1 eil de l’Europe, ni des gouvernements, ni même du Mouvement européen, qui lui a cependant donné naissance et auquel le rattachent

2 La peur, affirme-t-on, serait le vrai ressort du mouvement vers l’intégration. Il en résulte que toute détente à l’Est détendrai

3 ’enthousiasme européen soulève les peuples, qu’un mouvement puissant de rénovation sociale et civique se déclenche dans les mois

4 tation de cette année, convoquée à La Haye par le Mouvement européen, du 8 au 10 octobre, s’est voulue plus restreinte, à la fois

5 es sections culturelles nationales formées par le Mouvement européen. Les contacts que nous venons de reprendre dans plusieurs pa

6 que l’on n’a pas sérieusement soutenue. II. Les mouvements de militants européens ont été surpris par l’échec de la CED. En effe

7 le quand on est assis dans le bureau central d’un mouvement , devant près de cinq-cents brochures de titres différents. En fait, c

8 Européens en eux-mêmes, et défaitisme devant le «  mouvement fatal de l’Histoire » ; — attachement fétichiste à des « souveraineté

9 facteurs. Au moment où l’impulsion donnée par le Mouvement européen lors du congrès de La Haye en 1948 nous amène tout près des

10 seront pas une organisation, ni un comité, ni un mouvement de plus. Mais d’abord, et tout simplement, une amitié européenne. Un

11 t l’Occident. À l’origine de l’osmose il y a deux mouvements  : l’élan de la Russie vers l’Occident, la poussée de l’Occident vers

12 dent vers la Russie. À certains égards, le second mouvement apparaît plus puissant encore que le premier. La Russie a besoin de l

13 5. Pouchkine incarne les résultats de ces grands mouvements culturels : l’Europe, non point la Moscovie, est son passé. Il est l

14 d’art. On sait l’influence prépondérante que ces mouvements vont exercer en Europe aux débuts de notre siècle : les peintres-déco

15 on but si elle n’est pas en même temps et du même mouvement une éducation du sens de la responsabilité. Ceci posé, il faut bien c

16 s aux destinées du continent, tel est le sens, le mouvement général, du premier effort nécessaire en vue de l’éducation des citoy

17 e à celle de la commune et de l’individu. Mais le mouvement inverse, de la partie au tout, n’est pas moins nécessaire et doit êtr

18 re les dangers nés des divisions du continent, un mouvement d’opinion se forme dans de nombreux pays, dès 1945, en faveur d’une u

19 t font partie les grands voisins de la Suisse. Le mouvement vers l’union européenne ne cesse donc de se développer. Il pourrait a

20 e Jusqu’ici, la Suisse est restée à l’écart du mouvement vers l’union européenne. Quelles sont les raisons de cette attitude r

21 ble ces deux termes que la logique oppose, est un mouvement , un geste de l’esprit, caractéristique de l’Europe. Voilà pourquoi da

22 es les trois à spécialiser mais aussi, et du même mouvement , à « européaniser » les manifestations musicales, illustrant ainsi pa

23 , avec la bénédiction de la section culturelle du Mouvement européen, D. de Rougemont et Raymond Silva ouvrent à Genève, dans une

24 érence européenne de la culture. Patronnée par le Mouvement européen, financée par la ville de Lausanne et par des dons privés re

25 de 22 pays, invités par les comités nationaux du Mouvement européen. Salvador de Madariaga la préside, et ses trois commissions

26 Autonomies locales et l’Europe », organisé par le mouvement « Communita » (qui est chargé de conduire l’expérience) et avec la pa

27 e. Exécution. Confiée aux responsables locaux du mouvement « Communita » (comme en Sardaigne), elle a consisté jusqu’ici en cour

28 lée commune) ; la tactique de pression politique ( mouvements de militants, propagande) ; la stratégie de l’éducation, des recherch

29 . Un tableau des organisations européennes et des mouvements de militants complétera le numéro. Automation-loisirs-éducation (jui

30 nos contemporains n’auront pas vu pourquoi. (Nos mouvements de militants l’ont parfois oublié dans leurs discours et leurs appels

31 du Centre européen de la culture : « Méthodes et mouvements pour unir l’Europe », Genève, mai 1958, p. 27-34.

