1 sauvegarde du patrimoine culturel de l’Europe, l’ héritage de notre glorieuse civilisation et son culte de la personne humaine.

2 ont fait refleurir dans leurs œuvres le meilleur héritage poétique de la vieille Europe. Mais pour avoir une vue plus complète

3 elle l’a continué, elle n’a rien désavoué de son héritage . La musique russe à partir de Glinka doit plus à la musique occidenta

4 osophiques et théologiques de l’Occident que de l’ héritage théologique de la chrétienté orientale. Or, tout cela n’est pas dû à

5 ire l’histoire de l’Europe doit commencer par les héritages . » L’auteur en décrit cinq : Rome, les Barbares, l’hellénisme, Israël

6 e Athènes-Rome-Jérusalem, il ajoute à bon droit l’ héritage des Barbares, Celtes, Germains et Slaves, dont l’apport trop souvent

7 et il distingue plus soigneusement que d’autres l’ héritage hébraïque de celui du christianisme. C’est avec sa deuxième partie, l

8 ocial. En Allemagne, mêmes problèmes concernant l’ héritage nazi et l’acquisition de réflexes démocratiques ; mais moins d’instru

9 ation de la civilisation technicienne à son grand héritage spirituel, appelle le dialogue avec l’Europe, et le partage du problè

10 s en commun ce qui est neuf. Laissons de côté les héritages du passé dont l’unification prendrait trop de temps, demanderait trop

11 aines tâches sociales définies, mais pour gérer l’ héritage plus ou moins légitime des États royaux, sans nul rapport avec les tâ