1
des hommes libres. Car en fin de compte, pourquoi
faut
-il sauver l’Europe ? Non point pour l’opposer aux grandes nations nou
2
e de l’extérieur, mais malade. Nous pensons qu’il
faut
la sauver pour deux raisons que chacun doit comprendre, qu’il soit Eu
3
des cœurs. Pour aboutir à fédérer nos peuples, il
faut
donc agir tout d’abord sur les esprits et sur les cœurs. Le vrai prob
4
simples déplacements de forts en thème —, il nous
faut
dénoncer la méthode de « l’organisation des échanges » et en même tem
5
e sera bien notre faute dans les deux cas. Car il
faut
faire l’Europe, ou il faudra subir soit leur intervention, soit leur
6
s les deux cas. Car il faut faire l’Europe, ou il
faudra
subir soit leur intervention, soit leur retrait. Et si la « civilisat
7
nd toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il
faut
bien constater que c’est notre public européen qui, librement, propag
8
re l’Europe sur la base des partis politiques, il
faut
renvoyer les « problèmes culturels » à plus tard. 2. Mais d’autre par
9
lture a créé le noyau de leur fédération. Mais il
faut
les aider tout d’abord à survivre (c’est une question de budgets loca
10
exécution. Puis se pose la question du budget. Il
faut
faire vivre l’Organisation, et songer aussi à ses tâches. Les activit
11
s vices de construction C’est le système qu’il
faut
donc réformer, et c’est encore trop peu dire : il s’agit de refaire à
12
leurs œuvres apparaissent. C’est donc de là qu’il
faut
partir, de cette base-là, non point d’une organisation abstraite parc
13
urs, et non pas de la formule même du CEC. ⁂ S’il
fallait
résumer encore ces remarques déjà trop condensées, on soulignerait ce
14
ont exacts. En effet, pour changer de vitesse, il
faut
passer par le point mort. Mais pendant ce temps la voiture roule. Aux
15
ux de certains, comme un expédient défensif qu’il
fallait
accepter in extremis. Si maintenant la Russie nous rassure, il est cl
16
notre monde du xxe siècle étant ce qu’il est, il
faut
prendre au sérieux les pires sottises : elles représentent un facteur
17
ier américain ne peut aujourd’hui l’ignorer. S’il
fallait
résumer en deux phrases le rôle et l’importance d’un tel écrit, je di
18
) sont sans issue dans le cadre national et qu’il
faut
donc chercher leur solution dans une forme quelconque d’entraide euro
19
ant, l’on fait tout pour qu’ils restent ainsi. Il
faut
donc croire que les Européens sont menés, en réalité, par des forces
20
t gravement infléchi depuis quelques semaines. Il
faut
le dire : jamais l’effort de construction européenne, si près du but,
21
s sont Européens, bon gré mal gré. Voilà ce qu’il
faut
leur dire, voilà ce qu’ils doivent comprendre à tout prix et in extre
22
gime peut-il être accepté pour le moment ? Or, il
faut
commencer. Refuser de partir d’un tel Projet, ce serait se condamner
23
voulu. La perspective dynamique dans laquelle il
faut
voir le Projet, et peut-être le modifier, se définit pour nous par qu
24
ands repères, que nous essayerons de fixer. 1. Il
faut
que l’Europe s’unisse pour redevenir une force, capable d’assurer l’i
25
u’ils mourront seuls ou revivront ensemble. 2. Il
faut
que l’Europe s’unisse pour sauver le foyer d’une civilisation devenue
26
mais il prépare les voies de la fédération. S’il
faut
le modifier, que ce soit dans cette vue : afin de ménager son avenir
27
hypothétique) de sécession. Mais d’autre part, il
faut
se garder d’y ajouter quoi que ce soit qui viendrait compromettre l’é
28
as vers ces buts, vous détruirez l’obstacle qu’il
faut
redouter le plus : le scepticisme et l’inertie des masses. Au contrai
29
nion, là surtout, plus que dans « les faits ». Il
faut
des congrès politiques. Il faut des plans économiques. Mais il faut e
30
« les faits ». Il faut des congrès politiques. Il
faut
des plans économiques. Mais il faut en même temps des foyers où l’on
31
olitiques. Il faut des plans économiques. Mais il