32 moyenne des adhérents de bonne volonté des autres mouvements . Quant à la méthode fédéraliste, elle apporte à mon sens la seule phi

33 que nouvelle depuis Marx ; et l’on espère que les mouvements qui s’en réclament sauront l’approfondir et l’illustrer avec autant d

34 ) le tableau des positions déclarées par tous les mouvements , associations et pressure groups qui se réclament des diverses méthod

35 des que nous venons de voir nécessaires, — et les mouvements fédéralistes. La multiplicité de ces mouvements était peut-être inévi

36 s mouvements fédéralistes. La multiplicité de ces mouvements était peut-être inévitable. Elle ne deviendra fatale — au double sens

37 L’idée d’un Pacte de salut public conclu par les mouvements et groupes de toute nuance cessera d’être « impensable » — comme beau

38 du Centre européen de la culture : « Méthodes et mouvements pour unir l’Europe », Genève, mai 1958, p. 35-40. bu. Denis de Rouge

39 ensez plus à ce que vous faites de vos mains, aux mouvements que vous avez appris. Regardez le noir de la cible, laissez-vous fasc

40 de mai, Retinger se vit privé de toute liberté de mouvements par un mal qui devait le laisser à demi infirme pour le reste de ses

41 nte, de la préparation à ce qui allait devenir le Mouvement européen. Dès 1941, à l’instigation de Retinger, le général Sikorski

42 t transmise. Dans le même temps, plusieurs autres mouvements s’étaient fondés. L’Union européenne des fédéralistes, dont la plupar

43 s équipes internationales de Robert Bichet, et le Mouvement socialiste pour les États-Unis d’Europe d’André Philip, allaient tent

44 tes de France, d’Allemagne et d’Italie. Ces trois mouvements attiraient surtout les jeunes, de 18 à 40 ans. (L’UEF compta jusqu’à

45 Coudenhove-Kalergi, retour d’exil, relançait son mouvement paneuropéen fondé en 1923 déjà, et créait une Union parlementaire eur

46 mier grand congrès. Nombre de délégués des autres mouvements y prirent part. Parmi eux, Duncan Sandys, gendre de Churchill, et Ret

47 réuni sous les auspices du Comité de liaison des mouvements pour l’Europe unie, qui était en train de prendre corps. Aucune décis

48 résolutions discutées avec passion par les divers mouvements , souvent antagonistes. Retinger évitait avec soin de prendre position

49 s, quelques industriels, et les chefs de tous les mouvements pour l’Europe unie, fédérée ou confédérée. Ce ne fut pas un congrès c

50 Italie. Il transforme le Comité international des mouvements pour l’Europe unie en Mouvement européen et il en devient le secrétai

51 nternational des mouvements pour l’Europe unie en Mouvement européen et il en devient le secrétaire général. En cette qualité, il

52 orme et conduit, avec Duncan Sandys, président du Mouvement , des délégations qui présentent les résolutions de La Haye aux gouver

53 e saurait cependant le contenter. Grâce à lui, le Mouvement européen sera durant les trois ou quatre années suivantes non point l

54 oopération avec Duncan Sandys, alors président du Mouvement européen, qui met sur pied les grands congrès politique de Bruxelles,

55 orts tenaces de Retinger non seulement au sein du Mouvement européen, mais dès avant le congrès de La Haye. J’ai dit plus haut c

56 giments mobilisables, ni parti influent, ni grand mouvement social. Il fallait inventer les moyens de l’Idée. Et tout d’abord con

57 ’Intelligence Service, et chargée de soutenir les mouvements de résistance clandestins sur le continent. Le service comptait 3000

58 t assurer les communications, les échanges et les mouvements . Il se peut que ceux qui le gardent en soient très fiers, mais le but

59 assistons, me semble-t-il, au xxe siècle, à deux mouvements de sens contraire, qui affectent ces facteurs traditionnels de divisi

60 cteurs traditionnels de division du genre humain. Mouvement de convergence à grande échelle, d’une part. Les distances sont presq

