1
echniques ou rhétoriques, des formes musicales et
littéraires
inventées ici ou là, et elles en vivent encore, dans la mesure où ell
2
stinées à devenir périodiques, telles que le Prix
littéraire
européen et la Conférence musicale. Il a ainsi doté l’Europe d’un ins
3
t la jeunesse actuelle, très sensible aux tribuns
littéraires
, accueille avec un scepticisme amer nos plus éloquents hommes d’État.
4
Tchékhov allaient jouer un rôle actif dans la vie
littéraire
de l’Europe, où la musique, la danse et la technique dramatique russe
5
portraits par l’autre. Faut-il favoriser ce genre
littéraire
? Si oui, comment l’améliorer ?) Tous ces sujets sont « brûlants », m
6
airies, de musées, ou de lieux célèbres de la vie
littéraire
pourraient être organisées en dehors des séances. Il n’est pas imposs
7
nstitut européen de hautes études, d’une académie
littéraire
européenne, d’une commission d’historiens, échanges entre les musées
8
ient fixés par le règlement du Prix : haute tenue
littéraire
et portée assez générale pour permettre une publication en plusieurs
9
choix plusieurs manuscrits possédant des qualités
littéraires
particulières, mais qui cependant n’ont pas semblé répondre suffisamm
10
llemagne du Nord, totalement étranger aux milieux
littéraires
et ignoré dans le monde de l’édition. Quoique divisé, le Prix atteign
11
inaperçu des éditeurs. La multiplication des prix
littéraires
pousse non seulement à la rédaction hâtive mais encore à la publicati
12
et des besoins particuliers des guildes, le jury
littéraire
du CEC a discuté et mis au point une formule nouvelle, d’ores et déjà
13
urquoi le CEC décida en 1950 de patronner un Prix
littéraire
européen, conçu de manière à assurer aux lauréats une publication rap
14
s traités : découvertes et inventions ; créations
littéraires
, musicales et artistiques de portée européenne ; résultats obtenus pa
15
uildes du livre et book-clubs et projet de « Prix
littéraire
européen ». — Création (à Bruges) de l’Association des instituts d’ét
16
suivantes : a) Actualités européennes, b) Œuvres
littéraires
et mémoires d’un intérêt spécifiquement européen, c) Travaux de sémin
17
Il s’agissait de produire des ouvrages de qualité
littéraire
dans de belles éditions reliées et illustrées, et de les vendre direc
18
mmun accord et publier simultanément des ouvrages
littéraires
, encyclopédiques et scientifiques propres à développer une meilleure
19
omplique, ici, du fait que d’une part, la qualité
littéraire
ou intellectuelle n’est plus seule suffisante, et qu’il faut y ajoute
20
ki se trouve être le cœur de la vie artistique et
littéraire
de la capitale. Vuillard, Bonnard et Laprade, parmi les peintres, And
21
ement, et dès 1909, il édite à Cracovie une revue
littéraire
polonaise, dans laquelle la Porte étroite de Gide est traduite en pol
22
ure n’est pas sa vocation. Ses essais de création
littéraire
sont vite abandonnés : « Quoi qu’il en soit, Joseph, je ne pense pas
23
ons aussi les nombreux numéros spéciaux de revues
littéraires
ou générales consacrés à une culture différente : numéros de Comprend
24
is la création de ces tableaux, monuments, œuvres
littéraires
ou musicales. Ayant acquis une idée de la manière dont tout cela a ét
25
un phénomène 1° européen et non pas national, 2°
littéraire
et non pas politique. Ce qu’il s’agit ici d’inspirer à l’élève, c’est
26
ne s’est jamais préoccupé de faire un « apport »
littéraire
, à l’on ne sait quel pool idéal), ni à la réalité de la création litt
27
quel pool idéal), ni à la réalité de la création
littéraire
, qui est toujours le fait d’un individu (celui-ci certes utilise des
28
duisent l’obsession nationale dont l’enseignement
littéraire
devrait se guérir s’il veut se conformer à la vérité et à la réalité
29
spécificité et l’unité fondamentale des activités
littéraires
en Europe. c) Les thèmes. — Ceux hérités de l’Antiquité, tels que le
30
e ramène à ses justes proportions. a) Nos langues
littéraires
, en Europe, sont étroitement apparentées (à la seule exception du gro
31
t de Villers-Cotterêts, et Luther crée l’allemand
littéraire
à la même époque. Le norvégien, l’irlandais, le turc d’aujourd’hui, s
32
qu’apparaît dans toute sa fécondité la communauté
littéraire
de l’Europe : T. S. Eliot l’a démontré dans ses Notes towards the Def
33
pe, en sautant l’étape nationale. 66. Gazette
littéraire
, Lausanne, 28 octobre 1967. 67. Propos cités par J.-J. Servan-Schrei
34
le ? », écrivait François Mauriac, dans Le Figaro
littéraire
du 11 décembre 1967. 73. Cf. Remarques de M. Louis Armand, en annexe
35
Festschrift ou de mélanges représentent un genre
littéraire
bien défini, que je connais un peu, pour avoir collaboré à une bonne