1
sif en soi que l’existence même de ce Centre, par
où
j’entends que le principal, c’est qu’il y ait en Europe un lieu consa
2
u’il y ait en Europe un lieu consacré à l’esprit,
où
des hommes travaillant en équipe vouent leurs efforts à l’union de l’
3
ou là, et elles en vivent encore, dans la mesure
où
elles vivent. L’unité culturelle de l’Europe n’a plus à être faite :
4
en recul marqué dans nos pays. À Paris et à Rome,
où
il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes positions st
5
— découvre une situation nouvelle. Dès l’instant
où
la menace du stalinisme perd son urgence dans le domaine culturel, un
6
nquêtes minutieuses pour savoir qui fait quoi, et
où
, et comment aider tel ou tel sans avoir l’air de faire pression, tout
7
d’abord religieuses, métaphysiques, éthiques — d’
où
naquirent les doctrines qui ont créé nos régimes — et par les formes
8
lliers les Foyers de culture régionaux et locaux,
où
s’opère justement ce contact vital entre la culture générale et les r
9
besoin réel (même inconscient) mais ne savent pas
où
la trouver, il s’agit d’apporter la culture à domicile, à l’atelier,
10
l avait cessé de croire à ce qu’il dirigeait. D’
où
vient le malaise ? Chacun sait qu’il existe un malaise général à l
11
t nouvelles œuvres. 3. Créer un lieu de rencontre
où
compositeurs, critiques et exécutants puissent jouir des mêmes contac
12
k L’Europe au point mort ? Au moment même
où
viennent d’être posées les premières bases de l’union, l’opinion se d
13
ue toute détente à l’Est détendrait ce ressort. D’
où
, paraît-il, crise de l’idée européenne. On n’oserait affirmer ici que
14
aient à la « guerre préventive ». Chacun savait d’
où
venait le seul danger : d’où viendrait autrement le soulagement génér
15
e ». Chacun savait d’où venait le seul danger : d’
où
viendrait autrement le soulagement général ? Il en résulte qu’un nouv
16
leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’
où
vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que sollicitée, d
17
elle de notre Europe en formation. Dans la mesure
où
les mêmes causes sont susceptibles de produire les mêmes effets, cett
18
ent. Mais les miracles ne se produisent jamais là
où
personne n’est disposé à les recevoir et à y croire. Ils n’ont jamais
19
nt-elles encore en fait ? On voit venir le temps
où
elles ne seront plus guère que des prétextes à refuser l’union qui no
20
de vivre son grand rôle historique dès l’an 1204,
où
l’armée des croisés pilla sa capitale et viola son sanctuaire. Chute
21
ion même du CEC que de faire vivre cette idée, là
où
vivent et agissent les idées, « dans les esprits et dans les cœurs »
22
conomiques. Mais il faut en même temps des foyers
où
l’on maintienne, où l’on rappelle sans cesse les exigences du but fin
23
faut en même temps des foyers où l’on maintienne,
où
l’on rappelle sans cesse les exigences du but final, l’Idée maîtresse
24
faite », ses chances et sa mission dans un monde
où
tout change. o. Rougemont Denis de, « Perspectives du CEC », Bull
25
uvres les plus célèbres de Gauguin s’intitule : D’
où
venons-nous ? Où sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de m
26
lèbres de Gauguin s’intitule : D’où venons-nous ?
Où
sommes-nous ? Où allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleure devise p
27
s’intitule : D’où venons-nous ? Où sommes-nous ?
Où
allons-nous ? Je n’imagine pas de meilleure devise pour la table rond
28
tte entreprise, partons de la deuxième question :
où
sommes-nous, Européens, en ce milieu du xxe siècle ? Une phrase déjà
29
es choses dans les milieux du Conseil de l’Europe
où
germa, voici quelques mois, l’idée d’une table ronde européenne. La c
30
déjà réalisés. Comment réduire ces résistances là
où
elles sont, dans les esprits et dans les cœurs, selon la formule cons
31
si posé, nous nous sommes tournés vers l’avenir :
où
allons-nous ? Et c’est M. Robert Schuman, en plein accord avec les th
32
istributeurs dans tous les domaines de la culture
où
cela se révèle utile et nécessaire : sciences, musique, livre, presse
33
de va se concentrer sur le théâtre d’une bataille
où
l’Occident désormais joue perdant. Le monde entier verra nos défaites
34
fait d’emprise sur les cantons que dans la mesure
où
elle se conformait à leurs volontés »8. La division des petits États,
35
lque réalité et consistance, en dehors des débats
où
elles figurent comme prétexte à refuser les évidences européennes ? V
36
a plus guère d’autre existence que psychologique.
