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qui ont à cœur le sort de notre Europe, et qui se
demandent
ce que l’on fait pour elle en dehors du plan politique. Nous avons at
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’engagement partisan, qui se méfient des plans et
demandent
à voir, à ceux enfin qui dans leur solitude, de plus en plus menacée
3
à se ruiner par des guerres nationales qu’on nous
demande
ensuite de payer, parlant de métaphysique mais prenant nos dollars.
4
se d’en payer les frais courants ; l’Américain se
demande
si l’on y croit vraiment… (J’écris on à dessein : car ce ne sont pas
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nt parfois utiles. En effet, si quelqu’un vient à
demander
: pourquoi l’union (si difficile) de nos États, au lieu de leur pure
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lle, avant de songer aux réalités électorales. Il
demande
que sa vie ait un sens. Qu’on lui en donne un sans discussion possibl
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moyens de leur fin. b) Pareillement, la jeunesse
demandera
que les gouvernements qui se déclarent en faveur de la fédération eur
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es cellules vivantes de l’union de demain. Ils ne
demandent
qu’à s’ouvrir les uns aux autres. Le Centre européen de la culture a
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rincipe que chacune serve à toutes les autres, et
demande
aux autres des services, par le moyen de ce clearing house que veut ê
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se somme. Les hommes de culture, comme on dit, se
demandent
alors si pour ce prix l’on ne pourrait pas les aider mieux qu’en fina
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sées les premières bases de l’union, l’opinion se
demande
« si l’Europe est en panne ». Les uns voient la fédération en plein d
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ccident que les intentions les plus cordiales, on
demande
ce qui se trouve changé en fait dans la situation de l’Europe. Et l’o
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er si le projet de Constitution, rédigé sur votre
demande
, peut servir de base à l’union. Ces deux faits nous incitent à vous é
14
e que nous sommes unanimes à formuler : Nous vous
demandons
, Messieurs, d’accepter le Projet comme base de vos travaux prochains.
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est né du labeur considérable effectué sur votre
demande
par les délégués officiels des parlements de vos pays. Le refuser com
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soit pour le rendre en fait inopérant. Nous vous
demandons
de saisir l’occasion historique. Nous vous demandons de lancer l’idée
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andons de saisir l’occasion historique. Nous vous
demandons
de lancer l’idée d’une Autorité politique. Nous vous demandons, en so
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lancer l’idée d’une Autorité politique. Nous vous
demandons
, en somme, d’accepter le Projet dans une perspective dynamique. Que v
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cette grande nostalgie de l’homme occidental, qui
demande
beaucoup plus que la paix, qui demande un sens à sa vie, une directio
20
ental, qui demande beaucoup plus que la paix, qui
demande
un sens à sa vie, une direction à son espoir… Et cependant, si les re
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la liberté et les droits du peuple… (etc.) On se
demande
quelles grandes et nouvelles raisons s’opposeraient aujourd’hui à l’a
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: Français et Allemands restent face à face, à se
demander
s’ils doivent abaisser un peu ou élever encore les digues « tradition
23
ent plus comment la satisfaire. À la fin, ils lui
demandèrent
: Qu’as-tu ? Elle dit : J’ai faim. Ils lui dirent : Nous t’avons donn
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ire de la Guépéou avait faite à quelqu’un qui lui
demandait
ce que l’on entendait par espionnage : « Vous rencontrez un étranger
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Vous rencontrez un étranger de vos amis. Il vous
demande
pourquoi vous avez l’air soucieux. Vous répondez je suis fauché. Voil
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onc tranchée négativement, les dix-sept offres ou
demandes
occidentales ayant été rejetées par le porte-parole des dirigeants de
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tisanes, de valets de chambre auxquels on pouvait
