1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
1 n’est pas insoluble, à notre avis. La musique, la peinture et la littérature, comme les sciences et la philosophie, naquirent sa
2 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
2 tains de ses représentants les plus illustres. La peinture russe, même celle qui, en la personne d’un Ivanov, d’un Sourikov ou d
3 gieuses, n’a pas retrouvé le chemin de la vieille peinture d’icones et n’est parvenue à exprimer l’esprit national qu’à travers
4 nt encore à peine connus en France, tandis que la peinture et la littérature françaises y furent accueillies plus chaleureusemen
5 vgorod, Vladimir, Moscou. La « découverte » de la peinture française moderne rendit possible celle des icônes. Rien de ce qui fu
3 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
6 enquêtes en commun ; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres musicales modernes, projections
7 tes européens pouvons redouter, également, que la peinture inspirée par le « réalisme socialiste » n’entraîne l’adhésion soulagé
8 e succès et d’efficacité de telles expositions de peinture contemporaine (russe chez nous, européenne en URSS) résidera donc dan
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
9 u. Il se déclare surpris par « l’uniformité de la peinture soviétique » (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres
5 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
10 pe de branches importantes de la culture comme la peinture et la musique a suivi, au cours des âges, à peu près les grands axes
11 les grands axes du commerce et de l’économie. La peinture et la musique qui se développent en Italie du Nord au xiv e siècle et
6 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
12 ès particulièrement de l’histoire des arts, de la peinture et de la musique. Au risque d’empiéter sur le domaine de MM. Weidlé e
13 imposant leurs œuvres à Paris… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, t
14 cles après sa mort. Qu’il s’agisse de musique, de peinture , d’architecture, de philosophie ou de science, pour ne rien dire de l
15 de nos nations actuelles. Il n’y a pas plus de «  peinture française » que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviéti
16 Tout le monde n’a pas besoin de se consacrer à la peinture ou à la musique ou à la littérature et d’en faire sa carrière, mais t
7 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
17 utes les figures de la rhétorique. (De même qu’en peinture , le tableau, le portrait, l’exposition, le musée ; ou en musique l’ha
18 de ces styles et mouvements dans tous les arts : peinture , sculpture, architecture, musique. Là encore, l’unité nationale joue
19 existe plus au xxe siècle : l’École de Paris, en peinture , n’est pas « française », et le style dodécaphonique ou sériel n’est