Où
la voit-on à l’œuvre ? Non pas dans les faits mais dans les discours
37
pouvoirs concrets, elle est devenue le réceptacle
où
se recueillent pêle-mêle nostalgies de gloires passées, orgueils déçu
38
nc pris les caractères cliniques d’un complexe. D’
où
la difficulté, pour ceux qui en sont victimes, de s’adapter aux réali
39
angeantes du siècle, et même de les apercevoir. D’
où
la prise qu’ils offrent aux manœuvres les plus grossières du communis
40
inquiète comme Iago sur la jalousie d’Othello. D’
où
enfin, l’extrême confusion et les éclats de passion saugrenus qui car
41
Cette méthode a réussi (OECE, CECA) jusqu’au jour
où
les adversaires de l’union ont déclenché leur propagande massive. Eux
42
giter les passions : ils ont gagné contre la CED.
Où
était l’illusion dans tout cela ? Nous pouvons le voir aujourd’hui :
43
e de tourner les obstacles que de les attaquer là
où
ils sont : dans les routines de l’esprit nationaliste, autant et plus
44
’étonner après cela de l’ignorance presque totale
où
sont restés nos peuples et leurs élites, devant le problème européen
45
, et qu’elle n’éclatera dans les faits qu’au jour
où
tout sera mûr pour sa naissance. Préparer cette maturation ; créer se
46
éparer cette maturation ; créer ses conditions là
où
elles n’existent pas ; les favoriser partout où elles apparaissent :
47
à où elles n’existent pas ; les favoriser partout
où
elles apparaissent : voilà qui définit notre programme. 10. Prover
48
cris et les slogans.) Nous vivons dans un siècle
où
, très visiblement, ce n’est pas la politique qui fait l’histoire ; ma
49
il s’agit d’idées, la question se ramène à savoir
où
naissent les idées qui conduisent en fait notre monde. Là seulement,
50
France.) Ces deux faits indiquent très clairement
où
nous pouvons intervenir, d’une part en offrant des moyens d’expressio
51
eci n’est qu’un exemple. Si nous cherchons encore
où
sont les principaux obstacles à l’avènement d’une Europe unie, nous t
52
rope unie, nous trouvons trois zones marécageuses
où
viennent s’enliser la plupart des mesures d’union proposées par les é
53
lieu de l’apaiser, excite encore son appétit. Par
où
l’on voit que l’esprit de recherche n’est pas un instinct animal, mai
54
dictions morales, intellectuelles et pratiques. D’
où
vient cette inquiétude fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que
55
ues. D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’
où
, ce désordre permanent que les meilleurs esprits déplorent depuis des
56
à surmonter, ou même s’évanouiront dans la mesure
où
ils consistent en préjugés, aveuglement partisans, méfiances non fond
57
é par agir dans les domaines de la vie culturelle
où
il semblait possible d’obtenir rapidement des résultats concrets. Il
58
binson couronné, dont l’île est un immense empire
où
il fait triompher la civilisation par des moyens de fortune et en fai
59
iastiques, auxquelles il prenait part lui-même et
où
son vieux précepteur Zotov, coiffé d’une mitre portant une effigie ob
60
siècle européen sans ce nouvel empire « policé »
où
règne la correspondante des encyclopédistes. Il est clair, du reste,
61
ples avant-postes de l’Occident, des avant-postes
où
certaines de ses splendeurs passées ont bénéficié d’une espèce de flo
62
i y fut conservé le ballet classique à une époque
où
il s’étiolait complètement dans ses pays d’origine, la France et l’It
63
Pétersbourg cette étrange métropole hyperboréenne
où
triomphent pour la dernière fois, sous un ciel pâle, perdus parmi des
64
par une de ces nuits sans nuit du début de l’été,
où
le granit même se dissout dans le ciel décoloré et où les colonnes ne
65
e granit même se dissout dans le ciel décoloré et
où
les colonnes ne sont plus que des ombres blanches flottant dans un cl
66
revue de Moscou sa première Lettre philosophique
où
il mettait en doute la logique intérieure du développement national d
67
ement général de l’horizon… Le temps était venu
où
Dostoïevski et Tolstoï, Tourguéniev et Tchékhov allaient jouer un rôl
68
un rôle actif dans la vie littéraire de l’Europe,
où
la musique, la danse et la technique dramatique russes allaient renou
69
scandinaves, étaient appelés Rôs par les Grecs, d’
où
Russes. 14. Vladimir Weidlé, La Russie absente et présente, Gallimar
70
’étranger, de l’Europe de l’Ouest, avec Lénine. D’
où
les phrases violentes de Molotov, qu’on lira plus loin, au sujet des
71
de se connaître et de rechercher ce qui unit ». D’
où
les propositions suivantes : 1. « …que toute censure soit progressive
72
de l’écrivain dans l’autocritique (de la société
où
il vit, qui le publie et le lit). 3. Condition de l’écrivain et puiss
73
ffrage universel d’une Constituante européenne, d’
où
sortiraient un gouvernement et un parlement supranationaux. Cet extré
74
ires sentimentaux. » « Monde immobile et composé,
où
l’imagination est tuée par les exercices d’académie et d’observation.
