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re Lettre philosophique où il mettait en doute la
logique
intérieure du développement national de la Russie, et opposait avec m
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r notre « décadence » morale et culturelle : « La
logique
de l’histoire, écrit-il, prononce sa sentence contre la vie spirituel
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ques, dans les conjonctures actuelles et selon la
logique
de leur dogme d’État. S’ils nous demandaient de leur envoyer des délé
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répéter ? Saisir ensemble ces deux termes que la
logique
oppose, est un mouvement, un geste de l’esprit, caractéristique de l’
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lectique, du principe de complémentarité et de la
logique
des contradictoires. Elle pourrait être définie par cette formule : l
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à gauche autant qu’à droite, en sont restés à une
logique
arithmétique qui n’a pas inventé la bombe H, laquelle domine pourtant
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ville A. » sous T. Par bonheur, mais sans plus de
logique
, tous les « von » allemands (Metternich, Goethe, Leibniz, etc., etc.)
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ltures, notamment de la culture européenne, et la
logique
ou les contradictions de leur développement dans la vie publique et p
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s l’État et la nation sont l’aboutissement final,
logique
, normal et inévitable du progrès. Pour dissiper cette illusion, il fa
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ration polyarchique de ses réseaux relèvera de la
logique
des ensembles (notions d’inclusion, d’exclusion, d’intersection, de c
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x nations relèvent d’une seule et même implacable
logique
, celle de l’État totalitaire, aboutissement normal de l’idée de souve
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s faits. À partir de là, tout s’enchaîne avec une
logique
simple et implacable, dont je vais dire maintenant les principales ar
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ou l’Europe des États, c’est ce que l’on nomme en
logique
un « énoncé contradictoire ». Comme on le voit en remplaçant chaque t
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ntifique d’abord, mais politique. Pas un problème
logique
, théorique, économétrique d’abord, mais un problème civique d’abord,
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d’autres élargissements qui sont inscrits dans la
logique
des choses. Car les problèmes écologiques que la bipartition national