1 1976, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
1 Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)dt Tout est venu
2 nt — très provisoire — je prendrai le sujet de la modernité , comme le prétexte d’une nouvelle approche, et d’une remise de mes th
3 thèses au banc d’essai. I. Moderne, modernisme, modernité Chez les intellectuels et les artistes occidentaux qui s’en réclam
4 ion vaut mieux que la mise en ordre. Au total, la modernité est ce qui doit être préféré, sitôt que certifiée moderne, à toute es
5 l serait en effet difficile de reconnaître que la modernité , étant ce qui récuse les vérités reçues et remet en question les trad
6 ier grand apport de l’extérieur, définissant la «  modernité  » d’une époque, — « modernité » au sens de rupture de la tradition, d
7 r, définissant la « modernité » d’une époque, — «  modernité  » au sens de rupture de la tradition, d’où les condamnations répétées
8 ure même où ils ont signifié trop facilement la «  modernité  » pendant deux ou trois décennies, ils sont rejetés par les nouvelles
9 rines, de pratiques, d’orientations, constitue sa modernité . L’idée de révolution se manifeste par la volonté de rompre avec la t
10 l’impérialisme national-soviétique et yankee. La modernité consiste donc pour la Chine à renier le Chinois le plus célèbre, pour
11 « révolution culturelle », marquant ainsi que la modernité ne saurait se développer spontanément dans un peuple que toute sa tra
12 ment. Car cette « révolution » est en réalité, la modernité décrétée. Le chemin de la paysannerie du tiers-monde vers la société
13 iques, écologiques et ethno-culturelles. La vraie modernité pour l’Europe pourrait offrir l’exemple au monde, et dont on peut esp
14 rontières. dt. Rougemont Denis de, « Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde », Bulletin du Centre européen de la