faut
en même temps des foyers où l’on maintienne, où l’on rappelle sans ce
32
nces du but final, l’Idée maîtresse. Et enfin, il
faut
reconnaître que les uns et les autres ne serviront l’Europe en effica
33
ticisme amer nos plus éloquents hommes d’État. Il
fallait
donc d’une part approfondir l’idée même de l’Europe unie, par une sér
34
glo-Saxon cherche une « approche » convenable. Il
faut
tenir compte de ce malentendu toujours instant dans le dialogue europ
35
la culture ? — Je veux bien être bref, mais il me
faut
trois mots. Ou plutôt je vous répondrai sur les questions que posent
36
chologiques ? C’est donc en profondeur qu’il nous
faut
travailler, dans les esprits et dans les cœurs. — C’est la formule co
37
tion réelle. Mais si le Centre n’existait pas, il
faudrait
l’inventer — la phrase n’est pas de nous — et s’il venait à disparaît
38
t apporté par notre ami Ernst Friedlaender : « Il
faut
dire franchement à nos nations qu’elles ne pourront sauver leur indiv
39
À la question : pourquoi l’Europe unie ? Il nous
faut
donc répondre maintenant : pour que l’Europe recouvre, entre les gran
40
us simplement ce vertige de contradictions ? Il y
faudrait
une parabole. En voici une. Il y avait une fois des députés. Ils étai
41
lui manquaient, et il est significatif qu’il ait
fallu
tant de temps pour qu’il obtienne les premières promesses d’un financ
42
vous réussissez — mais voyez-vous, ce qu’il nous
faut
, c’est de l’action ! » Et l’on entend ou sous-entend par là : de l’ac
43
on le disait au Moyen Âge, à une « religion ». Il
faudra
donc que les Amis se sentent liés entre eux, autant qu’à la mission g
44
que son destin dépend de leur action d’abord. Il
faut
que quelques-uns au moins relèvent ce défi de l’Histoire. Sans orguei
45
u secret un peu superficielle. Vous estimez qu’il
faut
se borner à protéger ce que l’on possède de nouveau ou d’important. N
46
d’autre part — une et diverse. Et dans ce cas, il
faut
plus que jamais l’union morale et culturelle de nos pays, la volonté
47
fut l’apport de l’Occident dans la vie russe, il
faut
y distinguer deux influences particulières, les plus puissantes et le
48
de la vie sociale et culturelle de la Russie, il
fallait
les chercher, selon eux, dans la foi chrétienne, telle que les Russes
49
es. Mais nous avons encore beaucoup à faire… » Il
faut
donc nommer un comité d’experts pour convoquer une nouvelle conférenc
50
ys du socialisme et de démocratie populaire… Que
faut
-il donc faire ? S’entendre sur « certaines indications essentielles »
51
existe chez eux, officiellement tout au moins. Il
faut
donc trouver autre chose, imaginer d’autres formules d’approche, à su
52
e ou l’autre partie (ou des doubles éventuels) il
faudrait
arriver à six sujets. Chacun serait alors introduit par un rapport éc
53
Ce que chacun pense de ses portraits par l’autre.
Faut
-il favoriser ce genre littéraire ? Si oui, comment l’améliorer ?) Tou
54
de presse favorables à nos propositions. Mais il
faut
être deux pour dialoguer. En attendant, citons quelques informations
55
ation du sens de la responsabilité. Ceci posé, il
faut
bien constater que, pratiquement, la société occidentale du xxe sièc
56
borateurs formant l’équipe actuelle du Centre. Il
faut
d’abord diagnostiquer les besoins réels de l’Europe, les confronter a
57
et concevoir des solutions pratiques. Ensuite, il
faut
chercher les hommes que tel ou tel problème devrait intéresser, les p
58
arantie de l’écoulement et la paix, soit. Mais il
faudra
bien qu’ils sachent un jour que leur modeste revendication personnell
59
à conserver ce qui est établi. C’est pourquoi il
faut
savoir, pour répondre à l’interrogation morale de notre époque, si en
60
ûle-pourpoint : Qu’est-ce que l’Europe ? Pourquoi
faut
-il l’unir ? nous n’aurions pas une seule brochure à lui tendre sans h
61
s aucune langue » a fondu sur un peuple européen.
