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nt — très provisoire — je prendrai le sujet de la
modernité
, comme le prétexte d’une nouvelle approche, et d’une remise de mes th
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thèses au banc d’essai. I. Moderne, modernisme,
modernité
Chez les intellectuels et les artistes occidentaux qui s’en réclam
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ion vaut mieux que la mise en ordre. Au total, la
modernité
est ce qui doit être préféré, sitôt que certifiée moderne, à toute es
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l serait en effet difficile de reconnaître que la
modernité
, étant ce qui récuse les vérités reçues et remet en question les trad
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ier grand apport de l’extérieur, définissant la «
modernité
» d’une époque, — « modernité » au sens de rupture de la tradition, d
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r, définissant la « modernité » d’une époque, — «
modernité
» au sens de rupture de la tradition, d’où les condamnations répétées
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ure même où ils ont signifié trop facilement la «
modernité
» pendant deux ou trois décennies, ils sont rejetés par les nouvelles
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rines, de pratiques, d’orientations, constitue sa
modernité
. L’idée de révolution se manifeste par la volonté de rompre avec la t
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l’impérialisme national-soviétique et yankee. La
modernité
consiste donc pour la Chine à renier le Chinois le plus célèbre, pour
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« révolution culturelle », marquant ainsi que la
modernité
ne saurait se développer spontanément dans un peuple que toute sa tra
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ment. Car cette « révolution » est en réalité, la
modernité
décrétée. Le chemin de la paysannerie du tiers-monde vers la société
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iques, écologiques et ethno-culturelles. La vraie
modernité
pour l’Europe pourrait offrir l’exemple au monde, et dont on peut esp
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rontières. dt. Rougemont Denis de, « Rôle de la
modernité
dans les relations Europe-Monde », Bulletin du Centre européen de la