1 s un exemple précis. Dès qu’il s’agit de créer un institut de recherches, d’enseignement ou de culture, en Europe, quelqu’un pro

2 it de la culture américaine, à tel point que tout institut que l’on croit à tort ou raison « soutenu par les Américains » en tir

3 nversement, les donneurs virtuels proposent à des instituts de culture de s’occuper de la « productivité », à des économistes d’é

4 soutiennent matériellement, sans plus tarder, les Instituts de culture européens (et non pas seulement nationaux), tels que Bruge

5 détail les possibilités de coopération. Quant aux instituts culturels européens, l’une des raisons d’être du CEC était de leur of

6 premier essai. L’AIEE groupe déjà la plupart des instituts européens « sérieux », mais n’a pas encore entrepris les travaux en c

7 es ; les festivals de musique ou de théâtre ; les instituts de recherches et d’enseignement ; les laboratoires, etc. C’est là que

8 fut, jusqu’à l’automne dernier, le directeur de l’ Institut international de la jeunesse, fondé en 1952 sous les auspices de l’Un

9 ulation des instruments de culture, création d’un institut européen de hautes études, d’une académie littéraire européenne, d’un

10 changes entre les musées et échanges de concerts, instituts scientifiques européens. Les quatre premiers objectifs sont inscrits

11 près dix ans d’école) peut entrer dans un des 800 instituts techniques existant en URSS (pour 33 universités seulement). L’éducat

12 arquants ; activités du CEC, de la Fondation, des instituts européens ; développement des relations entre l’Europe et l’URSS, les

13 ture, du Collège de l’Europe, mise à l’étude d’un Institut européen de recherches nucléaires, et coordination par le CEC des org

14 éen ». — Création (à Bruges) de l’Association des instituts d’études européennes (AIEE), à la suite de plusieurs réunions convoqu

15 du Service de conférences. — Premier Annuaire des instituts d’études européennes. — Commission mixte pour la création d’un Instit

16 péennes. — Commission mixte pour la création d’un Institut technologique européen. — Ouverture d’un service de Documentation et

17 s, des recherches en cours ou à entreprendre, des instituts et des savants disponibles et compétents. C’est dire que le moment es

18 ar le Prof. Lajugie (de Bordeaux), directeur de l’ Institut d’économie régionale du Sud-Ouest, et par ses étudiants. Deux journée

19 ues, de plusieurs rédactions de revues et de deux instituts de sociologie. Ces derniers vont mener une enquête sur « la populatio

20 urope (en français et en allemand). Annuaire des instituts d’études européennes (en français ; éditions ultérieures en anglais e

21 cherches, de l’information et de la culture (CEC, instituts , associations professionnelles). Ces trois voies seront définies, com

22 vailler dans cet immense domaine. Une vingtaine d’ instituts d’enseignement universitaire, ou de recherches et de documentation, s

23 personnes : 10 représentants de l’Association des instituts d’études européennes, 5 représentants de l’Association des universita

24 ’assemblée générale annuelle de l’Association des instituts d’études européennes, à Turin, le 31 mai, lecture ayant été faite du

25 ourd’hui de savoir ce que vous, représentants des Instituts universitaires d’études européennes ; et vous, représentants des mili

26 bjectivité, bien moins au nom des intérêts de vos instituts et de vos chaires, si justifiés soient-ils, qu’au nom de votre expéri

27 notre société et de son évolution. Nécessité d’ instituts techniques 4. Les écoles supérieures existantes ont pour fonction

28 naires, ou de groupes de recherches dirigées. Des instituts européens spécialisés répondraient à cette nécessité. Ils offriraient

29 a Renaissance, formés autour d’un maître. De tels instituts ou séminaires sont actuellement envisagés, en formation ou déjà formé

30 politiques, économiques, culturelles. De même, l’ Institut prévu par l’art. 9 du traité de l’Euratom ne se limiterait pas à un e

31 uropéennes. Inconvénients de la dispersion des instituts 5. Le besoin créera sans nul doute des instituts de ce genre. Mais

32 stituts 5. Le besoin créera sans nul doute des instituts de ce genre. Mais ils naîtront d’initiatives dispersées. Ils auront à

33 présenterait pas d’inconvénients majeurs, si les instituts restaient purement techniques. Mais comme ils prévoient tous — et for

34 on est évidente : en groupant en un même lieu les Instituts envisagés pour — les ingénieurs, — les spécialistes en sciences nuclé