75
. Pas une seule revue de France ou d’Italie (pays
où
les communistes représentent de 25 à 35 % du corps électoral) n’a reç
76
ette formation ne peut réussir que dans la mesure
où
elle vise en même temps à rendre libre.) L’individu se sent perdu
77
xxe siècle dans le fait bien connu que le monde
où
nous vivons paraît trop vaste pour nos prises et trop complexe pour n
78
Il n’arrive plus à s’y retrouver. Il ne voit plus
où
il pourrait agir avec quelques chances de succès. Il se juge trop pet
79
omment la vérifier et la combattre dans le milieu
où
il peut agir ? Si par hasard il constate leur présence dans le rayon
80
re individuelle. Elle devrait lui enseigner : — d’
où
vient ce monde et comment s’est formée sa civilisation ; — ce que son
81
l’union comme une nécessité qu’à partir du moment
où
ils auront appris : — quelle est la situation précaire de nos pays da
82
t la situation précaire de nos pays dans un monde
où
l’Europe n’est plus reine ; — ce que fut naguère cette Europe et ce q
83
dans la communauté Montrer ce qu’est le monde
où
nous vivons, situer l’Europe dans ce monde nouveau, rendre attentif a
84
ement possible au-delà de son horizon. Découvrant
où
il peut agir, il agira et entraînera les autres ; il deviendra lui-mê
85
qui l’intègre d’une manière active dans le milieu
où
il peut agir. Où l’Europe devient une patrie Cette orientation
86
manière active dans le milieu où il peut agir.
Où
l’Europe devient une patrie Cette orientation générale et cette in
87
les plus variés de la culture (au sens très large
où
nous prenons le mot), voilà qui pose des problèmes passionnants pour
88
dans son pays, mais récemment réfugié à l’Ouest,
où
son nom était encore ignoré, pour son récit du siège de Varsovie en 1
89
ctitude de chaque information. Au seuil d’une ère
où
l’importance des loisirs est destinée à surpasser progressivement cel
90
ier point, et le second en découle logiquement. D’
où
la nécessité, devenue bien évidente, d’un pouvoir fédéral européen, s
91
us sommes tous, en Europe, dans le même bateau. D’
où
la nécessité, devenue bien évidente, d’un grand Marché commun et de l
92
s à conditionner le jugement, et cela avant l’âge
où
le jeune homme peut se mettre à lire les journaux, à discuter les pro
93
séparent. Ainsi se trouve ouvert un vaste espace
où
le commerce sera libre. (Ce groupe de six pays est connu sous le nom
94
s processus ne peuvent que s’accélérer dans l’ère
où
nous entrons, ère de l’automatisation que certains nomment déjà la se
95
eut donner plus de joie à Salzbourg que n’importe
où
ailleurs. Et il est vrai que Wagner ne doit rien aux « idylliques val
96
rt sensible entre les œuvres et le cadre physique
où
elles sont jouées. Leur ambiance très réelle n’est pas créée par la n
97
Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’
où
il vient — où il va (février 1958)bn Origines Il y a dix ans
98
n de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient —
où
il va (février 1958)bn Origines Il y a dix ans exactement, au
99
encontres personnelles, et presque de méditation,
où
les problèmes de l’homme européen seraient débattus par les plus haut
100
ntentant de « gestes symboliques » jusqu’en 1956,
où
la France, puis la Suisse et Genève, commencèrent à fournir une part
101
eraient d’une intégration plus poussée. À l’heure
où
les institutions économiques et politiques de l’Europe naissante proc
102
préparer des voies pour le temps, désormais venu,
où
la situation générale permettrait de plus amples entreprises. Et c’es
103
Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’
où
il vient — où il va », Bulletin du Centre européen de la culture, Gen
104
n de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient —
où
il va », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, février 1
105
ie mixte (rurale et industrielle) en plein essor,
où
les problèmes du Marché commun vont se poser d’une manière très concr
106
ouvrage sur le sujet à paraître au moment précis
où
s’ouvrait le Marché commun. La critique internationale et les instanc
107
s et actuelles sur les langues parlées en Europe.