Fallait
-il interrompre nos travaux ? Renvoyer leur publication à de meilleurs
62
e à l’appel qui survit au martyre de Budapest. Il
faut
absolument faire l’Europe, et tout de suite. Nous le devons à notre i
63
ces mondiales. Chacun voit aujourd’hui qu’il nous
faut
faire l’Europe pour assurer notre avenir économique, et parce qu’il n
64
tuel et manque de foi dans l’idéal occidental. Il
faut
donc persuader nos élites et nos masses que l’Europe reste la patrie
65
cois. Suez et Budapest n’auraient-ils pas suffi ?
Faudra-t
-il d’autres catastrophes ? Ou ne serait-t-il pas moins coûteux de sou
66
rteront d’abord des études générales sur ce qu’il
faut
faire, puis une série d’informations sur ce qui se fait déjà. Nous pr
67
er le rapport final. D’ores et déjà, pourtant, il
faut
souligner que notre programme se déroule conformément aux plans du Co
68
pas que cette méthode a fait ses preuves, car il
faut
une génération pour vérifier les résultats d’une entreprise de cette
69
nçais d’un côté, allemand de l’autre.) Ensuite il
faut
offrir à ces hommes compétents l’occasion de travailler ensemble en t
70
trouve des chances nouvelles de se satisfaire. Il
faut
donc leur rappeler — ils le voient bien d’ailleurs — que nos États-na
71
t tout naturellement l’impératif européen. Encore
faudra-t
-il que les initiateurs de rencontres et les animateurs d’entreprises
72
au point objectives et bien documentées. Ce qu’il
faut
absolument faire voir au plus grand nombre possible d’Européens, mais
73
pour autant fatale. Si nous voulons survivre, il
faut
l’union ; mais cette union ne se fera pas d’elle-même ou par l’opérat
74
ans les esprits (non les faits) et c’est là qu’il
faut
les combattre en premier lieu. En revanche, les meilleurs atouts de l
75
e sont ceux que lui crée sa culture. Mais il s’en
faut
de beaucoup que les détenteurs actuels des moyens matériels de puissa
76
ses n’ont pas ces scrupules-là, ils font ce qu’il
faut
; ils gagneront sans coup férir, si nous ne parvenons pas à persuader
77
onscience bourgeoise est commencée. Maintenant il
faut
souffler sur la flamme qui couve. Nous n’avons plus beaucoup de temps
78
ils se ramènent à une antinomie fondamentale. Il
faut
aller vite (si l’on tient compte de la conjoncture mondiale) et il fa
79
on tient compte de la conjoncture mondiale) et il
faut
réussir une Europe digne de ce nom (si l’on tient compte de ce qui la
80
temps. Trois exemples : 1. Pour bien réussir, il
faut
préparer le terrain, comme le veut la méthode éducative et culturelle
81
me l’impatience la mieux légitimée. Mais s’il lui
faut
dix ou quinze ans pour convaincre le « peuple européen » qu’il est un
82
premiers microsillons ont été consacrés, comme il
fallait
s’y attendre, surtout à des œuvres dites légères, et généralement aux
83
eurs qui déborde largement le plan commercial. Il
faut
qu’ils s’en convainquent. Il faut qu’ils comprennent tout d’abord que
84
commercial. Il faut qu’ils s’en convainquent. Il
faut
qu’ils comprennent tout d’abord quelles possibilités de diffusion déc
85
titude générale de confiance envers le public. Il
faut
qu’ils renoncent une bonne fois à l’idée périmée que le succès ne réc
86
e que la facilité, la routine et la vulgarité. Il
faut
qu’ils visent plus haut, puisqu’ils le peuvent désormais. Il faut qu’
87
nt plus haut, puisqu’ils le peuvent désormais. Il
faut
qu’ils acceptent à la fois de miser sur l’exigence croissante des mas
88
’ouvrages que nous avons pu lire sur l’Europe, il
faut
reconnaître que beaucoup ne font que répéter ce qui a déjà été écrit
89
ellectuelle n’est plus seule suffisante, et qu’il
faut
y ajouter l’exigence d’une signification européenne ; tandis que, d’a
90
al, ou impossible à lancer dans certains pays. Il
faut
