1
d’abord sur les esprits et sur les cœurs. Le vrai
problème
est là. Problème d’éducation, d’information patiente, de culture. Et
2
sprits et sur les cœurs. Le vrai problème est là.
Problème
d’éducation, d’information patiente, de culture. Et le reste viendra
3
t non point à l’idéalisme ignorant le concret des
problèmes
; mais au contraire, à une juste appréciation de l’utilité et de la n
4
tionnaires chargés (malgré eux, bien souvent) des
problèmes
réputés secondaires de la culture. Ils tentent de s’en tirer en conse
5
sme perd son urgence dans le domaine culturel, un
problème
d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ensemble de la v
6
semble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le
problème
de l’influence américaine. L’Amérique, fille de l’Europe Lors de
7
enracinées. Le malaise Il n’y aurait pas de
problème
ou plutôt pas de malaise, ou en tout cas, le problème des rapports en
8
lème ou plutôt pas de malaise, ou en tout cas, le
problème
des rapports entre ces deux cultures en filiation n’aurait rien d’irr
9
menté dans un sens favorable. Il est clair que le
problème
des relations « culturelles » — au sens le plus large du mot — entre
10
ues ? Les hommes politiques qui se préoccupent du
problème
de l’union de nos pays considèrent que l’Europe doit être unie pour d
11
objet de luxe (croit-on), pour se pencher sur les
problèmes
bien plus « urgents » que pose l’attitude des conservateurs anglais,
12
parlements : — et tout cela donne de passionnants
problèmes
d’arithmétique électorale pour chaque parti de chaque pays, et « voil
13
ase des partis politiques, il faut renvoyer les «
problèmes
culturels » à plus tard. 2. Mais d’autre part, on peut penser que l’E
14
ploitent, les ouvriers qui les produisent, et les
problèmes
électoraux qui en résultent : tout cela n’est que résultats ou contre
15
de participation sans une prise de conscience des
problèmes
de l’Europe en relation avec nos vies quotidiennes ; enfin pas de sen
16
la culture, force principale de l’Europe. Tout le
problème
européen se ramène donc à celui de l’accès des masses à la culture (d
17
litaires (qui eux, au moins, n’ont pas négligé le
problème
!). Mais au contraire, en vue de former des hommes conscients et en m
18
ndu, que l’on ne pense pas : l’Europe n’est qu’un
problème
politico-technocratique, et rien de plus pour le moment. Le rôle du C
19
une espèce de mal nécessaire, un de ces irritants
problèmes
périphériques qui viennent encore s’ajouter aux problèmes harrassants
20
s périphériques qui viennent encore s’ajouter aux
problèmes
harrassants de la lutte des partis, de l’économie, de la défense, et
21
u’ils ne sont pratiquement pas joués. De nombreux
problèmes
de critique musicale, qui devraient être discutés sur un plan interna
22
ntre la technique et le style, etc., ainsi que le
problème
du langage commun. Après une vive discussion, le titre suivant, propo
23
nos périls concrets mais aussi de nos chances. Le
problème
de l’Europe au xxe siècle, en butte à l’hostilité croissante des aut
24
on mais déjà parvenue à la veille de s’unir, — ce
problème
va nous apparaître dans sa plus nue réalité. Comment rendre à notre c
25
Federalist comme à une sorte de jurisprudence des
problèmes
institutionnels. Or, voici que dans le onzième article ou, si l’on ve
26
ues » de l’Est et de l’Ouest, elle perd de vue le
problème
européen, qu’elle commençait tout juste à distinguer. Depuis deux moi
27
cette conjoncture angoissante ? Hiérarchie des
problèmes
Les manchettes des journaux nous cachent l’Histoire comme l’arbre
28
agi pour l’union, « incapables de résoudre leurs
problèmes
nationaux, tentent lâchement de les transposer au plan européen ». Je
29
plan européen ». Je constate au contraire que ces
problèmes
(l’armée, les colonies, l’économie) sont sans issue dans le cadre nat
30
s politique, qui est le sens de la hiérarchie des
problèmes
. Si chaque nation pouvait surmonter à elle seule toutes ses difficult
31
sur quatre dépêches importantes vous parlent du «
problème
européen ». Il y a la CED et la CECA, bien sûr ; mais voyez les repor
32
r le Conseil de l’Europe aux fins de définir « le
problème
spirituel et culturel de l’Europe considérée dans son unité historiqu
