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ile) de nos États, au lieu de leur pure et simple
intégration
(qui serait bien plus économique) à l’un des deux empires qui se disp
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-t-on, serait le vrai ressort du mouvement vers l’
intégration
. Il en résulte que toute détente à l’Est détendrait ce ressort. D’où,
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vue de M. Vychinski, à savoir que la politique d’
intégration
repose uniquement sur la crainte, suivront comme des enfants de chœur
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ue ? Et la crise que subit aujourd’hui l’effort d’
intégration
politique de l’Europe ne va-t-elle pas rendre vaines vos activités cu
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s de Londres représentent « un premier pas vers l’
intégration
européenne », comme on l’a dit à Washington, puisqu’ils renoncent à a
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une patrie Cette orientation générale et cette
intégration
locale, on ne peut les attendre de l’École, à aucun de ses trois degr
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is celles-là seules ! — qui bénéficieraient d’une
intégration
plus poussée. À l’heure où les institutions économiques et politiques
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ants d’expériences-pilotes sur l’état actuel de l’
intégration
européenne, sur les problèmes éducatifs que pose cette intégration et
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éenne, sur les problèmes éducatifs que pose cette
intégration
et sur certaines techniques particulières (jumelages de communes, bib
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mais celles-là seules — qui bénéficieraient d’une
intégration
plus poussée. À l’heure où les institutions économiques et politiques
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t et doit au monde d’apporter son expérience de l’
intégration
difficile, voire dramatique, de la technique au mode de vie de ses pe
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ême. Mais son problème majeur, qui est celui de l’
intégration
de la civilisation technicienne à son grand héritage spirituel, appel
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problèmes communs à tous les pays de la région :
intégration
économique ou politique ; manuels et enseignement de l’histoire et du
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aux développements prochains et nécessaires de l’
intégration
économique et du fédéralisme politique. Mais quoi ! le succès d’une i
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t humain, se reconnaissent et s’admettent. Déjà l’
intégration
est à la mode. Demain ce sera le métissage universel, après un certai
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de l’Université, mais celui de notre politique d’
intégration
européenne, dans sa forme fédéraliste, non unitaire, que je tiens pou