Où
? par qui ? par combien ? depuis quand ? Données correspondantes sur
108
ique, à l’intérieur d’un même cordon douanier. (D’
où
le bassin Ruhr-Lorraine coupé par le milieu, sous prétexte qu’à la su
109
à l’échelle de l’Europe, unité de civilisation. D’
où
le succès, typique du xxe siècle, des pools, associations, communaut
110
eunes. Il s’agit de leur ouvrir un champ d’action
où
le désir d’assumer des tâches de responsables trouve des chances nouv
111
es au plan mondial et nuisibles au plan local, là
où
le jeune homme peut commencer d’agir ; et que l’Europe seule, si tout
112
même s’il est un succès dans plusieurs autres. D’
où
la nécessité d’un règlement très souple et d’un esprit vraiment europ
113
e 400 pages serrées suivies de 64 pages de notes,
où
— l’ayant pratiqué durant des mois — je n’ai trouvé que trois infimes
114
pour notre union, à travers 27 siècles de pensée
où
le sublime voisine avec l’absurde, le pittoresque avec le raisonnable
115
c., etc.). Et quant aux noms français, on ne sait
où
les chercher, car l’auteur cède à la curieuse habitude italienne de g
116
à la hauteur d’un manifeste européen : « Le jour
où
il ne devrait plus y avoir qu’une définition unique et standard de l’
117
tal, sommes-nous satisfaits ? Non, dans la mesure
où
il pourrait sembler que certains succès ou échecs ont été obtenus par
118
omme en dépit de nos efforts. Oui, dans la mesure
où
nous avons senti qu’ici ou là, quelques germes ont pris, et que telle
119
scolaire. Oui, encore et surtout, dans la mesure
où
nous avons trouvé partout ces responsables réalistes, ces animateurs
120
de préparer le terrain pour une plus vaste union.
Où
sont les obstacles majeurs à cette union ? On nous répète qu’ils sera
121
créatrice telle que l’on vient de les décrire. D’
où
la question (forme polie d’une objection fondamentale) que l’on nous
122
s pour qu’il y ait quelque part en Europe un lieu
où
l’on se préoccupe de poser les problèmes communs et de grouper ceux q
123
eraient d’une intégration plus poussée. À l’heure
où
les institutions économiques et politiques de l’Europe naissante proc
124
préparer des voies pour le temps, désormais venu,
où
la situation générale permettrait de plus amples entreprises. cg.
125
vidu comme dans les sociétés sacrées religieuses,
où
tout est prescrit sans discussions. Nous sommes ici aux antipodes de
126
poser à chaque instant la question : que faire ?
où
aller ? Tout a été réglé d’avance par le Régime. La colombe européenn
127
ral ne conduit pas au particulier. Dans la mesure
où
nous décidons de créer une certaine classe d’hommes, d’inculquer un c
128
lui. Vous serez de bons éducateurs dans la mesure
où
vous serez vous-mêmes sensibles à la réalité spirituelle, dialectique
129
r en quelques mots, et cette initiation a réussi,
où
l’instruction avait échoué. J’ignore son nom, mais j’ai tiré de sa le
130
tre compris par la majorité des habitants du pays
où
il règne. Dans la mesure où il fonctionne sans être compris et approu
131
des habitants du pays où il règne. Dans la mesure
où
il fonctionne sans être compris et approuvé, c’est qu’il n’est pas co
132
. Celles-ci méritent leur nom dans la mesure même
où
, soit par l’École, soit par la morale familiale et sociale, soit par
133
un jury, écrire à son député, etc. J’insiste : là
où
nos manuels diraient par exemple : Qu’est-ce que le droit de vote ? o
134
de jugement, impliquant d’ailleurs une morale, là
où
les nôtres définissent des concepts, des principes généraux et des ca
135
; ce manuel nous parle réellement de civisme, là
où
les nôtres se contentent de parler d’institutions. Est-ce à dire qu’a
136
sances économiques, comment comprendre la société
où
l’on vit, juger de sa politique et voter intelligemment ? 2° Les fait
137
es rapports de production48 ». Voilà donc un pays
où
l’on ne saurait se plaindre de ce que l’instruction civique ne tienne
138
e Guide prouvera toute son utilité dans la mesure
où
elle éveillera, chez les enseignants d’abord, une conscience plus aig
139
vient son tuteur vigilant. Zamoyski habite Paris,
où
il est né ; il est Français, et c’est sans doute à son instigation qu
140
pidement ses amis. Il fréquente le Café Vachette,
où
règne derrière son monocle à ruban le poète Jean Moréas, qui chaque s
141
salons du meilleur monde de Paris et de Londres,
où
l’ont introduit le comte Zamoyski, le fameux « Boni », marquis de Cas
142
oires. De 1909 à 1911, nous le trouvons à Munich,
où
il poursuit des études de psychologie, puis à Florence. En 1911 enfin
143
ontré dès 1909. Originaire lui aussi de Cracovie,
où
il avait fait ses premières études dans le même lycée que Retinger, m
144
nger ? » Tel fut ce retour au passé, le jour même
où
éclatait une guerre « qui cachait dans son sein la réalisation des rê
145
er sa chance, seul. Il se rend d’abord à Lemberg,
