1
ovie le 1er août, tandis que l’Autriche mobilise.
Dîner
au Grand Hôtel, et la petite troupe, en dépit des fatigues du voyage,
2
esse de l’ambassade d’Allemagne. C’est l’heure du
dîner
. Retinger insiste auprès d’un secrétaire pour parler à l’ambassadeur
3
é de Misia Sert, fait libérer Joseph, et l’emmène
dîner
chez La Pérouse. Peu de jours plus tard, on lui remet enfin un passep
4
pour de bon en 1936, le président Calles donna un
dîner
pour moi, au cours duquel il déclara, pour mon intense satisfaction,
5
docteur ». Mais dans un autre établissement où il
dînait
, près d’une table occupée par cinq ou six hommes, ce ne fut pas sans