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; les laboratoires, etc. C’est là que se forme le
langage
des créateurs individuels et que leurs œuvres apparaissent. C’est don
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nique et le style, etc., ainsi que le problème du
langage
commun. Après une vive discussion, le titre suivant, proposé par M. M
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luence de l’opéra moderne sur le développement du
langage
musical. 5. Qu’est-ce qu’un bon programme ? j. Rougemont Denis de
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s cadres d’une culture nouvelle et des bases d’un
langage
commun. Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouve
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base commune, le minimum de présuppositions et de
langage
communs, semblent faire totalement défaut. Cependant, le désir d’écha
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fin elles ne remplacent complètement les mots. Le
langage
subit une dégradation analogue. Les nuances de pensée tendent à dispa
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u la propagande. Nous voulions présenter, dans le
langage
des faits, le dossier de l’Europe unie. Voici l’Europe, voici la cris
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fin elles ne remplacent complètement les mots. Le
langage
subit une dégradation analogue. Les nuances de pensée tendent à dispa
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langue commune, remplacée par une multiplicité de
langages
spéciaux de moins en moins traduisibles ; et l’évanouissement progres
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s les nuées de l’inconcevable. Mais dire que tout
langage
commun se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir,
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iale. Or, qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de
langage
commun, et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que
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ai dite conduit inévitablement à la confusion des
langages
, dissous en terminologies incomparables. L’université, que l’on pourr
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pluralité de ses recherches sans références à un
langage
commun. Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de r
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répondra pas au défi de la division du savoir en
langages
spécialisés. Pour y répondre, il faut envisager la création d’institu
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l’aide aux sous-développés ? 4. Possibilité d’un
langage
universel, basé sur la cybernétique et sur la sémiologie de Saussure.
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des diverses branches du savoir. Limites d’un tel
langage
, et comment y suppléer par les arts. 5. Européologie. Il existe dans
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ou d’hommes qui méditaient sur la nécessité d’un
langage
commun aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descar
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iveau de précision ; mais on peut craindre que le
langage
mathématique, même une fois maîtrisé par nos économistes, philosophes
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mots une œuvre, une vie, ces réflexes ou tics de
langage
font préférer régulièrement l’appartenance nationale à toute autre qu
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nte et démoralisante108. C’est grave. Car « notre
langage
fabrique notre pensée pour nous » (Georges Mounin). En brimant, ridic