où
les leaders des Polonais de Galicie se sont réunis clandestinement. L
146
ors le permis nécessaire pour se rendre à Vienne,
où
le ministère de la Guerre lui accordera un visa de sortie. Le permis
147
es habituelles, et se rend aussitôt au ministère,
où
il demande à voir le chef de l’état-major général. On le regarde avec
148
qui vont l’aider et les milieux ignorés du public
où
résident les pouvoirs réels. Il a aussi le salon de Lady Cunard, dont
149
es avertissements. Jusqu’à ce jour d’octobre 1917
où
il se voit convoqué par le ministre de l’Intérieur. Je cite les notes
150
fut sauvé que par une grève générale : l’auberge
où
il gîtait distribuait des repas gratuits aux grévistes. De Paris et d
151
Thomas Lipton l’adresse d’un Cafecl de la Marina
où
il trouverait de belles femmes nues, et seul Joseph Conrad lui fit te
152
ecteur à haute voix dans une fabrique de cigares,
où
les ouvriers devaient travailler sans ouvrir la bouche ; d’où la néce
153
ers devaient travailler sans ouvrir la bouche ; d’
où
la nécessité de les distraire. Au Mexique : nationalisation du pét
154
n’a pas fait moins de onze séjours dans ce pays,
où
seule la suite de hasards qu’on vient de voir l’avait conduit, mais d
155
e. On le conduit donc en un point de la frontière
où
deux bandits, dont l’un borgne, le prennent en charge. Plusieurs heur
156
araît. Mais au lieu de le conduire à San Antonio,
où
Morones devait le rejoindre, elle le ramène à la ville frontière de L
157
heures plus tard le train part pour San Antonio,
où
notre vagabond finit par retrouver Morones, qui lui paie un costume n
158
ériode de bohème politique et d’accéder au niveau
où
l’histoire non seulement se prépare, mais se fait. Aux côtés du gé
159
nglais le soir du 16 juin et atterrit à Bordeaux,
où
personne ne sait rien des Polonais. Dans la panique générale, Retinge
160
ne petite ville du Sud de l’Italie, près de Bari,
où
le SOE possédait une base importante. Il y passa onze semaines à atte
161
wett : c’était le seul livre sérieux de la place,
où
l’on ne trouvait que des romans policiers. Socrate lui permit ainsi d
162
e, réussirent à le sauver de tous les mauvais pas
où
l’imprudence (non moins traditionnelle) des Polonais put l’engager. B
163
tude, docteur ». Mais dans un autre établissement
où
il dînait, près d’une table occupée par cinq ou six hommes, ce ne fut
164
al Bor qui, de son petit appartement de Varsovie,
où
il vivait pauvrement, en civil, commandait en chef une armée d’un dem
165
sporter en toute hâte dans un autre établissement
où
personne ne pourrait aller le voir : on choisit un hôpital pour les p
166
is en droschka, ils atteignirent un petit village
où
ils passèrent une semaine chez le curé. Le son des canons leur parven
167
ghazi. Le lendemain, après avoir survolé Tobrouk,
où
il avait passé une journée mémorable pendant le siège, lorsqu’il acco
168
n route vers la Russie, il fut débarqué au Caire,
où
il apprit enfin le but de son voyage : M. Mikolajczyk, Premier minist
169
rier à fin avril, dans toutes les villes d’Europe
où
Retinger avait passé de son petit pas traînant, parfois au bras d’un
170
Mais son travail réel ne commençait qu’à l’heure
où
il pouvait se mettre à téléphoner et à fixer des rendez-vous. C’est a
171
nce seul à seul. Certes, on le retrouvait partout
où
des hommes étaient réunis pour agir au nom d’une idée — l’indépendanc
172
remerciements et des hommages émus, on ne savait
où
le trouver. « Celui qui s’abaisse sera élevé », certes, mais pas dans
173
ture, et souvent pire que rien sur celle des pays
où
ils vont aller. De même, les étudiants d’outre-mer qui viennent dans
174
squels engager le dialogue. De même qu’on ne sait
où
trouver le livre qui expliquerait la culture européenne aux étudiants
175
aux étudiants venus d’autres régions, on ne sait
où
trouver le livre qui expliquerait utilement à un de nos « aides techn
176
nos « aides techniques » la culture de la région
où
il va travailler. ⁂ Il faudrait maintenant que chacune des autres rég
177
trangères contribuent aux échanges dans la mesure
où
ils peuvent répondre à des demandes venant d’autres pays ou régions,
178
’extérieur. Il n’en va pas de même pour l’Europe,
où
l’on s’est efforcé depuis un siècle de former vingt « consciences nat
179
nationales », mais pas de European way of life ;
où
l’on entretient vingt organismes de « relations culturelles nationale
180
s de « relations culturelles européennes » ; et d’
où
sortent des centaines d’attachés culturels nationaux, mais pas un seu
181
d’écoles ou stages de formation de responsables,
où
l’on rendrait une élite de jeunes hommes conscients des valeurs de le
182
er, il suffit le plus souvent que le Centre sache
où
sont les sources existantes de renseignements sur un sujet donné et p
183
que de tels centres fonctionneraient, on saurait
