cri
59
s de Molotov » à Genève. La question des échanges
culturels
serait donc tranchée négativement, les dix-sept offres ou demandes oc
60
propositions occidentales relatives aux échanges
culturels
aient été rejetées uniformément. (Nous donnons plus loin un résumé an
61
it s’abstenir de toute initiative dans le domaine
culturel
, du seul fait que les Soviétiques n’ont pas donné les suites espérées
62
chose ! ⁂ Ceci marqué, la notion même d’échanges
culturels
doit être clarifiée. Pour les dirigeants soviétiques, les échanges on
63
es phases principales de l’histoire des relations
culturelles
entre la Russie et l’Europe de l’Ouest jusqu’en 1917, servira d’intro
64
ulture : « Europe-URSS : la question des échanges
culturels
», Genève, décembre 1955, p. 1-2.
65
Aperçu historique des relations
culturelles
Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)ac ad
66
Russie (de 862 à 1700) Peut-on qualifier de «
culturels
» les premiers contacts de la Russie et de l’Europe ? Ils se produise
67
pond à l’absence à peu près complète de relations
culturelles
entre la Russie et l’Europe jusqu’à la fin du xvii e siècle. Quelques
68
plus tard encore, non pas tant à son nouvel essor
culturel
, dont on ne sait pas encore grand-chose à l’étranger, qu’aux succès q
69
, il se jette sans trop y réfléchir à la conquête
culturelle
de la Russie. Ce fut une véritable ruée de savants, d’érudits, d’ing
70
ne incarne les résultats de ces grands mouvements
culturels
: l’Europe, non point la Moscovie, est son passé. Il est le légatair
71
sauver l’autre en la régénérant ». Mais la Russie
culturelle
du xix e siècle demeure symbolisée par la ville de Pierre, non par la
72
e. Les véritables fondements de la vie sociale et
culturelle
de la Russie, il fallait les chercher, selon eux, dans la foi chrétie
73
ge leur mépris pour notre « décadence » morale et
culturelle
: « La logique de l’histoire, écrit-il, prononce sa sentence contre l
74
enseigner. » L’éclipse du nihilisme et l’essor
culturel
(1880-1917) La fin du siècle est marquée en Russie, comme en Europ
75
e Nicolas II a représenté l’âge d’or des échanges
culturels
Russie-Europe : on l’oublie trop, quand on ne pense qu’aux journées d
76
emont Denis de, « Aperçu historique des relations
culturelles
Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) », Bulletin du Centre
77
ulture : « Europe-URSS : la question des échanges
culturels
», Genève, décembre 1955, p. 3-14. ad. Texte non signé. On dispose c
78
novembre 1955, sur le sujet précis des relations
culturelles
. A. Points de départ I. Les 17 propositions occidentales (P
79
ges de personnes dans les domaines professionnel,
culturel
, scientifique et technique. » 13. Participation « plus facile… aux gr
80
s internationaux ». 14. « Instituer… des échanges
culturels
et sportifs présentant… les plus belles réalisations de chaque pays.
