1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
1 l de propagande, de production industrielle et de dressage des citoyens. Cette confusion entre l’État et la culture, cette mainm
2 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
2 tandis que la formation morale se confond avec un dressage de l’individu. En Europe, et surtout depuis la Renaissance et la Réfo
3 discuter, donc de le mettre en doute. De même, au dressage des individus, l’Europe moderne substituera de plus en plus la promot
4 plus la promotion de l’autonomie personnelle. Le dressage consistait dans ce que l’on pourrait appeler un conditionnement des r
5 i déterminent l’éducation, ou pour mieux dire, le dressage utilitaire de l’individu. Nous sommes ici aux antipodes de la pratiqu
6 irait pas de juxtaposer une éducation libre et un dressage autoritaire, ni de les faire alterner, ni de commencer par l’une et d
7 iment libre ; et un homme qui n’aurait subi qu’un dressage , sans liberté de choix, ne deviendrait pas, pour autant, un citoyen r
8 s ne cesse de s’étendre vers la première enfance ( dressage social et moral) et vers l’âge mûr (spécialisation toujours plus pous
3 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
9 que la formation morale et sociale consiste en un dressage de l’individu, toute l’opération ayant pour but de rendre les croyanc
10 omme nous le dirions aujourd’hui. En revanche, au dressage antique, les sociétés modernes ont substitué la promotion de l’esprit
11 t critique en vue de l’autonomie individuelle. Le dressage consistait dans un conditionnement des réflexes : il s’agissait de fo
12 État, qui déterminent l’éducation. On revient au dressage utilitaire de l’individu comme dans les sociétés sacrées religieuses,
13 sme) ; et enfin l’éducation comporte à la fois le dressage et la préparation à l’autonomie. Le principe est toujours le même : é
14 dans la tenue des cahiers, etc. ? Faut‑il plus de dressage , ou plus de développement du sens critique ? Les avis diffèrent sur d
15 mode entendait dire qu’il faut au jeune enfant un dressage suffisant pour lui permettre, un jour, de se débrouiller seul, de cha
16 cadre du plan. Notre conception la plus saine du dressage se situerait, me semble-t-il, à mi-chemin entre l’entraînement (au se