1 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
1 connaissances prend régulièrement la forme d’une initiation (au sens religieux ou magique), tandis que la formation morale se con
2 et surtout depuis la Renaissance et la Réforme, l’ initiation aux mystères, aux rites, au sacré social, tend à disparaître ; elle e
3 e, on le prépare à courir son aventure. Au lieu d’ initiation , on parle d’initiative. En résumé : à ce qu’on pourrait appeler l’in-
4 férents selon la caste, la profession, le degré d’ initiation , etc. Chez nous, plus aucune précaution, plus aucune différenciation
2 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
5 ansmission des connaissances prend la forme d’une initiation , tandis que la formation morale et sociale consiste en un dressage de
6 nge. La transmission des connaissances n’est plus initiation mais instruction publique, c’est-à-dire communication directe, sans p
7 out faits, avec leur mode d’emploi ; tandis que l’ initiation supposait une préparation rituelle, créant une attitude de réceptivit
8 sa » chance, son aventure particulière. Au lieu d’ initiation , on parle d’initiative. Ces deux termes marquent le début et la fin d
9 vers les risques… J’ai dit que les deux termes d’ initiation et d’initiative marquent deux attitudes extrêmes, l’une autoritaire e
10 c pu me le communiquer en quelques mots, et cette initiation a réussi, où l’instruction avait échoué. J’ignore son nom, mais j’ai