tenir compte, en effet, de l’inégalité des huit marchés linguistiques
91
cessé de le répéter ici : pour faire l’Europe, il
faut
faire de l’Europe. Il faut faire des Européens, conscients de leurs s
92
our faire l’Europe, il faut faire de l’Europe. Il
faut
faire des Européens, conscients de leurs solidarités dans le présent
93
le passé. Mais pour éveiller cette conscience, il
faut
aller jusqu’à ses sources collectives : l’École et le milieu local. ⁂
94
lture ? — de quelle Europe s’agit-il ? — pourquoi
faut
-il un Centre en pareil domaine ? Répondre à ces trois questions, très
95
s, qui ne sommes d’aucun parti nationaliste, s’il
fallait
prendre position dans le débat, nous dirions que la culture représent
96
ntale) que l’on nous pose bien souvent : pourquoi
faut
-il un Centre, s’il s’agit de culture ? D’une manière générale et dans
97
un peu d’esprit de coopération ferait réussir. Il
faut
un Centre, et il se crée, à la suite des congrès de La Haye et de Lau
98
grand public indifférent à la culture. ⁂ En 1960,
faut
-il encore un Centre ? Nous avons dit que la raison d’être d’une insti
99
roblème de la discipline scolaire par exemple. En
faut
‑il plus ou moins ? Faut‑il rétablir les punitions corporelles, comme
100
scolaire par exemple. En faut‑il plus ou moins ?
Faut
‑il rétablir les punitions corporelles, comme on le discute à la Chamb
101
, comme on le discute à la Chambre des communes ?
Faut
‑il laisser plus de place à la spontanéité anarchique de l’enfant ? Ou
102
es, la propreté dans la tenue des cahiers, etc. ?
Faut
‑il plus de dressage, ou plus de développement du sens critique ? Les
103
e Français à l’ancienne mode entendait dire qu’il
faut
au jeune enfant un dressage suffisant pour lui permettre, un jour, de
104
équates pour le rejoindre. « En toutes choses, il
faut
considérer la fin », dit le proverbe. Je dirais : « Avant toute chose
105
, appliquée avec liberté et mise de côté quand il
faut
, peut y conduire, à la seule condition qu’elle soit maniée par une pe
106
maintenant venez vous asseoir ici. Bon Dieu ! il
faut
parler de la suite ! Et d’abord, garçon ! deux fines à l’eau ! » À ce
107
r cette opinion d’abord que Retinger estime qu’il
faut
agir. À la faveur du libéralisme de la Double Monarchie, un Conseil n
108
rler au Général. Il explique brièvement qu’il lui
faut
un visa. « Venez me voir tout de suite », dit le Général. En chemin,
109
reproduit. Retinger déclare en français qu’il lui
faut
un visa pour la France, et que son nom est là, sur le passeport… Aprè
110
s et l’idéologie. Je ne voyais pas les gens qu’il
fallait
, ou si je les voyais, je ne m’exprimais pas comme il fallait. Aujourd
111
si je les voyais, je ne m’exprimais pas comme il
fallait
. Aujourd’hui, j’estime que ce fut une chance pour moi de recevoir une
112
la route pour le mener à San Antonio. Mais il lui
faut
traverser d’abord une étendue couverte de touffes de cactées. Ses vêt
113
deux millions de déportés polonais en Russie : il
fallait
les libérer, et permettre à beaucoup d’entre eux de reprendre la lutt
114
« correspondants ». La Gestapo l’ayant appris, il
fallut
le transporter en toute hâte dans un autre établissement où personne
115
Londres, il était encore incapable de marcher. Il
fallut
le transporter comme un bagage dans un train archiplein, en partance
116
Mais les roues étaient bloquées dans la boue. Il
fallut
évacuer l’avion à deux reprises, creuser sous les roues, puis couper
117
fut en mesure de marcher de nouveau (mais il lui
fallut
jusqu’au bout s’appuyer sur quelqu’un pour franchir une marche, ses j
118
premières tentatives dans ce sens, avant 1939. Il
faut
rappeler maintenant une période peu connue, mais importante, de la pr
119
de la partie culturelle du congrès. Sur ce qu’il
faudrait