où
l’on peut s’adresser pour recueillir des informations utiles de tous
184
J’ai assisté à trop de congrès et de séminaires,
où
il me semblait que les participants « jouaient » à tenir un congrès o
185
que risque de créer la technique dans des régions
où
elle arrive tout à fait de l’extérieur, où elle ne surgit pas du fond
186
égions où elle arrive tout à fait de l’extérieur,
où
elle ne surgit pas du fond même de la culture comme c’est le cas en E
187
éent. En même temps, dans ce monde d’aujourd’hui,
où
la technique tend à tout uniformiser, il y a le fait de l’accession à
188
eur manière, et qui ne doivent pas au moment même
où
elles reprennent leur autonomie se laisser uniformiser, bien plus qu’
189
virulence, et cela, paradoxalement au moment même
où
les cultures se libèrent et se différencient. Je crois que la formule
190
e de tous les pays d’Europe les uns aux autres. D’
où
une certaine dévalorisation du cadre national, surtout dans les pays
191
culture, ou de la porter bien au-delà des milieux
où
elle était cultivée, si je puis dire, autrefois. Les chances augmenta
192
ent un danger pour le spécialiste, dans la mesure
où
cela le ferme à tout autre domaine général, c’est-à-dire à tout ce qu
193
l ne peut en recevoir les dons que dans la mesure
où
il fait un effort créateur d’une manière ou d’une autre. M. Bigonnet
194
it à ce qu’était autrefois la fortune d’un prince
où
d’un grand marchand d’Anvers ou de Bruges au temps de la Renaissance,
195
une formule qui a fait ses preuves aux États-Unis
où
quelques milliers de fondations détiennent à peu près 10 % de la fort
196
et, à part quelques enquêtes gênantes au Congrès
où
l’on fait comparaître les dirigeants de fondations pour leur poser de
197
a paix européenne ? Pour sortir du cercle vicieux
où
les sceptiques se croyaient enfermés, des militants de l’Europe libre
198
péen. Elle a donné naissance à un comité d’action
où
sont représentés le Conseil de l’Europe56, les Communautés européenne
199
tent ; 2° Une carence de l’éducation civique : là
où
elle existe, elle se borne à décrire les institutions mais ne présent
200
e milliers d’enseignants. Pour les atteindre, par
où
fallait-il commencer ? Par un regroupement de ceux, d’abord, qui ont
201
choses » et des sols. « L’Europe est un continent
où
l’histoire a souvent violé la géographie », écrit très bien Jacques B
202
s que cette culture se mondialise, dans la mesure
où
partout, on exige ses produits, on imite ses techniques et procédés,
203
ue nous décrivent les astronomes contemporains. D’
où
résultent les deux conséquences qui définissent le phénomène de Babel
204
les dimensions des salles de la Sorbonne, p. ex.
où
déjà les étudiants s’écrasent une heure avant les grands cours.) L’ex
205
aissance de la réalité de la matière et du corps,
où
Dieu se manifeste) et le développement des sciences physiques et natu
206
spécialisation, mais le pousser jusqu’à ce point
où
l’étude la plus exigeante d’une discipline particulière va déboucher
207
ères spécifiques de notre civilisation, à l’heure
où
elle se répand d’une manière anarchique sur tous les continents de la
208
sur tous les continents de la planète, à l’heure
où
le tiers-monde l’interroge avec une anxiété mêlée d’arrogance, à l’he
209
oge avec une anxiété mêlée d’arrogance, à l’heure
où
elle s’interroge elle-même plus qu’elle n’a jamais fait dans son hist
210
et de plus en plus vite, et sans toujours savoir
où
il va et nous emmène ? Les hommes ne sont pas tous pareils, même pas
211
ar exemple, y participent vraiment dans la mesure
où
ils ne se contentent pas d’écouter mais où ils prennent la parole ! P
212
mesure où ils ne se contentent pas d’écouter mais
où
ils prennent la parole ! Participer, ce n’est pas seulement prendre s
213
ct, qu’il ne peut y avoir de liberté effective là
où
il n’y a pas de responsabilité concrète ; et que, inversement, la con
214
seport qui caractérise l’écrivain, mais la région
où
s’est formée sa sensibilité, la religion qu’il suit ou qu’il a rejeté
215
un artiste dans telle ville d’art, non pas l’État
où
était située cette ville. En revanche, les styles étaient continentau
216
inois recourent à l’échange muet d’idéogrammes. D’
où
la possibilité (fréquemment réalisée) du passage d’une langue à une a
217
’Europe unie de demain soit un affreux méli-mélo,
où
l’on ne parle plus que l’esperanto ou le « volapuk » des utopistes dé
218
é et des formes politiques, assez pour rappeler d’
où
viennent la nation, l’État, et l’État-nation qui est né de leur collu
219
entre unique de décision, par le moyen de bureaux
où
se concentrent tous les pouvoirs administratifs, civils et militaires
220
érer sur un autre plan que celui-là, précisément,
où
le problème se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est des
221