61 Dialogue, union, uniformisation… Voilà le premier mouvement , mondial. Tout se rapproche, tout interfère, tout coopère ou tout se

62 elles sont les causes, le moteur et l’agent de ce mouvement universel de convergence ? La réponse me paraît évidente. C’est l’Eur

63 re qui fut l’agent de la convergence mondiale, un mouvement radicalement contraire de divergence. Ce mouvement de dissociation, d

64 ouvement radicalement contraire de divergence. Ce mouvement de dissociation, de division et de séparation, qui est proprement bab

65 , il faut donc la chercher en avant : accepter le mouvement de spécialisation, mais le pousser jusqu’à ce point où l’étude la plu

66 érités hétérogènes saisies par l’esprit dans leur mouvement , rythme et structure dynamique, autant que dans leurs implications ju

67 n, etc. — et les correspondances de ces styles et mouvements dans tous les arts : peinture, sculpture, architecture, musique. Là e

68 aient les besoins de leur région, mais de tout un mouvement de pensée politique, déjà beaucoup plus large et solidement fondé que

69 es conceptions de base, se développe un véritable mouvement de revendications politiques. Les candidats de l’opposition et deux p

70 dix ou vingt ans. Dans le manifeste d’un nouveau mouvement politique « Pour le fédéralisme et le progrès social », je lis ces qu

71 ne se fera point par le jeu spontané du fameux «  mouvement de l’histoire ». Il faudra que la succession, le remplacement s’opère

72 supranationale ; condamnant à la fois, d’un même mouvement conditionné par le complexe de Procuste, les régions plus petites et

73 dans l’enthousiasme des congrès qui lancèrent le mouvement européen — Montreux, La Haye, Lausanne, Westminster et Bruxelles — qu

74 tés créatrices de la région nouvelle vont du même mouvement vers l’Europe, en sautant l’étape nationale. 66. Gazette littérai

75 ogiques ou prospectives « Vous allez contre le Mouvement de l’Histoire, selon lequel la nation est le Progrès. » « La région e

76 s’est toujours révélé beaucoup plus fort que les mouvements qui s’en sont emparé. Et quant à leurs doctrines collectivistes, de d

77 t… exigent… » Si l’on s’en tient aux nombres, les mouvements fédéralistes européens touchent beaucoup plus de jeunes que les secte

78 révolutionnaire, nous rencontrons, d’une part, un mouvement vers l’universel où l’individualisme agressif tend à créer une commun

79 mmunauté révolutionnaire unique… d’autre part, un mouvement de libération… de tous les groupes naturels, de toutes les tendances

80 s opprimées par l’État despotique. Entre ces deux mouvements , il y a une corrélation nécessaire. » Arnaud Dandieu, Sur la nation,

81 Marc et Denis de Rougemont, aile proudhonienne du mouvement personnaliste, dont l’aile catholique progressiste était représentée

82 anuel Mounier et Georges Izard. Contrairement aux mouvements et groupuscules qui ont usurpé ce titre, L’Ordre nouveau ne confondai

83 talière. En économie, l’on assiste au même double mouvement couplé de concentration et de décentralisation des entreprises, entre

84 nombre d’Européens actifs, non seulement dans les mouvements de militants, mais dans la plupart des institutions européennes privé

85 it pas la moindre. 117. Rien de commun avec le mouvement de tendance fasciste qui a usurpé ce titre en 1968 et qui a été disso

86 le religieux, au xxe siècle) de la vie publique. Mouvements pendulaires de main-d’œuvre à travers la frontière, non maîtrisés par

87 oisi, si nous laissons les choses aller dans leur mouvement selon les lois de l’inertie. Ils nous réveillent et nous incitent, av

88 e en œuvre pourrait favoriser l’équilibre dans le mouvement , s’agissant de l’espèce, et plus de liberté-responsabilité, s’agissan

89 ette révolution du sentiment la dernière phase du mouvement vers l’Europe, le dernier grand apport de l’extérieur, définissant la

90 e même désert vaudra des milliards de dollars. Ce mouvement va-t-il de l’Europe vers le Monde, ou l’inverse ? Il va de la source