faire, il avait peu d’idées, et celles qu’il exprima me parurent vagu
120
ni parti influent, ni grand mouvement social. Il
fallait
inventer les moyens de l’Idée. Et tout d’abord convaincre ceux qui po
121
la culture de la région où il va travailler. ⁂ Il
faudrait
maintenant que chacune des autres régions culturelles expose ses prop
122
n ne serait jamais assez grand, théoriquement, il
fallait
commencer, pratiquement, par quelque chose de très petit. Rien de plu
123
ns à passer ensemble que trois jours, alors qu’il
faudrait
des années de travail ardu, mené par des centaines de personnes, pour
124
ourrions pas même commencer à dialoguer ! Et s’il
fallait
se réunir pour plus de trois ou quatre jours, nous ne serions même pa
125
t se différencient. Je crois que la formule qu’il
faudrait
proposer ici, c’est la formule du fédéralisme, c’est-à-dire de l’unio
126
n eut tant entre les nations européennes, il nous
faut
avoir en vue cette culture de l’universel dont parlait d’Arboussier e
127
d là-dessus, je crois que nous avons dit ce qu’il
fallait
dire sur ce premier point de l’ordre du jour : nous avons vérifié not
128
que des publications européennes Certes, il ne
faut
décourager personne, et l’on doit se féliciter de voir autant d’espri
129
rises collectives — au premier rang desquelles il
faut
citer l’édition en six langues de l’Histoire de l’Europe et du génie
130
délais prévus, à quelques semaines près. Comme il
fallait
s’y attendre, ces réponses font ressortir surtout les lacunes et l’in
131
és humaines. Mais la spécialisation technique, il
faut
bien le signaler, n’est pas moins dangereuse pour la technique elle-m
132
ontières s’ouvrent à des échanges plus libres, il
faut
qu’il y ait quelque chose à faire passer, des produits à échanger ! C
133
illiers d’enseignants. Pour les atteindre, par où
fallait
-il commencer ? Par un regroupement de ceux, d’abord, qui ont pris con
134
à cette tour du Savoir, tellement démesurée qu’il
faut
, pour l’édifier, diviser maîtres d’œuvre et ouvriers en équipes spéci
135
ommun, et que les buts finaux s’obscurcissent, il
faut
bien voir que cela veut dire aussi, très concrètement, qu’il n’y a pl
136
uels hérités de conflits dès longtemps périmés59.
Faudra-t
-il donc nous résigner à ce que l’accroissement même du savoir entraîn
137
oir humain. Dans le Temple même de la Science, il
faut
bien que les lévites, même sceptiques quant aux fins de leur religion
138
toire, du Temps, de l’Évolution et du Progrès, il
faudrait
que le théologien soit capable de se référer non seulement aux concil
139
i ont une portée métaphysique indiscutable. Et il
faudrait
que les physiciens qui en discutent sachent que la dialectique de leu
140
qu’on ne peut chercher de solution en arrière, il
faut
donc la chercher en avant : accepter le mouvement de spécialisation,
141
ité au sens le plus élevé du terme. Ce qu’il nous
faut
enfin, ce qui nous manque, ce sont des hommes de synthèse, un type no
142
voir en langages spécialisés. Pour y répondre, il
faut
envisager la création d’instituts ou de centres de synthèse, établis
143
ée maîtresse qui l’inspire est la suivante : — il
faut
que l’Europe tienne sa place et réalise sa vocation particulière dans
144
et technologique née du complexe européen ; — il
faut
que les Européens prennent l’initiative de coopérer à l’établissement
145
elle ne se retourne pas contre l’Europe ; — et il
faut
que les Européens se préoccupent de présenter au monde nouveau et aux
146
ce dont nous tentons ici de mieux voir comment il
faut
le faire). Le groupe s’est ensuite occupé de sonder l’opinion de nos
147
raduisent-ils des réalités, et dans quel contexte
faut
-il les replacer ? Enfin, la question des influences culturelles récip
148
