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rop bas. Tout au long de l’histoire du monde, la
décadence
des empires et des régimes démissionnaires ont vu revenir à la surfac
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lexandre Herzen, partage leur mépris pour notre «
décadence
» morale et culturelle : « La logique de l’histoire, écrit-il, pronon
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s), mais considèrent Cézanne comme le début de la
décadence
». Ils sont très hostiles à Picasso et Matisse. Indifférents aux qual
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puis Sorel et Spengler que l’Occident va vers une
décadence
inévitable, et que la vulgarisation de la culture ne peut qu’abaisser
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s les autres, le mot fin ne signifie pas but mais
décadence
et chute. Notre auteur, au contraire, tient que « la mission de l’Eur
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nce excessive, notre défaitisme, notre vertige de
décadence
. Il y a beaucoup à dire en faveur de l’une et de l’autre attitude. Ca