demander
au besoin des leçons de belles manières ou même de belles-lettres. L
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sitions constructives et conciliantes est de nous
demander
l’abolition des contrôles stratégiques. Ces contrôles, nous l’avons d
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re compte, dans les propositions qui suivent, les
demandes
« inacceptables » aux yeux des dirigeants soviétiques — et déjà refus
30
u’intellectuels européens, nous jugeons de telles
demandes
normales et justes : que cela soit dit en toute clarté. Mais nous voy
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selon la logique de leur dogme d’État. S’ils nous
demandaient
de leur envoyer des délégations d’écrivains désignés par leurs gouver
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iscussion intéressante. Du côté soviétique, on se
demandera
sans doute pourquoi nous tenons à ce dialogue. Répondons par avance e
33
obre 1955. 26. À un journaliste français qui lui
demandait
l’autre jour (7 décembre 1955) pourquoi l’URSS interdisait l’expositi
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d’ordre essentiellement politique. Ses partisans
demandent
l’élection au suffrage universel d’une Constituante européenne, d’où
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ues, des compromis entre partis traditionnels. On
demande
donc que la question européenne soit posée ouvertement, dans son ense
36
e un organisme nouveau, la conférence a cependant
demandé
aux gouvernements d’instituer « une organisation culturelle » basée s
37
ates du Centre européen de la culture — dont elle
demandait
la création — serait « d’entretenir le sentiment de communauté europé
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journal et de ses principes. Mais voici qu’on lui
demande
de voter pour un candidat inconnu, dont le parti promet la lune et qu
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t pas encore l’heure des bilans, mais celle de se
demander
si le cap est bien fixé, et de vérifier les commandes. Le programme d
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un bouleversement de l’Histoire. Même s’ils n’en
demandent
pas tant, on devra abattre pour eux quatre-mille kilomètres de murail
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usagers et pour des conférenciers ; il envoie sur
demande
la documentation requise pour l’étude des problèmes européens ; enfin
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vert, si cet homme s’avisait d’entrer et de nous
demander
à brûle-pourpoint : Qu’est-ce que l’Europe ? Pourquoi faut-il l’unir
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pressant et objectif, complet et bref. C’est trop
demander
, bien sûr. C’est peut-être impossible. Mais on ne fera pas l’Europe s
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e en 1948, sous la présidence de M. Churchill. Il
demanda
la convocation d’une Assemblée parlementaire européenne. L’année suiv
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Europe par Gonzague de Reynold. M. l’abbé Pfulg a
demandé
à notre directeur de bien vouloir écrire le chapitre du manuel d’hist
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d’introduire dans la définition la mise en garde
demandée
par certains contre les tentations de facilité nées de l’élément tour
47
’attitude : les numéros spéciaux du bulletin sont
demandés
de partout, les propositions d’activités nouvelles affluent, la néces
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listes accusent d’antidémocratisme, alors qu’elle
demande
l’appel direct au peuple ; enfin une méthode culturelle qui prétend à
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estion de se prononcer là-dessus. Nous vous avons
demandé
de venir ici pour définir, en tout état de cause, vos positions, qu’e
50
e conférence sur cet objet au mois d’octobre — de
demander
à l’Association des universitaires d’Europe ainsi qu’à quelques obser
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uples peut et doit aujourd’hui s’édifier. On nous
demande
: quelles seront ses limites ? Nous refusons cette question mal posée
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droit divin, les théocraties et les dictatures ne
demandent
que l’obéissance de leurs sujets. Seul, le régime démocratique exige,
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an européen. C’est dans cet esprit que nous avons
demandé
à des enseignants de huit pays européens les rapports qu’on va lire.
