1 olution française, en 1798. L’essai d’unification jacobine entrepris à ce moment-là sous le nom de « République helvétique une e

2 correspond à un certain tempérament latin, voire jacobin . On enregistre l’échec global jusqu’à ce jour (l’Europe n’est pas enc

3 réalités antinomiques, ni par son triomphe isolé. jacobins et réactionnaires, unitaires et séparatistes jugeront toujours que l’

4 ition nationaliste française (royaliste avant que jacobine ) refoule au sens freudien du terme, caricature ou calomnie tout simpl

5 empare au nom du peuple, comme ce fut le cas des jacobins puis des « démocraties » plébiscitaires et totalitaires du xxe siècl

6 nal par l’appareil étatique — qui est l’œuvre des jacobins et de Napoléon —, la nationalisation de l’État royal et l’étatisation

7 eptible de réveiller et d’inquiéter les maniaques jacobins les plus invétérés (de gauche et de droite) ; e) enfin, des problèmes

8 d’indignation et plus encore d’effroi les tenants jacobins , communistes, bismarckiens, churchilliens ou maoïstes du complexe sta

9 de, celui de la République une et indivisible des jacobins , de l’Empire napoléonien qui la continue, et des totalitaires du xxe

10 x possible, n’est pas sérieux », pensent tous les jacobins , et les sous-offs dont le saint patron fut « le Petit Caporal ».)

11  : Bodin, Hobbes, le Rousseau mal entendu par les jacobins , Marx, Mussolini, Staline. 91. Du point de vue de la stratégie polit

12 déologie. N’importe quelle idéologie, d’ailleurs, jacobine ou fasciste, marxiste ou maoïste, socialiste ou franquiste : le conte

13 on de mars 1921). 97. Lénine se définit comme un jacobin lié à l’organisation du prolétariat, relève (non sans indignation) Ro

14 autre chose qu’à une tyrannie accrue. La Terreur jacobine aboutit à Napoléon. La révolution d’Octobre aboutit à Staline. À ceux