81
lissement de relations politiques, économiques et
culturelles
plus larges entre les pays, indépendamment de leur régime social et p
82
tion » d’aucune sorte, puis en vient aux échanges
culturels
. « Un échange plus large de délégations de représentants de la vie s
83
délégations de représentants de la vie sociale et
culturelle
» serait utile. « M. Macmillan a parlé d’une réglementation de l’opin
84
ions, utiliser la radio pour développer les liens
culturels
et scientifiques. M. Molotov soumet alors le projet russe. Ce projet
85
passer des accords entre États sur la coopération
culturelle
; enfin d’élargir les échanges de livres, magazines, journaux, entre
86
talement libres, aborde en ces termes la question
culturelle
: Quant au projet déposé au nom des trois ministres (il s’agit des 1
87
ondense ce discours de M. Molotov (pour sa partie
culturelle
) en proposant de « faciliter l’échange de livres, journaux, revues sc
88
de « réalisations » dans les domaines sportifs et
culturels
Oui 15. Échanges d’étudiants Oui avec réserves 16. Libres
89
ulture : « Europe-URSS : la question des échanges
culturels
», Genève, décembre 1955, p. 21-27. af. Texte non signé. On dispose
90
ertu de l’esprit de Genève, l’extension des liens
culturels
allait prendre « un énorme essor ». Et Cholokhov ajoutait : Les écri
91
se déclarent favorables au principe des échanges
culturels
, comment pourraient-ils s’opposer à ce que l’on montre, au moins à le
92
enser que les propositions soviétiques d’échanges
culturels
sont vides de tout contenu concret, et de toute intention sincère d’a
93
pplication des critères molotoviens aux activités
culturelles
de l’URSS dans nos pays, c’est- à-dire l’interdiction pure et simple
94
l’intelligentsia soviétique en faveur d’échanges
culturels
— libres ou contrôlés, peu importe, mais réels — entre l’Occident et
95
er la plus grande envergure possible aux échanges
culturels
avec l’étranger. Ce désir s’est manifesté au Conseil suprême de l’URS
96
ulture : « Europe-URSS : la question des échanges
culturels
», Genève, décembre 1955, p. 28-36. ah. Texte non signé. On dispose
97
re l’union nécessaire. Notre méthode éducative et
culturelle
n’exclut, certes, aucune des trois autres (nonobstant ses affinités p
98
ce des diplômes, échanges universitaires, accords
culturels
multilatéraux, libre circulation des instruments de culture, création
99
tre premiers objectifs sont inscrits au programme
culturel
du Conseil de l’Europe et de son comité des experts culturels, de l’U
100
Conseil de l’Europe et de son comité des experts
culturels
, de l’Union de l’Europe occidentale, voire de l’Unesco, qui leur ont
101
aux gouvernements d’instituer « une organisation
culturelle
» basée sur la communauté déjà existante des Six, mais ouverte à tous
102
t, citons quelques informations sur les relations
culturelles
existantes. ⁂ Le peintre français Chapelain-Midy a été l’hôte des pei
103
’œuvre (avril-mai 1956)at Dès 1948, le rapport
culturel
du Congrès de l’Europe, réuni à La Haye sous la présidence de Winston
104
la richesse de ses diversités. Et la résolution
culturelle
, adoptée par le congrès, précisait que l’une des tâches immédiates du
105
es souples mais fermes, le sens de la communauté (
culturelle
, politique et sociale) au sein de laquelle sa vocation s’exercera. Tr
106
règlementations sociales, la médiocrité du niveau
culturel
, et la stérilisation des élites futures. L’idéal directeur d’une éduc
107
présentent un effort original : sur les relations
culturelles
avec l’Est et sur l’éducation européenne. Notre association des festi
108
t au Collège d’Europe pour un atlas économique et
culturel
de l’Europe. Elle a décerné des bourses importantes à cinq jeunes com
109
ricole. Là, dans une maison de jeunes ou un foyer
culturel
, on organise des débats, on projette des films, on fait circuler des
110
acquises ; il fournit aux « abonnés » du matériel
culturel
à prix réduit (films, disques, publications, cartes, etc.) ; il organ
111
Nouvelles
culturelles
européennes (août-septembre 1956)be bf Innombrables sont les agenc
112
et en particulier de l’automation), les nouvelles
culturelles
, au sens large, vont se révéler aussi sérieuses et passionnantes que
113
créateur. be. Rougemont Denis de, « Nouvelles
culturelles
européennes », Bulletin du Centre européen de la culture : « Origines
114
Le rôle des festivals dans la vie
culturelle
de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)bl En lançant une enquête à t
115
mes. Les problèmes de la culture, de la promotion
culturelle
de couches populaires élargies, et de l’occupation des loisirs vont d
116
la culture : « Le rôle des festivals dans la vie
culturelle
de l’Europe », Genève, mai 1957, p. 47-51.