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les problèmes concrets vont se poser. Celui-ci me
demande
dès la première ligne : « Es-tu un bon citoyen ? » et passe aussitôt
55
Bilczewski et les chefs des partis politiques lui
demandent
de gagner au plus vite la France et l’Angleterre, pour y représenter
56
e téléphone, a compris. Il décroche l’appareil et
demande
à parler au Général. Il explique brièvement qu’il lui faut un visa. «
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ituelles, et se rend aussitôt au ministère, où il
demande
à voir le chef de l’état-major général. On le regarde avec stupéfacti
58
etit homme d’une soixantaine d’années apparaît et
demande
à Retinger pourquoi il veut absolument aller en France. « J’ai certai
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ère de la Guerre et l’ambassadeur d’Allemagne, et
demande
qu’on lui réserve un sleeping jusqu’à la frontière suisse. Impression
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uté son récit lui accorde sans difficulté le visa
demandé
. Néanmoins, à la frontière française, un jeune commissaire spécial de
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l’ait jamais autorisé ni même connu… Retinger se
demande
, dans ses notes, si le rôle qu’il joua dans l’affaire fut aussi impor
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ys, Luis Negrete Morones. Pourquoi ce voyage ? se
demande-t
-il dans ses notes, et il répond : parce qu’il pensait qu’un futur hom
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Mexique à accepter leurs conditions. Le président
demande
à Retinger d’élaborer un plan d’action. Après avoir étudié le dossier
64
Polonais de Londres ont perdu sa trace. Retinger
demande
un avion pour aller à la recherche de son chef. Il connaît Sikorski d
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en mesure d’observer de près sa technique. Il me
demandait
de le mettre en contact avec le professeur William Rappard. J’arrange
66
t ainsi pris dans son jeu, il vint chez moi et me
demanda
de me charger de la partie culturelle du congrès. Sur ce qu’il faudra
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avi. Comme il le fut une autre fois, quand je lui
demandai
s’il était exact qu’il fût à la fois l’agent de l’IS, de la franc-maç
68
nges dans la mesure où ils peuvent répondre à des
demandes
venant d’autres pays ou régions, mais leur mission principale reste d
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d’études, colloques, suffisent en général pour la
demande
existante, et l’excèdent parfois. Les sources de documentation, bibli
70
e rencontrent, et que les rencontres souhaitables
demandent
à être organisées. Nous sommes arrivés à la conviction que la créatio
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e plus de 2000 titres. Il peut ainsi répondre aux
demandes
de chercheurs et d’instituts d’outre-mer, qui ne disposaient jusqu’ic
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vivante, et sont mal équipés pour répondre à des
demandes
personnelles ou à des questions portant sur l’ensemble de leur région
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finis. Il se peut aussi que certains d’entre vous
demandent
que soit précisé le sens du terme cultures (au pluriel), dans le cont
74
ques du dialogue, pour chaque région ? Ceci nous
demandera
sans doute plus de temps. Car il importe que chaque « région » représ
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jours après ce que d’autres ont osé faire sans se
demander
d’abord si c’était à la mode, si cela intéressait le grand public. Ce
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re problème, et c’est aux éditeurs qu’on voudrait
demander
de se montrer plus difficiles. Trop d’ouvrages de seconde main sur l’
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4° Le manque de préparation des enseignants, qui
demandent
à être mieux informés et formés. ⁂ Afin de répondre aux vœux ainsi ex
78
e pire. Arrêtons-nous quelques instants pour nous
demander
quelles sont les causes, le moteur et l’agent de ce mouvement univers
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lusions rapides, peut-être obscures, un sujet qui
demanderait
de gros ouvrages pour être exposé sérieusement. Ce qu’il m’importe de
80
toire. Cette liste de thèmes, vous le sentez, ne
demande
