1 ce que la renaissance d’une Europe vraiment libre paraît le meilleur moyen possible de prévenir la guerre. La fédération né

2 y a là quelque chose de neuf, plus qu’il n’y peut paraître à première vue. Insistons donc : le Centre fait appel, en tous et en

3 plus saine, quelques conditions simples nous ont paru requises : a) La première rencontre doit être restreinte et non spect

4 ossibles et imaginables celles-là seules qui nous paraissent urgentes et susceptibles de solutions pratiques et rapides ; évitant

5 oute détente à l’Est détendrait ce ressort. D’où, paraît -il, crise de l’idée européenne. On n’oserait affirmer ici que ce rais

6 t-on. Précisément, le régime qui vous est proposé paraît propre à les faire mûrir. Le refuser serait faire perdre à l’Europe l

7 commun. Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition première de toute action concrète et raisonnable en

8 petit groupe de six Sages, dont la composition me paraît tout à fait remarquable4. L’on y trouvait en effet côte à côte des ho

9 fascistes des US » sur le continent. La compagnie paraît assez mêlée. Mais les neutralistes, qui dénonçaient à grands cris la

10 os peuples. ⁂ Objectivement, la situation pouvait paraître , au lendemain de Berlin, l’une des plus favorables que nous ayons véc

11 nale (ou nationale), et cela d’une manière qui me paraît pleine d’enseignements pour l’Europe d’aujourd’hui. Loin d’exiger des

12 ara. Mais pour quelque raison mystérieuse, ils en parurent soulagés. Laissant aux historiens futurs le soin de tirer les conclus

13 légèrement dépassé 3 millions d’exemplaires. Cela paraît considérable quand on est assis dans le bureau central d’un mouvement

14 scandinaves et anglo-saxons. (Ce dernier exemple paraîtra le moins spectaculaire, mais à la réflexion c’est le plus convaincant

15 ère question, portant sur la recherche en soi, il paraît facile de répondre : un homme qui cherche, c’est qu’il n’est pas sati

16 s, la plupart des obstacles existants aujourd’hui paraîtront plus faciles à surmonter, ou même s’évanouiront dans la mesure où ils

17 plus ou moins contrôlés, qui gagnera ? La réponse paraît simple : dans un vrai libre-échange, c’est le plus fort qui doit gagn

18 Que penser, s’ils le lèvent aujourd’hui ? Ce qui paraît certain, c’est que l’échange est une forme de vie culturelle congénit

19 ns sans relâche les conditions concrètes qui nous paraissent nécessaires pour un dialogue authentique : ce rappel définit nos prop

20 ons destiné à la presse et aux critiques musicaux paraîtra prochainement. Enfin, la brochure-programme sera sensiblement amélior

21 soit proposée par le Kremlin. Cette opinion nous paraît mal fondée, pour trois raisons : 1. Il n’est pas exact que les 17 pro

22 cependant, l’hostilité des Slaves envers l’Europe paraît plus forte que leur résistance à l’occupant asiatique : Alexandre Nev

23 ; la revue fut interdite, la suite des Lettres ne parut point ; et pourtant ce causeur subversif qui n’écrivait qu’en françai

24  » L’Europe, qu’il découvre pendant son exil, lui paraît être « au bord de la perdition morale »16. Sa dénonciation de la bour

25 leur revient de droit… La censure de « gauche » paraît ainsi plus totalitaire que celle de l’État. « La censure tsariste, éc

26 nces entre la Russie et les autres pays européens paraît avoir été complet, rapide, et fructueux. Rappelons à cet égard quelqu

27 e Vladimir Weidlé, La Russie absente et présente, paru chez Gallimard en 1949.

28 poser des modes ou formes de dialogue qui ne nous paraissent point passibles des reproches que les dirigeants soviétiques, par leu

29 e, nous tient à cœur. 22. Le Capital de Marx a paru légalement sous les tsars, ainsi que les livres de Gogol, Tolstoï, Go

30 es confusions dans l’opinion publique, telle nous paraît être la tâche à laquelle les initiateurs du congrès de Bruxelles pour

31 5 % du corps électoral) n’a reçu la permission de paraître en URSS. Aux USA, le parti communiste est interdit.   ar. Rougemon

32 re nécessaire, d’une voie médiane, ou comme il me paraît préférable de dire : d’une mise en tension permanente, d’une composit

33 ns le fait bien connu que le monde où nous vivons paraît trop vaste pour nos prises et trop complexe pour notre jugement. L’in

34 Saison 1956. Notre service de presse APEA a fait paraître 170 articles sur les problèmes européens dans sept pays. La charte eu