33
enfin d’un foyer de réflexion permanente sur nos
problèmes
communs et de diffusion raisonnée des résultats de cette recherche. C
34
certains thèmes dominants. Mis aux prises avec un
problème
, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une m
35
avais donc suggéré aux rapporteurs d’envisager le
problème
européen dans une perspective telle que les graves divisions national
36
ciations gouvernementales, exposa sans passion le
problème
brûlant des relations entre la souveraineté nationale (ou ce qui en r
37
n agent d’union de l’Europe ? — Certes. — Mais le
problème
de l’Union n’est-il pas surtout politique et économique ? Et la crise
38
n historique, et cette inconscience tragique ? Le
problème
est en réalité « culturel » au sens large du mot : c’est un problème
39
lité « culturel » au sens large du mot : c’est un
problème
d’éducation. C’est un problème qu’un organisme comme le Centre a just
40
du mot : c’est un problème d’éducation. C’est un
problème
qu’un organisme comme le Centre a justement pour raison d’être de pos
41
n plan « régional » (en l’occurrence européen) de
problèmes
soulevés ou traités par le Centre : laboratoire européen de recherche
42
cales d’Extrême-Orient, afin de nous détourner du
problème
préalable qui reste, de toute évidence, l’union de l’Europe, conditio
43
ffaires. L’Indochine ne vous regarde pas, mais le
problème
allemand nous intéresse beaucoup… Un scandale historique Le col
44
naire. En fait, elle a tranquillement supprimé le
problème
de la souveraineté cantonale (ou nationale), et cela d’une manière qu
45
ont restés nos peuples et leurs élites, devant le
problème
européen ? Notre programme Si l’on a fait si peu pour éduquer e
46
ue le flot russe menace de les submerger tous. Le
problème
franco-allemand reste insoluble dans son plan. En revanche, il se tra
47
En revanche, il se transforme et se résout en un
problème
européen commun dès que l’on envisage la position de l’Europe entre l
48
rienter les espoirs et les volontés, à situer les
problèmes
à leur véritable échelle, et à mettre en relation les forces dispersé
49
ences, de l’éducation et de la presse. Situer nos
problèmes
dans le monde d’aujourd’hui, c’est l’office des dialogues intercultur
50
he en général, je me tournerai maintenant vers le
problème
particulier de la recherche occidentale. La civilisation qui est née
51
des masses plus de sécurité et beaucoup moins de
problèmes
que nos libres démocraties. (C’est là tout le secret du succès provis
52
loisirs, qui deviendront l’essentiel de sa vie ?
Problème
immense et tout nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes écon
53
se et tout nouveau, qui viendra se substituer aux
problèmes
économiques et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan l
54
s Européens Il est donc évident que le nœud du
problème
est dans l’attitude morale des Européens eux-mêmes. À défaut d’une pr
55
, ces principes, comment les appliquons-nous ? Le
problème
qui est ainsi posé n’est-il pas l’occasion d’un débat, qui ne conduir
56
l’Ouest jusqu’en 1917, servira d’introduction au
problème
actuel des échanges avec l’URSS. Il sera suivi d’un examen documenté
57
ue de l’orthodoxie, réinterprète en profondeur le
problème
des relations Est-Ouest, et tente une vaste synthèse des valeurs reli
58
re de compositeurs et musicologues, examinant les
problèmes
de la musique contemporaine, et son rôle dans les sociétés d’aujourd’
59
vice des œuvres sociales et éducatives de l’YMCA (
problèmes
des réfugiés et émigrés en Europe) puis de l’Unesco (problèmes de la
60
réfugiés et émigrés en Europe) puis de l’Unesco (
problèmes
de la jeunesse). Il assume également la tâche d’organiser et de réali
61
yers de culture et des articles consacrés à leurs
problèmes
, témoignant de notre souci constant d’animer, dans le champ si vaste
62
énérale à ces projets. Il se propose de situer le
problème
d’une éducation pour l’Europe. Historiquement d’abord, afin de montre
63
chnologique du xxe siècle. Enfin, par rapport au
problème
brûlant de l’union fédérale de nos peuples. De là les trois articles
64
d’un point de vue plus militant, quelques-uns des
problèmes
concrets que rencontrera toute tentative « d’éducation pour l’Europe