117
er à l’auteur de ces lignes de préparer la partie
culturelle
du premier Congrès de l’Europe. Trois mois plus tard, à La Haye, sous
118
ois de février, avec la bénédiction de la section
culturelle
du Mouvement européen, D. de Rougemont et Raymond Silva ouvrent à Gen
119
nterculturels. — Numéro spécial sur les Échanges
culturels
Europe-URSS . — Charte et brevet européen du sportif. — Premier sémin
120
s encore à l’efficacité de l’action éducatrice et
culturelle
pour cette union. Or sans argent, peu de collaborateurs, beaucoup d’e
121
nes » dans le domaine très vaste que l’adjectif «
culturel
» peut servir à désigner (sinon à définir !), n’est pas un mal en soi
122
ent d’une information sérieuse sur la conjoncture
culturelle
, par quoi j’entends l’état des besoins existants, des recherches en c
123
’attacher maintenant à promouvoir. 3. Relations
culturelles
extérieures. Minorisée aux Nations unies, maintenue sous la pression
124
ter à lui tout seul. Les difficultés sont d’ordre
culturel
bien avant d’être politiques. C’est ici la nécessité de Relations cul
125
e politiques. C’est ici la nécessité de Relations
culturelles
européennes qui se fait jour. Le besoin d’une coordination entre nos
126
ur. Le besoin d’une coordination entre nos forces
culturelles
, et le besoin de représentation commune de ces forces vis-à-vis du re
127
destinés à illustrer des conférences sur l’Unité
culturelle
de l’Europe, l’Europe dans le monde, l’Idée européenne et son évoluti
128
la culture et celui sur le problème des échanges
culturels
Europe-URSS. Traduits en deux ou trois langues, ces bulletins touchen
129
is seulement). Le Rôle des festivals dans la vie
culturelle
de l’Europe (en français et en allemand). Annuaire des instituts d’é
130
uction publique. Équilibres humains et névroses «
culturelles
». Problème des hiérarchies, etc. bq. Rougemont Denis de, « Le bul
131
La méthode
culturelle
, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)bs E = mc2
132
, de pensée et de gouvernement des autres groupes
culturels
subsistants ou naissants dans le reste du monde. Moyens actuels et
133
siège est à Brunswick. Cependant que les comités
culturels
et les départements de l’information du Conseil de l’Europe et de la
134
À mesure que s’élargit la base de ces initiatives
culturelles
(au sens le plus large du mot) le besoin de coordination des efforts
135
ne serait donc pas réaliste d’exposer la méthode
culturelle
sans définir la nature des obstacles qu’elle rencontre, et parfois su
136
ation. L’un des objectifs prochains de la méthode
culturelle
est donc de mobiliser les moyens matériels désormais requis pour l’éd
137
moyens que leurs investissements dans le domaine
culturel
ne doivent plus être inscrits au chapitre des dons philanthropiques,
138
national ! bs. Rougemont Denis de, « La méthode
culturelle
, ou l’Europe par l’éducation des Européens », Bulletin du Centre euro
139
le terrain, comme le veut la méthode éducative et
culturelle
, mais cela prendra toute une génération. 2. Le Marché commun prévoit
140
ande l’appel direct au peuple ; enfin une méthode
culturelle
qui prétend à la fois informer les masses et favoriser la créations d
141
qui inspire sa méthode, quel intérêt éducatif et
culturel
présentent les trois autres méthodes ? La méthode institutionnelle fo
142
emont, après avoir exposé la sienne (« La méthode
culturelle
»), proposa d’en réaliser la synthèse.
143
en même temps, prennent conscience de l’ensemble
culturel
et humain au sein duquel se développe cette spécialité, et dont elle
144
ropéennes : historiques, politiques, économiques,
culturelles
. De même, l’Institut prévu par l’art. 9 du traité de l’Euratom ne se
145
iothèques, sources de documentation) et du milieu
culturel
(langues, ressources artistiques, traditions et vie intellectuelle).
