1 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
1 éorie biologique sujette à la discussion, mais un dogme , et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce dogme, et, par exemp
2 , et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce dogme , et, par exemple, les partisans de Lamarck, étaient en butte à son mé
2 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
3 onjonctures actuelles et selon la logique de leur dogme d’État. S’ils nous demandaient de leur envoyer des délégations d’écri
4 habituels rattachant tel aspect d’une œuvre à tel dogme politique régnant en URSS. Ceci appartient en effet à la définition d
3 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
5 leur enlèverait des lecteurs. Ils vivaient sur le dogme qu’il n’y avait en Suisse romande (qui compte 1 million d’habitants)
4 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
6 , par exemple, la relation de continuité entre le dogme de l’Incarnation (reconnaissance de la réalité de la matière et du co
5 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
7 n croire leurs yeux quand ils le voient, c’est le dogme inculqué dans les esprits pendant plusieurs générations par les soins
8 le, de la presse, et de l’éloquence politique, le dogme de l’immortalité non seulement de ma nation, mais de la forme nationa
6 1970, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
9 r de sévir contre ceux qui contestent l’un de ses dogmes (objecteurs de conscience, par exemple, ou régionalistes autonomistes
7 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
10 nt de les résoudre. Ou plus exactement : c’est le dogme de la souveraineté nationale absolue et illimitée, c’est-à-dire sacro
11 ynamismes économiques, n’est que la traduction du dogme de la souveraineté totale, universelle et indivisible de l’État-natio
8 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
12 inistres et surtout des fonctionnaires, au nom du dogme de la souveraineté nationale absolue ? Et comment créer ou recréer de
9 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
13 n’a pas à être démontré puisqu’en effet, selon le dogme de l’État-nation, « le bien le plus précieux, c’est l’unité nationale
10 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
14 eur responsabilité, puisqu’ils sont fondés sur le dogme de la souveraineté illimitée dans leurs frontières, dites « géographi
15 s citoyens, selon qu’ils se conforment ou non aux dogmes de la religion stato-nationale, dont le plus grand est l’unité centra
11 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
16 lité de vie. Si bien qu’on peut se demander si le dogme de la croissance industrielle n’est pas devenu sacro-saint dans la me
12 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
17 genre humain au-delà du xxe siècle. En effet, le dogme de la souveraineté nationale interdit aux États-nations de répondre v
18 s, pourrait seule permettre 1°) un dépassement du dogme de la souveraineté nationale illimitée ; — 2°) une restauration du se