1
ulture organisée Il y eut jadis des princes et
dictateurs
mécènes. Il y eut Laurent le Magnifique. Temps bien passés. Un gouver
2
et définitif décrétés par le roi-prêtre ou par le
dictateur
, l’Europe oppose l’idée et la pratique d’une remise en question perma
3
ts des hommes d’État, sur les projets secrets des
dictateurs
, et sur les catastrophes naturelles ou provoquées par les passions hu
4
neutres ou les « agresseurs ». Il dépend du seul
dictateur
d’un petit pays « sous-développé » que nos voitures tombent en panne,
5
mps constitué la force principale d’un chef, roi,
dictateur
ou État républicain. Or ce pouvoir paraît mieux assuré, de nos jours,
6
qu’entre les ambitions de Napoléon et celles d’un
dictateur
du xxe siècle il y ait d’autres différences que celles dues aux moye
7
de la cité) et non du sommet (des idéologies, du
dictateur
). Partir d’en bas, c’est-à-dire des problèmes dans leur réalité huma
8
urcils du président américain et un grognement du
dictateur
russe ont contraint les gouvernements de la France et de la Grande-Br