146
des, cette espèce d’aura qui entoure le phénomène
culturel
, sans être elle-même de la culture. Ceux qui sont touchés par cette r
147
ar cette rumeur, cette aura, ne sont guère plus «
culturels
» que ne sont « sportifs » ceux qui se bornent à assister à des match
148
ils deviennent peu à peu perméables à des valeurs
culturelles
, de même qu’en sortant du spectacle d’un match de football, on se sen
149
iers à succès, des lauréats de prix plus ou moins
culturels
distribués chaque année par centaines, ou de ces savants qui tout d’u
150
tes fait partie de la troisième zone de diffusion
culturelle
, de cette rumeur ou aura dont je parlais tout à l’heure. Il peut cert
151
mière, c’est que la production et la consommation
culturelles
, au xxe siècle, sont devenues d’immenses affaires et forment une bra
152
loisirs conduira ou non à une élévation du niveau
culturel
, voilà qui dépendra essentiellement du sens de la responsabilité éduc
153
statue, un outil, une équation, résultent d’actes
culturels
, — artificiels. L’homme est cet animal qui tire de la Nature tout ce
154
à définie notre Europe : c’est un champ de forces
culturelles
, sans frontières à l’extérieur, mais tout encombré de barrières et de
155
ée de coopération est entrée dans les mœurs, même
culturelles
. Les associations se sont multipliées : Instituts de recherches nuclé
156
nes » dans le domaine très vaste que l’adjectif «
culturel
» peut servir à désigner, n’est pas un mal en soi, bien au contraire.
157
ent d’une information sérieuse sur la conjoncture
culturelle
, par quoi nous entendons l’état des besoins existants, des recherches
158
’attacher maintenant à promouvoir. 3. Relations
culturelles
extérieures. Minorisée aux Nations unies, maintenue sous la pression
159
ter à lui tout seul. Les difficultés sont d’ordre
culturel
bien avant d’être politiques. Et l’avenir de l’économie, désormais mo
160
ute évidence. C’est ici la nécessité de Relations
culturelles
européennes qui se fait jour. Le besoin d’une coordination entre nos
161
r. Le besoin d’une coordination entre nos forces
culturelles
, et le besoin de représentation commune de ces forces vis-à-vis du re
162
es souples mais fermes, le sens de la communauté (
culturelle
, politique et sociale) au sein de laquelle sa vocation s’exercera. Tr
163
réglementations sociales, la médiocrité du niveau
culturel
, et la stérilisation des élites futures. L’idéal directeur d’une éduc
164
lier et de valable, et ce qu’il doit à l’ensemble
culturel
et historique de notre civilisation. Alors, il verra dans l’Europe no
165
chez moi et me demanda de me charger de la partie
culturelle
du congrès. Sur ce qu’il faudrait faire, il avait peu d’idées, et cel
166
de La Haye. Le programme politique, le programme
culturel
et éducatif, le programme social enfin, fixés dans leurs grandes lign
167
es, économique de Westminster, social de Rome, et
culturel
de Lausanne. Grâce à eux, l’idée européenne progresse en profondeur a
168
re de la Suisse dans cette perspective : « L’idée
culturelle
européenne a sa résidence en Suisse. C’est un avantage pour les autre
169
des contacts personnels, à l’étude des conditions
culturelles
régionales, à des recherches bibliographiques et à l’élaboration du d
170
me un état de névrose, une sorte de schizophrénie
culturelle