à l’occidentale un pays de culture différente, il
faut
bien voir que du même coup on s’attaque à son âme, ou en tout cas au
149
vous sont soumis insistent sur la priorité qu’il
faudrait
donner à une planification démographique sur la planification économi
150
Celle-ci existe déjà au niveau de la culture ; il
faut
maintenant la faire exister au niveau des réalités politiques, afin q
151
e principe de toute morale est de bien penser, il
faut
dire aussi que le principe de toute culture c’est de bien sentir. Tou
152
la vérité et à la réalité de son objet. Quand il
faut
caractériser en peu de mots une œuvre, une vie, ces réflexes ou tics
153
s-Unis d’Europe, sous quelque nom que ce soit, il
faut
commencer maintenant… Debout l’Europe ! » Il y a vingt-deux ans de ce
154
ne veut rien y changer, que c’est là-dessus qu’il
faut
bâtir, et qu’on doit appeler ça réalisme. Le cancer et les maladies m
155
able du progrès. Pour dissiper cette illusion, il
faudrait
enseigner dans nos écoles un minimum d’histoire générale de l’humanit
156
t-nation qui est né de leur collusion moderne. Il
faudrait
rappeler qu’après la préhistoire qui ne connaissait que les tribus et
157
ope, empire de Charlemagne, puis Saint-Empire. Il
faudrait
montrer que les premiers États nationaux n’apparaissent qu’après tout
158
on vénère ses statues sur toutes les places. « Il
faut
une religion pour le peuple » assure-t-on, et comme ce n’est plus guè
159
satellisés un à un ; — ou bien ils font ce qu’il
faut
pour pouvoir résister, c’est-à-dire qu’ils décident de résister tous
160
atique dans l’état actuel de ses données72, il va
falloir
ou bien renoncer à l’union et alors il n’y aura plus de problème, ou
161
orber les voisins. Si l’on veut unir l’Europe, il
faut
partir d’autre chose que de ses facteurs de division, il faut bâtir s
162
d’autre chose que de ses facteurs de division, il
faut
bâtir sur autre chose que sur les obstacles à l’union ; opérer sur un
163
écisément, où le problème se révèle insoluble. Il
faut
se fonder sur ce qui est destiné à devenir demain la vraie réalité de
164
pontané du fameux « mouvement de l’histoire ». Il
faudra
que la succession, le remplacement s’opèrent dans les esprits d’abord
165
hanges, de “flux” diraient les scientifiques : il
faut
chercher à être aussi indispensables aux autres que les autres nous s
166
» « Quelles seront leurs frontières exactes ? » «
Faut
-il qu’elles aient des superficies ou des populations à peu près égale
167
e ce qu’il voit. Dans ce monde-là, l’expression «
Faut
-il vous faire un dessin ? » évoque le modèle même de toute explicatio
168
uze ans si nous commençons tout de suite. Il nous
faut
apprendre à penser par problèmes et non par nations. Devant un problè
169
pation civique, université, par exemple), il nous
faut
apprendre : 1° à déterminer les éléments de base ou modules utilisabl
170
tes, enfin fédération de fédérations (Europe). Il
faut
aller plus loin. 1° Les pouvoirs politiques peuvent très bien adopter
171
fférentes, définissant des régions spécifiques. «
Faut
-il vous faire un dessin ? » Ce ne serait pas facile. Essayez de figur
172
on passe à quatre ensembles, c’est difficile ; il
faut
recourir à des abscisses et ordonnées ; au-delà, c’est irréalisable g
173
remarques définissent, est à peine exploré. a) Il
faudrait
commencer par opérer la dissociation et la distribution nécessaires d
174
n incipit. Carlo Schmid s’écrie sans hésiter : Il
faut
faire l’Europe, ou il faut faire la guerre ! Aujourd’hui, il faut fai
175
crie sans hésiter : Il faut faire l’Europe, ou il
faut
faire la guerre ! Aujourd’hui, il faut faire une révolution si l’on v
176
ope, ou il faut faire la guerre ! Aujourd’hui, il
faut
faire une révolution si l’on veut « faire l’Europe, non la guerre ».