35 s, auprès desquelles les institutions américaines paraîtront « historiques ». Ils peuvent modeler le régime du xxie siècle, qui f

36 ces communs et une inspiration européenne commune paraît au contraire possible et souhaitable. Le CEC a donc suggéré aux dirig

37 jury ne trouva pas cette fois-ci d’œuvre qui lui parut à la fois adaptée au public des guildes membres (public qui dépasse a

38 de ce canton. C’est ainsi que l’année dernière a paru un livre de lecture qui contient de fort belles pages sur l’Europe pa

39 il existe deux formules également acceptables. Il paraît plus malaisé d’introduire dans la définition la mise en garde demandé

40 tom (par questions et réponses) que le CEC a fait paraître en novembre 1957. Cet opuscule se bornait à une description succincte

41 1955 et 1956, et dont le recueil des travaux doit paraître prochainement en librairie. Il s’est librement inspiré des débats et

42 possibilités d’action qui se dessinent ? Il nous paraît que trois tâches principales devraient désormais requérir la priorité

43 ère moins instructifs que les succès. Un volume à paraître en automne 1959 rassemblera les monographies rédigées sur chaque expé

44 u pool. On peut donc s’attendre que la collection paraisse simultanément en huit langues, dès la fin de 1958. Certains de ses vo

45 ravaux qui se poursuivaient au CEC, le bulletin a paru sous cette forme de 1952 à 1956, à raison de six numéros par an. Dès

46 s, ces bulletins touchent un public plus large et paraissent répondre à des besoins réels. Compte tenu de ces indications, la form

47 n tirage initial moyen de 10 000 exemplaires, qui paraissent annuellement. Sur ces six bulletins, un seul présente l’ensemble des

48 rés à un thème unique. C’est ainsi qu’en 1957 ont paru  : L’Europe s’inscrit dans les faits (en français, allemand, anglais,

49 arché commun a été le seul ouvrage sur le sujet à paraître au moment précis où s’ouvrait le Marché commun. La critique internati

50 l’opinion (et d’abord à ceux qui la font !) nous paraissent être les suivants : — Le renversement de la conjoncture mondiale. L’E

51 lture tout entière. Mais on dirait que la culture paraît à certains si respectable qu’ils n’oseraient jamais la payer… Les Rus

52 monde). Ces deux nécessités, rythme et finalité, paraissent en fait aussi contradictoires que la vie et les raisons de vivre. Bie

53 efficace, en présence de ces contradictions, nous paraît devoir être celle d’un œcuménisme pratique. Elle doit enregistrer les

54 Approuver les quatre méthodes simultanément peut paraître une habileté politicienne (frisant aux yeux de certains la légèreté e

55 utionnels » ne les rendra pas plus sérieux. Il me paraît bien plus intéressant de constater la convergence finale de nos métho

56 e en jeu . Une première version de ce texte avait paru dans Mission ou démission de la Suisse , en 1940. 40. Cf. F. Fontai

57 éparatoire tenue le 9 juin au CEC, à Genève, il a paru nécessaire — sur la foi de nouvelles informations laissant prévoir un

58 acultés, son corps professoral et ses diplômes ne paraît ni souhaitable, ni sérieusement souhaitée. b) Cependant, le double be

59 s sessions d’études. Conclusions 7. Il nous paraît donc que la solution la plus réaliste des problèmes qui ont conduit à

60 on européenne » dont les premiers volumes doivent paraître au printemps 1960, et s’échelonner à raison de 3 ou 4 par an. Les pre

61 sa collection. En revanche, tel autre livre peut paraître important ou utile pour la cause européenne, mais peu « vendable » en

62 plus pénétrant ouvrage d’histoire intellectuelle paru jusqu’à ce jour et traitant de la « problématique » européenne. Curci

63 t dans son sous-titre. L’ouvrage de Gollwitzer me paraît véritablement fondamental. Je n’en sais pas de plus reliable comme di

64 rite d’être complet : pas un auteur valable ne me paraît avoir été négligé. Il comble, notamment, une lacune habituelle dans l

65 usieurs nous ont aidé dans notre tâche. Mais tous paraissent avoir compris — et certains nous l’ont dit expressément — qu’il était

66 re nécessaire, d’une voie médiane, ou comme il me paraît préférable de dire : d’une mise en tension permanente, d’une composit

67 de conceptions morales, etc.). Ces critiques nous paraissent valables pour tout l’Occident. La grande différence entre les USA et

68 te de Gide est traduite en polonais avant même de paraître en volume à Paris. Mais la littérature n’est pas sa vocation. Ses ess

