1 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
1 ; les laboratoires, etc. C’est là que se forme le langage des créateurs individuels et que leurs œuvres apparaissent. C’est don
2 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
2 nique et le style, etc., ainsi que le problème du langage commun. Après une vive discussion, le titre suivant, proposé par M. M
3 luence de l’opéra moderne sur le développement du langage musical. 5. Qu’est-ce qu’un bon programme ? j. Rougemont Denis de
3 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
4 s cadres d’une culture nouvelle et des bases d’un langage commun. Puis M. van Kleffens, en juriste rompu aux négociations gouve
4 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
5 base commune, le minimum de présuppositions et de langage communs, semblent faire totalement défaut. Cependant, le désir d’écha
5 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
6 fin elles ne remplacent complètement les mots. Le langage subit une dégradation analogue. Les nuances de pensée tendent à dispa
6 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
7 u la propagande. Nous voulions présenter, dans le langage des faits, le dossier de l’Europe unie. Voici l’Europe, voici la cris
7 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
8 fin elles ne remplacent complètement les mots. Le langage subit une dégradation analogue. Les nuances de pensée tendent à dispa
8 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
9 langue commune, remplacée par une multiplicité de langages spéciaux de moins en moins traduisibles ; et l’évanouissement progres
10 s les nuées de l’inconcevable. Mais dire que tout langage commun se perd, entre les branches sans cesse multipliées du savoir,
11 iale. Or, qu’il n’y ait plus, ou presque plus, de langage commun, et que les buts finaux s’obscurcissent, il faut bien voir que
12 ai dite conduit inévitablement à la confusion des langages , dissous en terminologies incomparables. L’université, que l’on pourr
13 pluralité de ses recherches sans références à un langage commun. Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de r
14 répondra pas au défi de la division du savoir en langages spécialisés. Pour y répondre, il faut envisager la création d’institu
15 l’aide aux sous-développés ? 4. Possibilité d’un langage universel, basé sur la cybernétique et sur la sémiologie de Saussure.
16 des diverses branches du savoir. Limites d’un tel langage , et comment y suppléer par les arts. 5. Européologie. Il existe dans
17 ou d’hommes qui méditaient sur la nécessité d’un langage commun aux sciences exactes, aux arts et à la théologie, ainsi Descar
18 iveau de précision ; mais on peut craindre que le langage mathématique, même une fois maîtrisé par nos économistes, philosophes
9 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
19 mots une œuvre, une vie, ces réflexes ou tics de langage font préférer régulièrement l’appartenance nationale à toute autre qu
10 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
20 nte et démoralisante108. C’est grave. Car « notre langage fabrique notre pensée pour nous » (Georges Mounin). En brimant, ridic