177
i l’on veut « faire l’Europe, non la guerre ». Il
faut
défaire et dépasser l’État-nation, fauteur de guerre, et seul obstacl
178
pas. b) Seul compte le combat de la gauche. c) Il
faut
garder le contact avec les masses. d) Et que faites-vous de la lutte
179
de vie quantitatif au mode de vie qualitatif. Il
faudra
bien que cela change, si l’on veut que la vie continue, mais ce ne se
180
ns de l’entreprise, fixées par le Plan à Moscou. (
Faut
-il penser qu’« objectivement », ce serait la haine des ouvriers plus
181
Je suis contre la lutte des classes, parce qu’il
faut
supprimer la condition prolétarienne et non pas assurer sa « victoire
182
ais le Peuple mais l’État, substitut du roi qu’il
fallait
servir.) En revanche, si l’on admet avec Aristote que la politique e
183
que à priori, ni de stratégie dans le vide ; il y
faut
une finalité (ou cause finale) et des contenus, plus ou moins résista
184
rganiser, orienter, dynamiser et animer. Ou, s’il
faut
le redire autrement : L’acte politique ne consiste nullement à décide
185
catastrophe générale entre 2020 et 2060, ce qu’il
faut
décider aujourd’hui, ce sont les conditions de survie du genre humain
186
décider la hiérarchie des sacrifices nécessaires.
Faut
-il réduire la natalité ? la pollution ? le niveau de vie ? les invest
187
n des ressources naturelles ? En tous les cas, il
faut
réduire quelque chose. Mais il apparaît assez vite que réduire tel ou
188
conquête de la personne, … et l’effort qu’il nous
faut
entreprendre… pour situer en ce centre de l’homme le centre de la soc
189
la propagande ; elles bloquent les échanges qu’il
faudrait
favoriser, mais sont impuissantes contre les nuisances qu’il faudrait
190
mais sont impuissantes contre les nuisances qu’il
faudrait
arrêter. D’une manière générale, elles coupent arbitrairement des rég
191
V. Il n’y a pas de cultures nationales Mais il
faut
bien admettre aussi que la nocivité des frontières, résultant de la n
192
emande, si elle devait coïncider avec un État, il
faudrait
annexer à la République fédérale, outre la DDR, la Suisse alémanique,
193
tunnel permet un accès rapide et direct. Il nous
faut
des tunnels partout où il y a une montagne, des cols, des autobus, de
194
s cols, des autobus, des routes sans barrière. Il
faut
que les relations proches et concrètes prennent le pas sur les relati
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de géographie de l’Académie de Strasbourg : « Il
faut
actualiser et régionaliser l’enseignement. » Les deux efforts vont de
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réalités du xxe siècle, qui ne savent pas qu’il
faut
faire l’Europe, ou qui n’ont pas très bien compris pourquoi. Je ne sa
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. — En 1946, tout le monde voyait très bien qu’il
fallait
faire l’Europe pour empêcher le retour des guerres entre nos soi-disa
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tait négatif, en quelque sorte. 2e motif. — Il
fallait
faire l’Europe dans les années 1950 pour relever ses ruines, restaure
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son industrie, son commerce et sa technologie. Il
fallait
unir à cette fin nos maigres forces nationales. C’est ainsi que l’OEC
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ique : « On pourra nourrir tout le monde, mais il
faudra
manger debout ! » Seulement, il n’est pas du tout sûr que l’humanité
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elle des pays industrialisés, le tiers-monde — il
faut
oser le dire ! — n’a aucune possibilité matérielle de rejoindre jamai
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el). Pour y arriver, en effet, on a calculé qu’il
faudrait
multiplier l’exploitation des ressources naturelles, et donc aussi la
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écider la hiérarchie des sacrifices nécessaires :
faut
-il réduire la natalité ? ou les investissements ? ou la pollution ? o
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ou le niveau de vie matériel ? En tous les cas il
faut
réduire quelque chose. Or, les écologistes ont constaté que réduire t
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as grand-chose à détruire dans notre société ! Il
faut
créer une société nouvelle, qui offre un sens et qui permette à la pe
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eut faire l’Europe, que tout ordonne de faire, il
faut
défaire et dépasser l’État-nation, dans nos mentalités et dans les fa
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t tout bloquer… Si donc on veut unir l’Europe, il
faut
partir d’autre chose que des obstacles à toute union, d’un autre plan
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justement, où le problème se révèle insoluble. Il
faut
partir des réalités en train de se faire. Et nous voyons qu’elles son
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s. Le seul remède aux trop petites dimensions, il
faut
le voir dans la création d’agences fédérales européennes, qui seraien
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xelles pour l’économie. Il est bien évident qu’il
faut
en créer d’autres, pour l’énergie, pour les transports, pour l’écolog
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t à constater que si l’on veut faire l’Europe, il
faut
dissoudre le cadre stato-national et dépasser ce modèle périmé. Mais
