1 ement vers l’intégration. Il en résulte que toute détente à l’Est détendrait ce ressort. D’où, paraît-il, crise de l’idée europ

2 t paix, et tant d’autres signes irréfutables de «  détente  », signifient que l’URSS désormais ne nourrit plus à l’endroit de l’O

3 sses en profitent pour pousser leur tactique de «  détente  » visant à faire échouer la CED. Les États-Unis voient leur prestige

4 a bombe H nous rejette aux risques de la paix. La détente n’a pas d’autre origine. Elle ne résulte pas des intentions vertueuse

5 paix, le contraire de ce court-circuit, c’est la détente . La question qui se pose désormais, dans cette situation « négative »

6 l’animal. Quels seront les bénéficiaires de la détente  ? Beaucoup s’inquiètent, des deux côtés du rideau de fer. La déten

7 s’inquiètent, des deux côtés du rideau de fer. La détente , si elle est vraie, à qui profitera-t-elle ? Aux échanges culturels q

8 ous serons enchantés de nous en convaincre. La détente et l’union de l’Europe Tournons-nous maintenant vers les Européens

9 vers les Européens. Ils vont dire : mais s’il y a détente , n’est-ce pas aussi le ressort de notre union qui se détend ? Redison

10 s forces au plan mondial. Mais il y a plus. Si la détente se manifeste en réalités, et non pas seulement en déclarations, les é

11 ntre A et non-B, ou entre A et 1/22e de B. Si la détente est vraie, un dialogue véritable doit s’instituer entre Moscou d’une

12 aurait plus lieu d’en parler, jusqu’à ce qu’une «  détente  » moins trompeuse nous soit proposée par le Kremlin. Cette opinion no

13 vailler en groupe, au lieu d’être consacrées à la détente d’un weekend, au travail personnel, ou à la méditation, qui est à la