e, et une zone d’intense production industrielle,
où
sont venues s’implanter les plus importantes usines atomiques françai
222
tement liées, gravitant autour de centres urbains
où
se localisent d’importantes fonctions économiques, en particulier les
223
une certaine liberté de jugement 85. Ainsi : là
où
, dans le monde stato-national, on parlait d’abord de territoires et d
224
parle ici d’abord de pôles, de polarisations ; là
où
l’on parlait frontières, on parle d’ajustements variables définis par
225
variables définis par des aires d’influences ; là
où
l’on insistait sur la taille des domaines et sur des chiffres absolus
226
des régions » au sein des six nations membres (d’
où
la Conférence sur les économies régionales de 1961) ; b) des régions
227
ons entre activités de tous ordres. Jusqu’au jour
où
l’on s’apercevra qu’il n’y a plus qu’à formaliser et couronner d’un e
228
Elle ne représenterait aucune révolution, au sens
où
j’ai toujours entendu ce terme, qui ne signifie pas « tout casser »,
229
s une page essentielle de son Principe fédératif,
où
Proudhon estime qu’il « résume toute sa science constitutionnelle »,
230
nous sait très bien à quelles sociétés il cotise,
où
il paie ses impôts, qui est de sa paroisse et quels sont les paysages
231
llée du Yang-Tsé accusés de manger des graines, d’
où
prolifération d’insectes dans les récoltes, d’où famine pour les mass
232
’où prolifération d’insectes dans les récoltes, d’
où
famine pour les masses chinoises, est-ce un produit spécifique du com
233
oit supprimer à terme la condition prolétarienne.
Où
seront les masses ? Dans Tel Quel. (N. B. « Les jeunes pensent… disen
234
constituent 75 % de cette majorité.) d) « Mais
où
est la lutte des classes dans tout cela ? », me disent ces dévots sca
235
cessairement au progrès technique, dans la mesure
où
il peut être libérateur. Détruire la bourgeoisie (slogan anarchiste)
236
nt Platon, Maurras, Staline, Hitler et le Duce. D’
où
l’on voit que le « politique d’abord » de Maurras ne veut rien dire,
237
ntrons, d’une part, un mouvement vers l’universel
où
l’individualisme agressif tend à créer une communauté révolutionnaire
238
fornie au fleuve Amour —, à savoir une communauté
où
la personne puisse librement participer. C’était le défi que ma génér
239
trograde. 102. L’Ordre nouveau , n° 1. 103. D’
où
la Campagne d’éducation civique européenne, lancée dans quinze pays,
240
mmencé à acheter des téléviseurs à partir du jour
où
les progrès techniques ont permis de fabriquer des postes à modulatio
241
chauvinismes, fauteurs de deux guerres mondiales
où
l’Europe a failli périr. La vérité, c’est que la culture de tous nos
242
Paul, de Hölderlin et de Humboldt, au moment même
où
Napoléon fait de la France un vaste désert culturel en mobilisant à P
243
apide et direct. Il nous faut des tunnels partout
où
il y a une montagne, des cols, des autobus, des routes sans barrière.
244
toritaire étouffe la vie régionale, jusqu’au jour
où
il provoque des séparatismes.) 4. Ceci ne signifie pas l’abolition an
245
ntières nationales, en commençant par les régions
où
la circulation des élèves et des enseignants apparaît virtuellement l
246
tre fait à l’échelon régional : lycées communs là
où
la langue est pareille, lycées bilingues, écoles techniques et profes
247
tues, et finalement adoptées à chaud les thèses d’
où
devaient sortir non seulement les institutions de Strasbourg, Luxembo
248
égionaliste européenne s’élabore au moment précis
où
la situation politique l’appelle dans toute l’Europe, c’est-à-dire au
249
ans toute l’Europe, c’est-à-dire au moment précis
où
l’impossibilité de construire l’union sur les États-nations devient f
250
l’union sur les États-nations devient flagrante,
où
les solutions purement économiques s’avèrent insuffisantes pour conva
251
ent insuffisantes pour convaincre les peuples, et
où
, en revanche, les nécessités conjointes d’un effort d’éducation et d’
252
versités, ou la presse et les media ; — un numéro
où
une équipe internationale et interdisciplinaire tentera de faire le p
253
e la pollution industrielle, dans le tiers-monde,
où
il y a encore des espaces libres et où l’on s’imagine qu’on pourra fa
254
ers-monde, où il y a encore des espaces libres et
où
l’on s’imagine qu’on pourra faire l’économie de très coûteuses mesure
255
ment que la cité, l’énorme nation sans structures
où
il se voient perdus, n’est pas leur affaire, ne peut que les briser,
256
e union, d’un autre plan que celui-là, justement,
où
le problème se révèle insoluble. Il faut partir des réalités en train
257
es différences situées sur d’autres axes que ceux
où
se développent les similarités. » Cette suggestion rejoint les conclu
258
les européennes, qui seraient compétentes partout
où
les tâches se révéleraient d’échelle continentale — et là, seulement.