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r la base des régions, d’ici dix à quinze ans. Il
faut
d’abord faire des régions, dans nos nations et à travers leurs fronti
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os nations et à travers leurs frontières. Puis il
faut
unir ces régions, et trouver ou créer les moyens de cette fin. Imagin
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lez me poser deux questions : À la première : Que
faut
-il faire pour que réussisse ce grand projet ? ma réponse est simple :
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ce grand projet ? ma réponse est simple : il nous
faut
éduquer et former dès maintenant les Européens de demain, et pour cel
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ntenant les Européens de demain, et pour cela, il
faut
réformer notre enseignement. Il faut que l’École, à tous les degrés,
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our cela, il faut réformer notre enseignement. Il
faut
que l’École, à tous les degrés, cesse immédiatement de former des nat
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at central. Et c’est pourquoi j’ai dit qu’il nous
faudra
dix à quinze ans pour fédérer le continent : le temps de former une n
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cours de Poitiers, M. Pompidou rappelle « qu’il a
fallu
mille ans d’efforts en France pour créer notre identité nationale, no
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» « Dans mes Mémoires, j’expliquerai pourquoi il
fallait
faire cette réforme des régions… Elle était absolument nécessaire. C’
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tait aussi le meilleur prosateur de son pays : il
faut
relire non seulement le monumental Richelieu de l’âge mûr, mais ce Vo
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auteur, affable mais non sans malice, et ce qu’il
faut
d’arbitraire dans les jugements, lucide avec mélancolie mais nul cyni
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e, avec Kafka et bien peu d’autres. D’autant plus
faut
-il l’attaquer dans les domaines où son autorité, gagnée ailleurs, peu
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ont encore bien compris pourquoi des régions ? Il
faut
que nous le reconnaissions clairement. Il y a sans doute ici plusieur
225
nd les réalités locales, la leçon est claire : il
faut
susciter la région pour que la vie continue, tout simplement. B. De
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litique du siècle finissant m’apparaît clair : il
faut
défaire et dépasser l’État-nation parce qu’il est la cause efficiente
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facteur décisif de la solution de cette crise. Il
faut
défaire et dépasser l’État-nation si l’on ne veut pas aller irréversi
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ent vers une guerre atomique. Et pour cela, il ne
faut
pas de bazookas et de plastic. Il ne s’agit pas de renverser des idol
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communauté humaine (et non pas une termitière) il
faut
donc faire des régions. Là, l’homme pourra se sentir de nouveau libre
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ait tellement être en état de prévoir, mais qu’il
faut
faire, à tous risques et périls, et, faute d’une impossible connaissa
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(comme l’espèrent sans nul doute ses auteurs) il
faut
commencer par y croire. Car si on le récuse, on ne fera rien pour éch
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s (ou laissez faire) dès maintenant tout ce qu’il
faut
pour qu’elles se vérifient. Ce n’est donc pas contre la prospective q
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que leurs résultantes puissent être évaluées : il
faudrait
tout savoir sur l’homme, ses régularités et ses folies ; tout savoir
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Forrester, je répondais ainsi à cette question :
Faut
-il en désespoir de cause faire confiance à la fameuse intuition ? Je
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onnues ces limites à l’intuition et au calcul, il
faut
admettre aussi qu’une société humaine n’est pas une mécanique, ou ne
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rrées, les grèves possibles, et à quelle heure il
faudra
que je me lève pour prendre le train ou l’avion : elles n’ont pas à m
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l’autre. Exemple : — Quand on nous dit : « Il va
falloir
dans les dix ans qui viennent plus d’autos pour plus d’hommes sur la
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les manettes qu’il convient de manier. Et encore
faudrait
-il que le tableau de bord lui rappelle certaines choses dont il ait (
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ls. Or la Chine est une grande paysannerie. Il va
falloir
la moderniser. Et ce sera cette exigence de rejoindre les conditions
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le moderne, comme représentant l’erreur même : il
faut
donc que l’État force le processus par une série de secousses et de b
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me paraissent propres à guider une relance, qu’il
faut
souhaiter, aussi prochaine que possible, du Dialogue des cultures.