. Seul, un véritable dialogue peut favoriser à la fois la prise de con
171
usée dans le monde entier, mais sans son contexte
culturel
. L’Europe éprouve donc le besoin d’expliquer aux autres — et de s’exp
172
jugent l’ensemble. Il n’existe pas de « Relations
culturelles
européennes », mais seulement des Relations culturelles nationales, s
173
elles européennes », mais seulement des Relations
culturelles
nationales, si pas nationalistes… b) difficulté (symétrique) de trouv
174
audrait maintenant que chacune des autres régions
culturelles
expose ses propres motifs de dialoguer, et ses propres difficultés. L
175
e nous l’espérons, serait d’inciter chaque région
culturelle
à formuler, en perspective mondiale, non tant ses revendications que
176
oundation, San Francisco. (Favorise les relations
culturelles
, éducatives et civiques entre Asie et États-Unis. Bourses, subvention
177
Council for Cultural Relations, et les Relations
culturelles
des ministères des Affaires étrangères contribuent aux échanges dans
178
I, Bruxelles), consacrées à l’étude des relations
culturelles
multilatérales. D’autres se limitent à un domaine particulier des rel
179
e limitent à un domaine particulier des relations
culturelles
: Philosophy East and West (Univ. of Hawaii), Folk-Lore, Journal of A
180
s générales de l’Unesco, plus administratives que
culturelles
, habituent des hommes de culture de toutes les régions à confronter l
181
de tous les continents. Il entretient des centres
culturels
en Afrique. La Fondation européenne de la culture a pris pour thème d
182
ôt qu’à une disette, dans le domaine des échanges
culturels
. Les spécialistes d’une culture différente n’ont pas à se plaindre (e
183
s faits plus que des méthodes. 3. Les relations
culturelles
entre l’Occident et les autres régions ont déjà fait l’objet d’innomb
184
e Dialogue des cultures sur la base des ensembles
culturels
, ou régions Est et Ouest, Occident et Orient, sont des catégories tro
185
vastes. Elles ne correspondent pas à des réalités
culturelles
suffisamment définies ou homogènes pour pouvoir dialoguer utilement.
186
blanche dominante, tradition chrétienne, origine
culturelle
européenne. Mais il est clair que dans le dialogue avec l’Afrique noi
187
s premières et en espace. Enfin l’Europe, ancêtre
culturelle
des trois autres, n’a pas encore pu surmonter ses divisions nationale
188
pond plus aux réalités du xxe siècle. Les régions
culturelles
qui constituent de nos jours des « champs d’étude intelligibles » (To
189
mais plus vastes et plus réelles (du point de vue
culturel
) que les États-nations constitués partout sur un modèle emprunté au x
190
, nous pouvons distinguer une douzaine de régions
culturelles
assez bien définies : Amérique latine (espagnole et portugaise) Am
191
gner) ces régions et leurs principes de cohérence
culturelle
, tant à leurs habitants qu’aux autres régions. On se comprend mieux s
192
ù l’on entretient vingt organismes de « relations
culturelles
nationales » mais pas de « relations culturelles européennes » ; et d
193
culturelles nationales » mais pas de « relations
culturelles
européennes » ; et d’où sortent des centaines d’attachés culturels na
194
nnes » ; et d’où sortent des centaines d’attachés
culturels
nationaux, mais pas un seul qui soit chargé de représenter l’Europe.
