1 boration pratique. Le CEC n’est donc nullement un organisme politique, nous ne saurions trop le répéter. Mais par rapport aux aut

2 s, et européens. Les méthodes de travail des deux organismes sont aussi différentes que leurs buts. Nous en sommes restés, volonta

3 rement plus lente et plus prudente que celle d’un organisme privé. De plus, leur secrétariat ne dispose pas d’un organisme perman

4 vé. De plus, leur secrétariat ne dispose pas d’un organisme permanent d’exécution. Aussi le Comité a-t-il proposé tant au Collège

5 ouer, bien nettement distinct de celui des autres organismes existants. Bien ou mal, il est le seul à tenter d’une manière systéma

6 ise de la culture, mais bien du principe même des organismes culturels dépendants de la politique. À ce titre, elle mérite un exam

7 rouver. Car en somme, qu’est-ce que l’Unesco ? Un organisme qualifié de « culturel », mis sur pied par les gouvernements, composé

8 , l’Extrême-Orient. Ceci doit se traduire par des organismes régionaux (comme on dit à l’Unesco) et non point mondiaux.   2. Centr

9 » autonomes fédérés sous l’égide du Centre. Notre organisme n’est pas plus que d’autres à l’abri du sort. Mais si l’on devait par

10 inent ? — Il existe, dans chacun de nos pays, des organismes étatiques ou semi-privés chargés de servir la culture nationale et so

11 un problème d’éducation. C’est un problème qu’un organisme comme le Centre a justement pour raison d’être de poser tout d’abord,

12 ieux. C — Vous disiez tout à l’heure : « un organisme comme le Centre ». Est-ce donc qu’il en existe d’autres ? Et ne ferai

13 ancement régulier. Il est clair que la tâche d’un organisme culturel comme le Centre n’est pas de suppléer à la carence d’une vér

14 ndir » ce travail. Renonçant à créer elle-même un organisme nouveau, la conférence a cependant demandé aux gouvernements d’instit

15 oût-septembre 1956)ba bb Plusieurs centaines d’ organismes locaux, régionaux, nationaux et internationaux sont à l’œuvre dans le

16 dans d’autres pays. D’autre part, l’ensemble des organismes d’éducation populaire groupe le plus vaste public organisé qui puisse

17 et l’idée européennes. Une fédération de tous les organismes poserait plus de problèmes qu’elle n’en résoudrait. Mais leur offrir

18 du charbon et de l’acier (CECA). Le siège de cet organisme s’établit à Luxembourg. En 1957, les mêmes six pays font un pas de pl

19 du Conseil de l’Europe lors de la création de cet organisme , craignant d’être entraînée dans une politique contraire à son statut

20 erches nucléaires, et coordination par le CEC des organismes d’éducation populaire. Tout cela existe aujourd’hui34.   1950. Le Cen

21 vue de définir de larges directives dont d’autres organismes pourraient s’inspirer. Ce beau rêve d’une Académie platonicienne — qu

22 divers milieux sociaux, et en s’appuyant sur des organismes déjà existants, les méthodes d’un futur enseignement européen. Il s’a

23 eropoulos-Stratis et en collaboration avec divers organismes d’éducation, syndicalistes ou officiels. D’autre part, des négociatio

24 restant l’affaire des public relations de chaque organisme . L’information dont nous voulons parler n’est pas une activité au jou

25 Enfin, n’oublions pas le problème particulier des organismes européens, tant officiels que privés : les travaux de leurs experts,

26 étaillés de chaque expérience, — accords avec les organismes locaux capables d’en assurer sur place l’exécution. La Fondation reme

27 propagande. La principale activité de ce modeste organisme sera d’essayer d’attirer l’attention de la presse et de l’opinion sur

28 ui ont en vue des buts politiques d’abord) ; ou d’ organismes purement économiques (qui négligent les aspects spirituels et psychol

29 e European way of life ; où l’on entretient vingt organismes de « relations culturelles nationales » mais pas de « relations cultu

30 e urgence. Il exigeait la coopération de tous les organismes préoccupés d’éducation européenne et travaillant déjà dans ce domaine

31 ulture*55. Constitué de représentants de tous ces organismes et de hauts fonctionnaires de plusieurs ministères de l’Éducation, le

32 ent sans doute à réunir ces ressources. 55. Les organismes dont le nom est suivi d’une astérisque * sont ceux qui ont apporté le

33 l’ouvrier n’était que « le complément vivant d’un organisme mort ». Cela correspondait à la période noire de l’industrie, la péri

34 e sont vraiment des créations de notre temps, des organismes en train de naître de la combinaison de forces très diverses qu’il s’

35 , tourisme, etc.) doit dépendre d’un seul et même organisme , l’État, dans les limites d’un seul et même territoire sur lequel cet

36 l’Euratom, le CERN ont pourvu au plus urgent. Ces organismes ont ouvert la voie à des accords commerciaux et monétaires, lesquels

37 régions transfrontalières, c’est-à-dire quelques organismes vivants et utiles, rien n’empêchera ces régions de nouer entre elles