1 ves, va faire place à une juste estimation de nos périls concrets mais aussi de nos chances. Le problème de l’Europe au xxe s

2 peut-être qu’une seule chose : la conscience des périls qu’elle encourt, que tous nos pays courent ensemble, — et la conscien

3 par le fait qu’ils succomberont demain aux mêmes périls , s’ils ne trouvent pas ensemble leur salut. La recherche des origines

4 e précédent. Mais l’Europe est elle-même en grand péril . Les peuples qu’elle a civilisés retournent contre elles les techniqu

5 urope se sent impuissante devant cette montée des périls . Les 325 millions d’hommes qui l’habitent, à l’ouest du rideau de fer

6 s autant que les masses de réaliser la nature des périls menaçant de tous côtés l’ensemble de l’Europe ; — enfin et surtout, p

7 ailleurs si le Centre lui-même, à ses risques et périls , ne tentait de les assumer. Ce qui pouvait être réalisé sans plus att

8 chances d’une paix séparée, mais à ses risques et périls . Lord Northcliffe, le fameux propriétaire du Times, se laisse convain

9 r une conférence, le soir, c’est à ses risques et périls  : toute déclaration publique est obligatoirement suivie d’une discuss

10 prévoir, mais qu’il faut faire, à tous risques et périls , et, faute d’une impossible connaissance, dans l’espérance. Bon usa

11 ui est contraire aux lois de la vie et qui met en péril la vie même, dès qu’on la laisse proliférer sans freins… Il s’agit do

12 ait seule permettre une lutte efficace contre les périls écologiques qui menacent notre continent (pollution du Rhin, de la Mé