195
nouvelles, avides de s’affirmer aussi sur le plan
culturel
. Le moyen le plus facile et le plus tentant de s’affirmer, c’est de s
196
éveiller la notion et la conscience des ensembles
culturels
réels permettrait de combattre les aspects les plus nocifs du nationa
197
plus nocifs du nationalisme, de soustraire la vie
culturelle
à l’emprise stérilisante des propagandes politiques, et de faire face
198
aux loisirs créateurs ; solidarité économique et
culturelle
du genre humain. 3. Trouver, ou former, des interlocuteurs responsa
199
rlocuteurs responsables dans les diverses régions
culturelles
. Ceci suppose la création : a) d’écoles ou stages de formation de res
200
ches communes. VI. Vers la création de centres
culturels
régionaux Les considérations que l’on vient de résumer nous amènen
201
entres analogues au CEC dans les diverses régions
culturelles
énumérées plus haut, permettrait de combler certaines lacunes foncièr
202
sélectionnée et de consultation aisée sur la vie
culturelle
de chaque région (activités, œuvres créées, institutions, tendances e
203
ales) ; — Fichiers détaillés sur les institutions
culturelles
, universités, associations, fondations, maisons d’édition, revues, et
204
me, etc. ; — Renseignements sur les personnalités
culturelles
marquantes, leurs œuvres, leur action régionale, l’intérêt qu’elles p
205
utres régions, par l’intermédiaire de leur centre
culturel
. Ils seraient conçus en vue de l’information des éducateurs, publicis
206
en tant qu’Européens, membres d’un même ensemble
culturel
, et non pas seulement au nom d’une seule nation, ou d’un État, ou d’u
207
d’autres voix, parlant au nom d’autres ensembles
culturels
. Mais la tâche est immense, et avant de l’aborder de front, nous avon
208
personnalités, représentant cinq grandes régions
culturelles
, à savoir : l’Inde, le monde arabe, l’Afrique noire (francophone et a
209
autres régions ou sur d’autres efforts d’échanges
culturels
. Sur trente-huit personnalités invitées, trente-deux ont accepté de v
210
ver et d’agir. Or ces réalités qu’on peut appeler
culturelles
sont les sources profondes des grands malentendus qui opposent nos ré
211
ue et social. La méconnaissance de ces réalités «
culturelles
» est ce qui empêche le plus souvent nos négociateurs, nos hommes d’É
212
on l’a rappelé à plusieurs reprises, du contexte
culturel
européen. Elle est absolument liée à nos bases métaphysiques, religie
213
épendance, reprennent conscience de leurs valeurs
culturelles
, de leur culture africaine, avec beaucoup de confiance. De telles cul
214
» au plan de la « culture » — à des nationalismes
culturels
en conflit. Ici apparaît la nécessité du dialogue. Il est très bon qu
215
x-en-Provence un colloque sur la décentralisation
culturelle
, illustre d’une manière exemplaire le rôle que peut jouer un festival
216
oque dont les ambitions initiales étaient d’ordre
culturel
, et qui a si bien réussi, au surplus, à mettre en évidence les liens
217
aire à des réalités économiques, linguistiques et
culturelles
qui n’ont pas du tout les mêmes frontières ou extensions, si vous dév
218
e confronter avec toutes les anciennes traditions
culturelles
. Dans ce sens, et comme le disait récemment à Genève Bertrand de Jouv
219
plement souligner le lien vital entre l’évolution
culturelle
et l’évolution économique. Notons que ces évolutions ne sont jamais p
220
lle d’Aix-Marseille, qui a déjà une forte densité
culturelle
. Il ne s’agit pas ici d’une population culturellement sous-développée
221
s présent, d’un phare, pour définir une métropole
culturelle
et économique. Je trouve cette image parfaitement exacte en ceci qu’e
222
i le produit, de le faire servir au développement
culturel
dont elle vivra en retour. La culture et l’éducation, je crois que no
223
dant, il existe en Europe quelques 400 fondations
culturelles
, pour la plupart peu connues, et très spécialisées. L’étude d’un proj
224
’à quel point le secteur industriel et le secteur
culturel
y sont réellement conscients de leur interdépendance vitale, de ce qu
225
e colloque, le problème de la métropole à la fois
culturelle
et économique, et le problème des responsabilités de ceux qui entrepr
226
information. Plus tard, le Conseil de coopération
culturelle
(CCC) s’étant constitué, [le Conseil de l’Europe] a délégué au comité
227
t devenir des métropoles, des centres d’animation
culturelle
, et puis elles vont renouer entre elles, au-delà des anciennes fronti
