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ment de fierté patriotique » et « le sentiment de
nationalité
qui fait le bon citoyen ». En Italie, il s’agit d’abord « d’effacer t
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t à Cracovie, en 1888, d’une famille polonaise de
nationalité
autrichienne, assez riche et hautement intellectuelle. Parmi ses plus
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ngères et rédigé au nom du Dr Joseph Retinger, de
nationalité
polonaise. « C’était, je crois, la première fois depuis plus d’un siè
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siècle qu’un gouvernement reconnaissait ainsi la
nationalité
polonaise », remarque-t-il non sans fierté. Pour la Pologne : succ
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ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les
nationalités
de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
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coupent arbitrairement des régions homogènes, des
nationalités
ou ethnies caractérisées, des ensembles économiques actuels ou potent