1 les. Elle est encore, à notre époque, celle qu’on imite partout, même quand on la combat. Elle est donc encore la plus forte.

2 térature mondiale » avait été si puissant qu’on l’ imita même après la révolution, comme en témoigne la série Littérature univ

3 es réflexes. Il s’agissait de forcer l’individu à imiter exactement les conduites prescrites par le sacré religieux et social.

4 e colonialisme, condamnée sans recours, mais on l’ imite partout. Et ceux qui se croyaient sûrs de recueillir ses dépouilles,

5 as les valeurs, sont répandus sur toute la Terre, imités et copiés par tous les peuples. Or ces produits sans les valeurs qui

6 de systèmes de l’Histoire ; mais pour ne pas les imiter . A-t-on remarqué que les génies systématiques sont régulièrement amen

7 a découvert la Terre entière, c’est elle que l’on imite partout, et c’est d’elle enfin que les peuples ont reçu cette idée de

8 flexes : il s’agissait de forcer le jeune homme à imiter exactement, et sans discussion, les conduites méticuleusement prescri

9 s la mesure où partout, on exige ses produits, on imite ses techniques et procédés, et l’on se réclame, fût-ce pour les retou

10 faire à son tour. Il commencera naturellement par imiter , et s’il imite mal, son maître le corrigera. Mais à cela ne se borne

11 . Il commencera naturellement par imiter, et s’il imite mal, son maître le corrigera. Mais à cela ne se borne pas son éducati

12 xixe siècle le modèle de l’État-nation, bientôt imité dans toute l’Europe monarchique autant que républicaine, et au xxe s

13 s découvertes et inventions européennes adoptées, imitées , puis exigées par le Monde, depuis la fin de la chrétienté médiévale