228
u finaux, ou simplement opératifs de sa cohérence
culturelle
, sans cesse perdue de vue ou remise en question. Et quand les hommes
229
op loin d’une ville de moyenne grandeur et de vie
culturelle
et sociale animée, une ou deux-centaines de maisons familiales disper
230
ppement dans la vie publique et privée de l’unité
culturelle
en question. Le problème des possibles convergences entre l’Orient et
231
le Bilan de la coopération européenne en matière
culturelle
. Ces quelque 50 rapports ont été attribués à une première série de qu
232
les replacer ? Enfin, la question des influences
culturelles
réciproques entre les cultures des autres continents et celles de l’E
233
et de leur transposition dans d’autres contextes
culturels
. Une douzaine de rapports lui sont attribués, traitant surtout des ef
234
l’influence de facteurs religieux, psychiques ou
culturels
, que toutes les lois de l’économie s’effondrent, si justes qu’elles s
235
justifiées aux yeux des masses par le chauvinisme
culturel
— les Français de 1914 croyaient défendre la Civilisation contre les
236
normande, la française, la celtique. Cette unité
culturelle
, contrairement à l’unité qu’institue une organisation politique, ne n
237
inction, et là, de réveil agressif ; les réalités
culturelles
, universités, centres de formation des cadres, laboratoires, architec
238
et commerçante, une vieille cité universitaire et
culturelle
, dotée d’un célèbre festival de musique, et une zone d’intense produc
239
(sinon en droit) plus d’importance économique et
culturelle
que les bureaux de la capitale, la révolution régionale sera faite. E
240
le très important du point de vue intellectuel et
culturel
. Ces agglomérations ont dès lors une importance essentielle pour l’id
241
cité européenne, associations professionnelles et
culturelles
tantôt locales, tantôt mondiales, domiciles multiples permettant de s
242
é régionale conduit à sa médiocrité économique et
culturelle
; b) l’absorption d’une communauté régionale par l’État-nation centra
243
alisé conduit à cette forme de vide économique et
culturel
qui a résulté partout de la colonisation. Qui ne voit en revanche que
244
és régionales aussi bien sociales qu’économiques,
culturelles
que techniques. Or, ces ordinateurs, nous les avons ! J’ai dit ailleu
245
orientation des flux de biens et de services tant
culturels
qu’économiques et techniques, enfin chercherait à prévoir les structu
246
d’États, d’ethnies, de confessions, de traditions
culturelles
et sociales. Pluralisme et arbitrage suprême (mais non pas dimensions
247
les réalités humaines (spirituelles et physiques,
culturelles
et économiques) à une seule et unique surface géographique déclarée «
248
lés : le politique, l’économique, le social et le
culturel
— aurait sans doute plus de chances de favoriser l’inquisition admini
249
la Suisse romande, constitue donc mon allégeance
culturelle
. Mais je suis aussi protestant, ce qui représente une allégeance mond
250
tion économiques, ni des institutions sociales et
culturelles
. 2° Les unités de base politiques et leurs structures ne sont pas, en
251
superposables aux unités de base économiques (ou
culturelles
) et aux structures correspondantes : les unes et les autres se chevau
252
ses » de faits économiques, ethniques, sociaux et
culturels
d’aires différentes, définissant des régions spécifiques. « Faut-il v
253
de régions à définition politique (ou ethnique ou
culturelle
), soit à la réunion de toutes les agences spécialisées au sein d’un g
254
s, bien entendu, de liens économiques, sociaux ou
culturels
noués ailleurs. cl) Voilà qui nous donnera, sans aucun doute, plusieu
255
ous ne comprenez pas, voyez Mao : sa Révolution «
culturelle
», vous ne lui avez donc jamais demandé ce que ça veut dire ? C’est l
256
nes de la superstructure politique, religieuse ou
culturelle
. Mao maintenant prétend le contraire, et sous l’étiquette « culturell
257
enant prétend le contraire, et sous l’étiquette «
culturelle
» fait attaquer le Parti qui, sous sa direction, avait tenté d’appliq
258
représentera au total l’union de l’Europe sera
culturelle
d’abord ou ne sera pas : en ce sens que l’obstacle à l’union de nos p
259
a fédération continentale des régions est d’ordre
culturel
, éducatif ; il est dans nos manuels d’histoire et, par là, dans la tê
260
Aspects
culturels
de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)di I.
