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ns la vie de l’esprit une situation que l’on peut
décrire
comme suit : la culture qui était un bien commun des Européens s’est
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er ce qu’elle seule pouvait empêcher. Le moyen de
décrire
plus simplement ce vertige de contradictions ? Il y faudrait une para
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tre, dans ses Soirées de Saint-Pétersbourg, avait
décrit
la magnificence fantomatique de cette capitale, créée par un tyran da
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u’il se les imaginait et telles que la presse les
décrit
. Les réalités qu’il perçoit n’ont rien de commun avec les grandes fic
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un citoyen européen, dans les conditions que j’ai
décrites
, et qui sont hélas bien réelles, se sente un homme responsable ? Les
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— vaut infiniment plus que tout ce qu’on vient de
décrire
. L’Europe ne sera pas « faite » et sauvée par des plans, mais par des
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llet 1956)az Autant qu’un essai sur la France,
décrite
comme la patrie du conservatisme — « rira bien qui bougera le dernier
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Pour appliquer la méthode dont nous venons de
décrire
les principes et les buts, de quels moyens dispose-t-on aujourd’hui,
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se réclament des diverses méthodes qu’on vient de
décrire
. Résumons encore ce schéma : 1. Tous veulent une Assemblée élue au su
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e doit commencer par les héritages. » L’auteur en
décrit
cinq : Rome, les Barbares, l’hellénisme, Israël et le christianisme.
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Hegel, de l’évolution de l’Europe. Il se borne à
décrire
, à citer, à situer, et par là rendra d’autres services aux étudiants
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la culture créatrice telle que l’on vient de les
décrire
. D’où la question (forme polie d’une objection fondamentale) que l’on
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nocturnes avec Fargue et Ravel sont maintes fois
décrites
dans ses notes. Léon-Paul Fargue « perpétuellement amoureux », le fra
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ites qui les subissent ce que l’on a si justement
décrit
comme un état de névrose, une sorte de schizophrénie culturelle. Seul
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gue multilatéral des cultures. La situation ainsi
décrite
— possibilités, besoins, lacunes —, ce qu’il nous reste à faire appar
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Centre. Je ne vais pas perdre un temps précieux à
décrire
ses activités. Qu’il me suffise de vous dire en deux mots qu’il exist
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t devant les autres. Il importe que chaque région
décrive
son ou ses problèmes majeurs, mais indique aussi ce qu’elle attend de
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s de ce pays avec l’ensemble européen) ; ceux qui
décrivent
des événements historiques survenus dans l’aire géographique de l’Eur
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raphie et de la Semaine du livre. Il ne vise qu’à
décrire
une coupe dans la production « européiste » contemporaine. L’examen d
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l’homme à la machine. C’est ce que Marx a si bien
décrit
, en son temps, en écrivant que l’ouvrier n’était que « le complément
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le rayonnement. Le climat, il existe ici, on l’a
décrit
hier. Il est heureux, il est dense, il est plein de possibilités vari
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tion civique : là où elle existe, elle se borne à
décrire
les institutions mais ne présente pas les problèmes vivants et réels
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ence tout artificielle… » Au-delà de cette Europe
décrite
par Valéry, l’interprétation de Dante me paraît valable pour le monde
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dans le cosmos en expansion vertigineuse que nous
décrivent
les astronomes contemporains. D’où résultent les deux conséquences qu
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dre le problème, du moins à définir ses termes, à
décrire
ses vraies dimensions, à mieux faire sentir son urgence et la nécessi
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urope est traitée par deux ou trois rapports, qui
décrivent
la faculté d’assimilation de l’Europe, non seulement du point de vue
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et dans quels termes ces hommes revenus chez eux
décriraient
les croyances « risibles et enfantines » à leurs yeux de ce grand sag
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Imaginons un tableau des régions de l’Europe qui
décrirait
leurs réalités actuelles et virtuelles, recenserait leurs ressources,
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’homme de la « Galaxie Gutenberg » si génialement
décrite
par McLuhan ne peut vraiment comprendre que ce qu’il voit. Dans ce mo
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de les approcher en tenant compte des résistances
décrites
et des réflexes stato-nationalistes dont, je le répète, nul de nous n
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’appareil bureaucratique ! De même, Lewis Mumford
décrit
les méfaits du centralisme de Rome, incapable d’accorder l’autonomie
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age du « vieil homme » à l’homme régénéré, il est
décrit
comme une rupture, comme une métamorphose subite. Saul de Tarse devie
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, parus en 1948 et en 1950 à Paris. Le premier me
décrit
en ces termes : « Petit, trapu, l’œil sombre, le poil noir, le sourci