69 dre, mais sa carrière de « politicien privé » lui paraît seule digne d’être retracée dans l’esquisse de ses mémoires. De 1909

70 ongtemps, a cessé de s’intéresser à une cause qui paraît sans espoir. C’est sur cette opinion d’abord que Retinger estime qu’i

71 presse, et les leaders de divers partis. Il fait paraître deux ouvrages sur La Pologne et l’équilibre européen (1916) et sur L’

72 il conseilla sans hésiter la seule mesure qui lui paraissait propre à éliminer les influences étrangères : nationaliser le pétrole

73 ération ne pouvait être retardée. L’avion anglais parut à l’heure prévue. Les passagers et les ballots de courrier furent cha

74 il avait peu d’idées, et celles qu’il exprima me parurent vagues ou fausses, d’ailleurs visiblement improvisées. Pouvais-je lai

75 gré elles, au bien commun. Sa franchise également paraissait incroyable : elle était si directe, et percutante, que ses victimes n

76 rions même pas une vingtaine — chiffre qui nous a paru optimum, c’est-à-dire le plus petit qui permette encore de représente

77 r leur rôle de congressiste. L’art du colloque me paraît être, curieusement, celui qui reste le plus conventionnel à notre épo

78 ent des tensions virtuelles, ou actuelles, qui me paraissent appeler d’urgence le dialogue. Bien entendu, d’autres motifs peuvent

79 a retenu, à de rares exceptions, que les ouvrages parus depuis la dernière guerre. Le critère adopté pour établir cette liste

80 ation sur les sujets opportuns, les ouvrages déjà parus , les auteurs possibles, les projets en cours, et ceux qu’il conviendr

81 u maître actuellement en cours de rédaction (pour paraître en 1964) et le programme de plusieurs stages internationaux. Le premi

82 telles sont les deux conclusions majeures qui me paraissent résulter de notre enquête. C’est dire que la Campagne d’éducation civ

83 e [interventions] (juillet 1963)cr cs Il peut paraître paradoxal qu’au moment où nous nous efforçons de faire une vaste unio

84 rsités. L’effort entrepris ici par M. Bigonnet me paraît donc aller dans le droit fil de notre effort européen. […] Toutes le

85 elle depuis cent cinquante ans. Cette thèse peut paraître pessimiste, peut paraître se rattacher à tout ce qu’on a dit depuis u

86 e ans. Cette thèse peut paraître pessimiste, peut paraître se rattacher à tout ce qu’on a dit depuis un demi-siècle en Europe co

87 nt il y a cinquante ans encore. En Amérique, il a paru et il s’est vendu, en 1960, 360 millions de livres de poche, donc à p

88 ? C’est la « fondation », de type américain. Elle paraît être la formule de coopération idéale entre l’économie et la culture.

89 re à naître. Le moyen pratique d’en sortir nous a paru de nous appuyer sur quelque chose qui existe bel et bien, et qui joue

90 bre 1964)cy cz Le mythe de la tour de Babel me paraît l’un des plus vivants, des plus actuels, et aussi des plus angoissant

91 ’interprétation la plus éclairante de ce mythe me paraît avoir été donnée par Dante, en son Traité de l’éloquence vulgaire, au

92 décrite par Valéry, l’interprétation de Dante me paraît valable pour le monde moderne tout entier. Et à l’intérieur de l’Euro

93 ouvement universel de convergence ? La réponse me paraît évidente. C’est l’Europe, c’est elle seule, qui a déclenché cette évo

94 e séparation, qui est proprement babélique, ne me paraît nulle part plus visible et plus facile à observer, hélas, que dans no

95 ent entreprise. Mais l’Université, dans nos pays, paraît plus florissante que jamais : loin d’être abandonnée, elle attire une

96 u principe de cohérence de notre civilisation, me paraît absolument spécifique de l’Europe. Seule en effet parmi toutes les gr

97 e commun. Le grand problème que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre, parce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire,

98 e ici, celui de l’Université ? Trois solutions me paraissent concevables. a) La première, souvent proposée, consisterait à imposer

99 t échoué, et les raisons de ces échecs répétés me paraissent assez évidentes. La généralité n’est pas une matière enseignable. Ell

100 lime que j’essaie aujourd’hui d’explorer, elle me paraît rendre compte du fait que ce sont les meilleurs spécialistes, c’est-à

101 ombre optimum des participants de tels groupes me paraît être, à l’expérience de nombreux colloques portant sur des sujets int

