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connaissances prend régulièrement la forme d’une
initiation
(au sens religieux ou magique), tandis que la formation morale se con
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et surtout depuis la Renaissance et la Réforme, l’
initiation
aux mystères, aux rites, au sacré social, tend à disparaître ; elle e
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e, on le prépare à courir son aventure. Au lieu d’
initiation
, on parle d’initiative. En résumé : à ce qu’on pourrait appeler l’in-
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férents selon la caste, la profession, le degré d’
initiation
, etc. Chez nous, plus aucune précaution, plus aucune différenciation
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ansmission des connaissances prend la forme d’une
initiation
, tandis que la formation morale et sociale consiste en un dressage de
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nge. La transmission des connaissances n’est plus
initiation
mais instruction publique, c’est-à-dire communication directe, sans p
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out faits, avec leur mode d’emploi ; tandis que l’
initiation
supposait une préparation rituelle, créant une attitude de réceptivit
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sa » chance, son aventure particulière. Au lieu d’
initiation
, on parle d’initiative. Ces deux termes marquent le début et la fin d
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vers les risques… J’ai dit que les deux termes d’
initiation
et d’initiative marquent deux attitudes extrêmes, l’une autoritaire e
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c pu me le communiquer en quelques mots, et cette
initiation
a réussi, où l’instruction avait échoué. J’ignore son nom, mais j’ai