1 aits fondamentaux, ces trois coordonnées de notre destin historique, demeurent les motifs impérieux de notre union fédérative.

2 gnifierait Dans l’indifférence générale, notre destin commun d’habitants de l’Europe s’est gravement infléchi depuis quelqu

3 n Europe qui puissent renverser le cours d’un tel destin  ? Le premier venu les énumère : forces constituées, forces de product

4 rez la dernière occasion de décider vous-mêmes du destin de nos pays, et de notre civilisation. Il est clair que certains sacr

5 effort d’information. La tâche de méditer sur nos destins fut confiée à un petit groupe de six Sages, dont la composition me pa

6 roduit, dans les six thèmes proposés, l’idée d’un destin commun de tous les peuples de l’Europe, défini par leur unité inconte

7 amais les noms ! — inconscients de l’immensité du destin qu’ils peuvent faire basculer. Toute discussion d’alinéas, de « préal

8 ettre morte. Si au contraire le sentiment de leur destin commun se réveille chez les Européens, la plupart des obstacles exist

9 casion pour quelques personnalités soucieuses des destins de l’Europe, et conscientes de leurs responsabilités, de se rencontre

10 le se fera par des hommes qui comprennent que son destin dépend de leur action d’abord. Il faut que quelques-uns au moins relè

11 de s’unir et la conscience vivante d’une unité de destin et d’avenir, qui est la condition nécessaire et presque suffisante de

12 et leurs émules proposaient une interprétation du destin russe en tout point différente de celle dont Pétersbourg et l’Empire

13 conscience de la communauté de civilisation et de destin historique de tous les Européens. Tant que cette communauté de consci

14 plète, et sans réserve, peut encore redresser les destins chancelants de la communauté humaine qu’on nomme Europe. 31. Voir

15 une fédération de peuples embarqués pour un même destin , qui négligerait encore la recherche d’avant-garde et l’éducation gén

16 ment amenés à des conclusions pessimistes sur les destins de notre Europe ? Je crois bien que Hegel est la seule exception, qui

17 a conscience de leur unité, de leur communauté de destin historique, et de leur mission commune dans un monde transformé par l

18 une fédération de peuples embarqués pour un même destin , qui négligerait encore la recherche d’avant-garde et l’éducation gén

19 l discours, Retinger, on peut le dire, a forcé le destin , et vaincu l’inertie la plus lourde du monde : celle des gouvernement

20  Ceux hérités de l’Antiquité, tels que le défi au destin ou l’acceptation des décrets des dieux, le civisme ou la révolte, la

21 nies qui viennent, l’essentiel serait obtenu, les destins pourraient être renversés. Mais que voyons-nous ? Les USA ont un gouv

22 re que son développement était inévitable, et son destin arrangé par la Providence, comme le mythe français des « frontières n

23 c européen, c’est que George Orwell a prévu notre destin inéluctable d’Occidentaux promis à l’impitoyable sollicitude de « Big

24 out l’impuissance des citoyens à décider de leurs destins , à intervenir dans les processus de décision concernant leur existenc

25 dans le sentiment de leur impuissance devant leur destin collectif, et de la dissolution de toute communauté à laquelle ils po

26 our lutter contre l’entropie, dans les limites du destin de l’homme sur la terre. Une seule chose est certaine, c’est la mort,