qu’à s’allonger au gré de vos désirs. Quant aux relations entre un te
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inévitables. Une cinquantaine de rapports ont été
demandés
. Quarante-huit figurent dans vos dossiers, quelques-uns nous sont arr
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oralement. C’est dire que la réponse a dépassé la
demande
, quoique avec un certain retard, qui explique le déluge de papier auq
83
port aux Arabes, aux Hindous et aux Chinois, sans
demander
ni recevoir d’assistance technique, ont fourni la carrière mondiale q
84
lité » devant les cultures orientales, dont on se
demande
si ils ne les tiennent pas, au fond et systématiquement, pour supérie
85
ation civique, voilà qui va de soi et personne ne
demandera
quel est le lien entre ces matières et la préparation civique des élè
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son risque personnel, en fin de compte. ⁂ Si nous
demandons
maintenant ce qu’est la culture, nous allons voir que sa définition f
87
simplement ceci : — les fédéralistes européens ne
demandent
pas d’autre union que celle que permet l’unité existante de notre cul
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étendait sur un lit de fer les étrangers qui lui
demandaient
l’hospitalité. Il leur coupait les jambes si elles dépassaient, ou le
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passé dont l’unification prendrait trop de temps,
demanderait
trop d’énergie, et soulèverait trop d’oppositions.73 Quelques mois
90
rtis, le PSU à gauche, les Indépendants à droite,
demandent
déjà des assemblées régionales élues, la promotion d’une citoyenneté
91
ne société, avec ses cadres et ses mécanismes. Je
demande
seulement qu’il corresponde aux réalités humaines et qu’il les serve,
92
au lieu de prétendre à les régir en souverain. Je
demande
la division du phénomène État en autant de foyers, et sa répartition
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nité et d’ordres de grandeur dans nos projets. Je
demande
la dissociation et la répartition fédéraliste des pouvoirs aujourd’hu
94
t la vraie religion de notre temps. Quand le pape
demande
la grâce des accusés de Burgos, et quand un PC européen s’inquiète po
95
n. Je trouve là Carlo Schmid et des amis. Je leur
demande
de me suggérer un incipit. Carlo Schmid s’écrie sans hésiter : Il fau
96
tion « culturelle », vous ne lui avez donc jamais
demandé
ce que ça veut dire ? C’est le renversement du marxisme. Relisez Marx
97
volte des matelots de Cronstadt coupables d’avoir
demandé
que les dirigeants soviétiques « tiennent compte de l’avis des ouvrie
98
e sur les seuls mythes nationaux. Ainsi que l’ont
demandé
en mai 1972 les professeurs d’histoire et de géographie de l’Académie
99
. 57 et 64) et la Déclaration finale (art. B. 1),
demandent
la création immédiate de commissions régionales suprafrontalières, av
100
Il est normal qu’un jeune homme d’aujourd’hui se
demande
à quoi tout cela rime et qu’il le crie même dans la rue ; il est anor
101
de Lévi-Strauss écrivait récemment : « On peut se
demander
si nos sociétés qui deviennent de plus en plus énormes et pareilles l
102
n construisait sa résidence de Rabat, et il avait
demandé
à son jardinier que l’on plante à droite et à gauche de l’entrée des
103
es habitants plus et mieux que le petit État ? se
demande
H. Kahn. Et de constater que « la France n’a pas une économie nécessa
104
, 1891-1974 (printemps 1974)do Lorsque j’avais
demandé
à Carl Burckhardt d’être, aux côtés de Robert Schuman et de Carlo Sch
105
savoir, de toute connaissance réelle. On a pu se
demander
si la région est un fait de nature ou de culture ? (De géographie ou
106
ience d’une entité régionale sous-jacente, qui ne
demanderait
, pour exister, qu’à être libérée de cette frontière dont on voit de m
107
nditionnelles. Car autant il est nécessaire de se
demander
ce qui résultera de ce que l’on entreprend, et de poursuivre ou non e
108
rs sur une Nécessité impersonnelle, qu’on peut se
demander
si les « modèles » que manipulent les futurologistes ne jouent pas un
109
r, c’est la qualité de vie. Si bien qu’on peut se
demander
si le dogme de la croissance industrielle n’est pas devenu sacro-sain
110
ndi contre « la route meurtrière », au lieu de se
demander
qui a fait la route et pourquoi, et si son prix valait vraiment les a