259
onstitution de régions transfrontalières, partout
où
les conflits entre limites politiques et espaces économiques se révèl
260
hent en Suisse les frontières cantonales. Le jour
où
les ordinateurs consultés répondront que les liens concrets tissés en
261
Jouvenel publie son grand ouvrage Du Pouvoir 118,
où
tout en annonçant qu’il va se borner à « rechercher les causes et le
262
fs, héritiers d’une longue tradition d’humanistes
où
se mêlent intimement esprit de la cité et cosmopolitisme, mais aussi
263
l’existence autonome de ce pays, dans une époque
où
l’homme complet devient un phénomène tellement plus important, tellem
264
u’aux idées, et aux situations qu’aux systèmes, d’
où
son sens politique intuitif et ses vues parfois prophétiques : C.J.B.
265
’autant plus faut-il l’attaquer dans les domaines
où
son autorité, gagnée ailleurs, peut égarer. Il écrivait en 1939, aux
266
es ont ruiné le prestige de l’Europe politique (d’
où
la décolonisation opérée dans la haine et le mépris du tiers-monde qu
267
est aussi le fauteur de la crise, dans la mesure
où
l’obsession de la puissance est l’ultima ratio de ses décisions. Mais
268
sance est l’ultima ratio de ses décisions. Mais d’
où
tient-il sa puissance actuelle, sinon du vide civique créé par l’urba
269
s pourraient participer ? Recréer une communauté
où
l’homme puisse recouvrer la dimension civique sans laquelle il n’est
270
nécessité de recréer des milieux de participation
où
des citoyens puissent enfin prendre en main leurs affaires communes —
271
s mesure la démission de l’homme devant l’État. D’
où
l’on déduit que l’économie de guerre, qui est le modèle de toutes nos
272
gination au lieu de la libérer, et dans la mesure
où
elle se montre active, c’est-à-dire autoréalisante, elle est un facte
273
rs l’improbable création. Car dans la mesure même
où
il est vivant, l’homme est imprévisible à lui-même. Tout ce qui préte
274
n’est pas devenu sacro-saint dans la mesure même
où
il participait de la finalité guerrière de nos États-nations de modèl
275
st que partiellement, et que dans toute la mesure
où
elle est autre chose — ensemble de systèmes plus ou moins intégrés, r
276
odes « scientifiques » échouent nécessairement là
où
les intuitions « sauvages » ont réussi. Un seul exemple, ici, me suff
277
ncapable de dire « si nous verrons jamais le jour
où
il sera possible d’isoler les variables clés qui déterminent le surgi
278
fforçait d’attiser leurs rivalités, jusqu’au jour
où
une province entière se soulevait, et remettait en cause sa suprémati
279
ons chiffrées ne m’intéressent que dans la mesure
où
j’ai en tête quelque finalité plus ou moins formulable, et cherche le
280
autos vendues – plus d’autoroutes nécessaires — d’
où
encore plus d’emplois, encore plus de ventes, encore plus de pouvoir
281
berté-responsabilité, s’agissant des personnes. D’
où
la règle suivante : devant toute innovation technologique, être en me
282
gadgets qu’on nous offre ; ou encore « n’importe
où
», comme l’auto ; ou vers quelque chose d’angoissant et que l’on a pe
283
es les cultures sauf une seule : l’occidentale. D’
où
viennent ces erreurs radicales que commettent au sujet de leur propre
284
ropre culture les Occidentaux et eux seuls ? Et d’
où
vient qu’en tant qu’ils renient les valeurs qui ont fait l’Europe, il
285
pe. Europe, princesse de Tyr — non loin de Byblos
où
l’alphabet fut inventé — est enlevée par Zeus qui la conduit en Crête
286
— est enlevée par Zeus qui la conduit en Crête, d’
où
la civilisation minoenne, nourrie du Proche-Orient, va se transmettre
287
modernité » au sens de rupture de la tradition, d’
où
les condamnations répétées de l’Église contre la cortezia des troubad
288
ut des grandes découvertes — moment de l’histoire
où
le courant des échanges culturels s’inverse d’une manière qui me para
289
e chances de durée en Europe. Dans la mesure même
où
ils ont signifié trop facilement la « modernité » pendant deux ou tro
290
scientifico-technique d’information, vers le pays
où
cette information produira de l’énergie. Le pétrole est « arabe », di
291
n’y joignez-vous pas un petit livre expliquant d’
où
viennent ces objets, pourquoi vous avez eu l’idée de les construire e
292
s atomiques « préventifs ». Dans un état du Monde
où
l’humanité se voit menacée 1°) par l’explosion démographique des régi