102 éjà trop grandes universités. L’adjectif petit me paraît intimement lié, en Europe, non seulement à l’optimum de l’efficacité

103 blique, que cette culture seule expliquait. Alors parut un troisième motif d’union : représenter l’Europe comme un ensemble d

104 boutit aux sciences et à la technique moderne. Il paraît indispensable, en effet, d’expliquer aux Occidentaux d’aujourd’hui au

105 ent ces manières et si opposées qu’elles puissent paraître , ces cinq rapports ont une vertu commune qui est de mettre en questio

106 randes roues ou la marche à pied. Ces exemples me paraissent de nature à nous rappeler que le niveau de développement économique d

107 nt pour tous les Européens d’aujourd’hui, et leur paraît à première vue un peu surprenant, si ce n’est inquiétant… J’estime do

108 présente de l’État-nation, le régime à prescrire paraît facile à formuler : Parce qu’ils sont trop petits, les États-nations

109 ons pas : le processus sera très long, et il nous paraîtra nécessairement très lent, au jour le jour. Nous n’en sommes encore, a

110 enne composée d’unités régionales. Cette étape me paraît décisive parce qu’elle marque le dépassement de l’ère des États-natio

111 roi, dictateur ou État républicain. Or ce pouvoir paraît mieux assuré, de nos jours, par les petits États que par les ex-puiss

112 s différente de celle dont je traite ici. Elle me paraît indépendante du problème de l’État-nation, et c’est même tout ce qu’e

113 l’auteur dans l’ouvrage intitulé World Dynamics, paru en août 1971, Wright-Allen Press, Cambridge, Mass. dg. Rougemont De

114 la plus grande précision dans le choix des termes paraîtra requise. On trouvera en fin de numéro nos propres conclusions sur cet

115 isées dans ce domaine et les programmes scolaires paraissent peu conciliables en tant qu’ils traduisent des schémas uniformément i

116 coopération interuniversitaire au niveau régional paraît à la fois plus utile, plus riche de contenus, et moins difficile à ré

117 texte intégral ou le résumé analytique. Elle nous paraît se résumer en trois points.   1. Définition de la région : fonctionne

118 de victoire d’une certaine tendance. Ce qui nous paraît important, c’est qu’une doctrine régionaliste européenne s’élabore au

119 e.   Le Bulletin du Centre européen de la culture paraîtra désormais quatre fois par an : un numéro par saison. Il comportera ch

120 s et les moyens d’aller plus loin. Parallèlement paraîtront sous forme de volumes de 100 à 250 pages des Cahiers mis à la disposi

121 diplômes. Parmi les premiers titres retenus pour paraître en 1974 et 1975 : Henri Schwamm, O. Giarini et H. Loubergé : L’Europe

122 u quinze ans par une révolution non violente peut paraître frustrante à toute une partie de la jeunesse activiste. Je lui répond

123 et de Paris et le désert français, tous les deux parus chez Flammarion, le premier en 1969, le second en 1972. 116. Note de

124 ue déclament les hommes de l’État, dont pas un ne paraît même soupçonner que son discours est démodé depuis cent ans, ceux qui

125 ». Depuis quelques années, le terme d’État-nation paraît entré dans l’usage commun des politologues anglo-saxons de tous bords

126 nier livre d’Herman Kahn, À l’assaut du futur 121 paru chez Laffont en 1973, à Paris : Aujourd’hui nous tenons pour acquise

127 rs siècles. L’existence de ces États-nations nous paraît tellement normale qu’il nous arrive d’oublier que leurs frontières ac

128 ique qui se soit imposée à ces patries, voilà qui paraît interdire la possibilité d’un écrivain qui mériterait d’être appelé s

129 itaire que l’on subit. La position du problème me paraît fausse, non pas seulement parce que le capitalisme (libéral ou non) n

130 s et sociales de tous ordres d’un projet qui nous paraissait « purement privé ». Mais je vois au contraire les promoteurs de la cr

131 Forrester ne tient pas compte d’un facteur qui me paraît responsable plus que tout autre de l’expansion à outrance, je veux pa

132 échanges culturels s’inverse d’une manière qui me paraît définitive. À partir du xve siècle, que fait l’Europe quand elle emp

133 ise d’abord le grand voisin, mais enfin le slogan paraît valoir pour tous…) La modération dans la modernisation, c’est-à-dire

134 nnes. Telles sont les grandes orientations qui me paraissent propres à guider une relance, qu’il faut souhaiter, aussi prochaine q

135 puise dans des articles de presse me concernant, parus en 1948 et en 1950 à Paris. Le premier me décrit en ces termes : « Pe