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Torrès-Bodet n’a rien eu de diplomatique, que ce
poète
, ministre, et grand éducateur est parti en claquant la porte, non san
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es enfants russes de bonne famille. Le plus grand
poète
du pays avouait que le français lui était plus familier que sa propre
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pirituelle de la Russie future. Il lit les grands
poètes
occidentaux afin de les acclimater dans cette contrée nouvelle ; il s
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a-t-il autant voyagé, jamais les traductions des
poètes
, des romanciers, des historiens, des philosophes occidentaux n’avaien
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ne du 25 décembre 1955, il pourrait ajouter à la
poétesse
de huit ans les jeunes Russes de 4 à 18 ans qui exposent dans une gal
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r son roman Kimmerische Fahrt, et Czesław Miłosz,
poète
polonais, déjà célèbre dans son pays, mais récemment réfugié à l’Oues
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me allemand, Hegel et Fichte, puis chanté par les
poètes
« nationaux » du xixe siècle, ne pouvait être véritablement inculqué
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ts, hommes politiques, historiens, philosophes et
poètes
de presque toutes nos langues. On a reproché à cet ouvrage de suggére
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achette, où règne derrière son monocle à ruban le
poète
Jean Moréas, qui chaque soir salue l’entrée de Joseph en déclamant un
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de la communication ou communion. Un peintre, un
poète
, un musicien, veut d’abord dire ce qu’il est seul à pouvoir dire (sur
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spécifique d’une langue, celui qu’en fait un vrai
poète
, qu’apparaît dans toute sa fécondité la communauté littéraire de l’Eu
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s, selon lui, est la langue la plus riche pour un
poète
, parce qu’elle combine la plus grande diversité de sources et d’influ