1 s un groupe de discussion, réunissant juristes et penseurs politiques d’écoles et de tendances variées, qu’anime un idéal précis

2 ne voit pas le Conseil de l’Europe désignant des penseurs attitrés et leur imposant une doctrine avant de les envoyer parler au

3 avant de les envoyer parler aux Russes ! Plus ces penseurs seraient « représentatifs » d’une doctrine officielle d’ailleurs inex

4 Les premiers slavophiles, disciples des grands penseurs allemands de Fichte à Hegel, étaient les premiers partisans, en Russi

5 Sibérie, Tchaadaïev dans un asile de fous, et les penseurs politiques en exil20, et si elle contraint les idées sociales à se ré

6 ce fut le cas en Erance). Un groupe important de penseurs religieux, de Soloviev à Berdiaev, en passant par Fedorov, Boulgakov,

7 llement le pessimisme à la mode… d’hier, chez nos penseurs et philosophes. Il est clair que les esprits créateurs resteront touj

8 et quelle doctrine les écrivains, philosophes et penseurs politiques allemands du xviiie et de la première moitié du xixe siè

9 y a béance. Et par exemple : nos ministres et nos penseurs vivent aujourd’hui dans des temps différents. Les discours des premie

10 ntre européen de la culture : « L’Itinéraire d’un penseur engagé », Genève, janvier 1977, p. 17-18.