261
surable d’un phénomène socioéconomique, ethnique,
culturel
ou écologique, en liaison plus ou moins étroite avec une aire géograp
262
ocioéconomiques qui crée la plupart des problèmes
culturels
, dont nous avons à traiter ici et que nous allons énumérer. II. Pr
263
ici et que nous allons énumérer. II. Problèmes
culturels
des régions frontalières 1. On se bornera à un ou deux exemples de
264
uant des processus de développement économique ou
culturel
(Aachen-Liège-Maastricht, Bâle-Mulhouse-Freiburg), compromettant les
265
au contraire, vous les libérerez ! 2. La création
culturelle
en Europe est d’autant plus riche et plus intense qu’elle est moins c
266
ême où Napoléon fait de la France un vaste désert
culturel
en mobilisant à Paris tous les esprits de mérite qu’il n’a pas bannis
267
ôle, est simplement omis, inexistant. Les régions
culturelles
ou ethniques ne coïncident pas avec les régions administratives, qui
268
et Malte 10. di. Rougemont Denis de, « Aspects
culturels
de la coopération dans les régions frontalières », Bulletin du Centre
269
me conduit à écrire en conclusion de mon rapport
culturel
: « Chacune des régions fonctionnelles que nous avons énumérées serai
270
on européenne, ou à la présentation d’un problème
culturel
européen comme les universités, ou la presse et les media ; — un numé
271
érents domaines que j’ai cités : socioéconomique,
culturel
, écologique, universitaire. Ces liens à travers les frontières et ave
272
exemple de relais, de planification écologique ou
culturelle
, ou d’instances d’arbitrage économique. Pour franchir la dernière éta
273
des régions. Tout le problème politique, social,
culturel
, économique, écologique de l’Europe — et de l’Occident tout entier —
274
sent, précisément, de cette pluralité des données
culturelles
qui, moins forts, moins doués, les eût neutralisés. Lointain cousin d
275
ar toutes leurs fibres aux traditions civiques et
culturelles
des Suisses. Voilà qui suffira peut-être à justifier l’existence auto
276
économiques, énergétiques, éducatifs, sociaux et
culturels
se multiplient et s’exacerbent dans toutes les régions frontalières d
277
o-nationale aux réalités économiques, sociales et
culturelles
du xxe siècle qui se « déclare » dans les régions frontalières. C’es
278
rs affaires communes — qu’il s’agisse de réalités
culturelles
ou énergétiques, écologiques ou sociales. Et voilà qui représente bie
279
re des toasts, on cite bien entendu les problèmes
culturels
, dont l’importance, assure-t-on, ne saurait être sous-estimée (nonobs
280
euses à l’origine, si elles ne s’avouent plus que
culturelles
ou idéologiques de nos jours. Je pose donc que les relations entre l’
281
épendu de tous temps, 1° de la nature des valeurs
culturelles
(au sens le plus large du terme) qui animent l’Europe et les différen
282
n celtique ; la synthèse de ces grands phénomènes
culturels
pouvant être localisée à la cour de Poitiers et dans ses environs, au
283
— moment de l’histoire où le courant des échanges
culturels
s’inverse d’une manière qui me paraît définitive. À partir du xve si
284
ue fausse tous les termes de l’échange aussi bien
culturel
que commercial. Mais, que le dialogue sur les finalités de la culture
285
ion harmonieuse). Puis il parlera de « révolution
culturelle
», marquant ainsi que la modernité ne saurait se développer spontaném
286
lieu de renouveler périodiquement la « révolution
culturelle
», et cela s’explique aisément. Car cette « révolution » est en réali