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de notre destin historique, demeurent les motifs
impérieux
de notre union fédérative. Les sourires du Kremlin sont peut-être la
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n occidentale, l’Europe a pour mission suprême et
impérieuse
de susciter la résistance à cette immense offensive anonyme contre l’
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l’économie et de la technique du xxe siècle. Ces
impérieux
motifs d’union ne dépendent ni de la menace russe, ni d’une pression
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ontrer d’une manière convaincante qu’on éprouve l’
impérieux
désir d’intégrer l’expérience acquise dans un ensemble plus compréhen
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ous-développés. Nous avons au contraire le devoir
impérieux
de leur dire ce qu’il va leur en coûter d’essayer de nous « rattraper
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en pareille occasion. Au lieu du coup d’envoi, un
impérieux
coup de frein. Je constate aujourd’hui que les candidats « sérieux »