35 dministratif pourrait également servir à tous les instituts , et certains moniteurs d’études pourraient s’occuper de deux ou plusi

36 ’études pourraient s’occuper de deux ou plusieurs instituts , simultanément ou pour des sessions successives. On aurait ainsi, po

37 it d’organiser, entre les sessions des différents instituts , ou parallèlement à l’une ou l’autre de ces sessions, des stages d’ét

38 ée de la manière suivante : 1° création de 4 ou 5 instituts d’études avancées (postuniversitaires), complétées par un enseignemen

39 ignement général sur l’Europe ; 2° réunion de ces instituts en un seul Centre européen d’enseignement postuniversitaire ; mise en

40 e et nécessaire de laisser libre de tous liens un Institut dont la mission est justement de voir plus loin, de préparer le terra

41 lturelles. Les associations se sont multipliées : Instituts de recherches nucléaires, d’enseignement européen dans les université

42 s, des recherches en cours ou à entreprendre, des instituts et des savants disponibles et compétents. C’est dire que le moment se

43 près dix ans d’école) peut entrer dans un des 800 instituts techniques existant en URSS (pour 33 universités seulement). L’éducat

44 (Recherches et publications, dir. Dr Dankwortt). Institut international des civilisations différentes, Bruxelles. (Huit congrès

45 la plupart des pays d’Europe et aux États-Unis : instituts d’études indianistes, africanistes, arabisantes, etc. En France, on c

46 isantes, etc. En France, on compte au moins vingt instituts de ce genre, en Grande-Bretagne une quinzaine, aux États-Unis une tre

47 , aux États-Unis une trentaine. En Inde, quelques instituts se spécialisent dans l’étude de l’Iran, de l’islam, de l’Afrique, ou

48 e l’Afrique, ou d’autres cultures orientales. Ces instituts sont presque tous rattachés à une université, et répartissent leurs a

49 es, enseignement, publications. D’autre part, les instituts nationaux de culture du type British Council, Pro Helvetia, Alliance

50 plupart des publications (revues ou volumes) des instituts nationaux universitaires sont en général consacrées à l’étude d’une s

51 , sur les « textbooks » en Inde et en Europe. Les instituts des civilisations comparées de Bruxelles et de Salzbourg tiennent des

52 n’ont pas à se plaindre (en Occident du moins) : instituts , fondations, revues, éditeurs, bourses d’études, colloques, suffisent

53 ut ainsi répondre aux demandes de chercheurs et d’ instituts d’outre-mer, qui ne disposaient jusqu’ici que de sources d’informatio

54 l a constitué ses propres archives sur vingt-cinq instituts d’études européennes, vingt-trois festivals de musique, et sur les fo

55 ion du Centre européen de la culture, et du jeune Institut d’études européennes qui vient d’être créé dans ses murs. D’autre par

56 et les subdivisions de ces facultés, et tous les instituts spécialisés qui autour d’elles ou en elles, prolifèrent. Dans la page

57 souvent fortuites d’écoles professionnelles et d’ instituts de recherches n’ayant plus d’autres liens réels que ceux d’une admini

58 generale, aux étudiants de toutes les facultés et instituts spécialisés. Je n’y crois guère. La presque totalité des expériences

59 Pour y répondre, il faut envisager la création d’ instituts ou de centres de synthèse, établis à l’échelle européenne, je veux di

60 rmettrait d’envoyer beaucoup de professeurs à cet institut de recyclage et de remise en question générale, et c’est aussi ce que

61 ue je souhaite que vous tiriez de mes propos, cet institut de synthèse serait idéalement ce dont on parle un peu partout, plus o

62 I et II), Saint-Étienne, Besançon, et de nombreux instituts universitaires qui s’y rattachent. Objectifs : favoriser la mobilité

63 à 250 pages des Cahiers mis à la disposition de l’ Institut universitaire d’études européennes. Ils publieront des monographies s

64 tratif, traités dans les cours et séminaires de l’ Institut , ou faisant l’objet de mémoires, de thèses ou de diplômes. Parmi les

65 ues au Centre européen de la culture (CEC) et à l’ Institut universitaire d’études européennes (IUEE) de Genève remontent à 1963

66 ut que transmettre ses vœux à Berne et à Paris, d’ instituts sans pouvoir et de chercheurs isolés, risquent bien de ne pas suffire