65
urope ». L’essentiel était pour nous de situer le
problème
et d’orienter le lecteur. Nous avons constaté, en effet, que le grand
66
l en résulte que le grand public voit très mal le
problème
éducatif dans son ensemble et dans ses contextes sociaux et politique
67
e rappeler succinctement ces données générales du
problème
, afin de définir l’esprit dans lequel viennent d’être élaborés les pr
68
dirons donc, pour rester dans le concret, que le
problème
le plus urgent de l’époque est de former des responsables. (Tout en g
69
conflit Est-Ouest, la conjoncture économique, le
problème
colonial, l’automation, l’électronique, l’énergie nucléaire et solair
70
t d’élire un député qui devra, lui, voter sur des
problèmes
nouveaux, qui lui échappent d’ailleurs tout autant qu’à son électeur
71
l, l’information générale sur le monde et sur les
problèmes
de l’Europe peut s’illustrer d’une manière efficace au moyen d’exempl
72
tableau de l’éducation en Europe, et signalé les
problèmes
généraux qui se posent dans ce domaine, au xxe siècle. Cette orienta
73
ire nous permettra maintenant de mieux définir le
problème
urgent et vital d’une éducation pour l’Europe. Nous entendons par là
74
large où nous prenons le mot), voilà qui pose des
problèmes
passionnants pour le très petit groupe de collaborateurs formant l’éq
75
suite, il faut chercher les hommes que tel ou tel
problème
devrait intéresser, les persuader de venir — et qui, de nos jours, n’
76
presse APEA a fait paraître 170 articles sur les
problèmes
européens dans sept pays. La charte européenne du sportif est désorma
77
former. Tout se ramène donc, une fois de plus, au
problème
de l’éducation. C’est vers lui que s’oriente notre effort principal,
78
édération de tous les organismes poserait plus de
problèmes
qu’elle n’en résoudrait. Mais leur offrir des services communs et une
79
demande la documentation requise pour l’étude des
problèmes
européens ; enfin, il publie sous le titre Notes et études un bulleti
80
qui se préoccupe d’informer les Européens sur les
problèmes
vitaux de leur avenir immédiat, sur les résultats des recherches qui
81
eur relative que si l’on connaît mieux l’état des
problèmes
dans notre civilisation, et l’ensemble des efforts qui se poursuivent
82
nes d’épaisses ou minces publications traitant de
problèmes
européens très généraux ou très particuliers ; cinq ou six gros ouvra
83
eut se mettre à lire les journaux, à discuter les
problèmes
politiques avec les aînés qui s’y connaissent, ou à lire pour son com
84
uit aujourd’hui, tout naturellement, à étudier le
problème
de la formation européenne à l’école et dès l’école, c’est-à-dire aux
85
s uns et les autres à quelques-uns des principaux
problèmes
qui se posent aux organisateurs de festivals. Le nombre et la nature
86
n franc succès ; elle montre à l’évidence que les
problèmes
posés par l’existence des festivals tiennent une place importante dan
87
ce importante dans la vie de notre temps. ⁂ Quels
problèmes
? dira l’amateur qui se contente bien de son plaisir. Qu’il songe pen
88
à un nombre croissant d’hommes et de femmes. Les
problèmes
de la culture, de la promotion culturelle de couches populaires élarg
89
hez les uns, pour la musique chez d’autres… Le
problème
d’un jury est posé Formuler une définition « idéale et normative »
90
de « festival » semblait propre à concrétiser le
problème
. Elle ne pouvait manquer de provoquer les réactions animées et contra
91
l’Europe. La musique n’aidera pas à résoudre les
problèmes
de l’union politique de nos peuples, mais elle atteste mieux que la s
92
tique, nous retrouverons toujours le même type de
problèmes
: unir sans uniformiser, maintenir les différences au sein d’une harm
93
rmer dans son autonomie locale. C’est en somme le
problème
que posait, dans le domaine propre aux festivals, le troisième paragr
94
tes les deux. Cela ne résout, bien entendu, aucun
problème
pratique une fois pour toutes. Mais cela montre en tout cas que le do
95
1955). 1951. Première réunion pour l’étude des
problèmes
européens du Cinéma. — Première réunion des directeurs de dix guildes
96
es personnelles, et presque de méditation, où les
problèmes
de l’homme européen seraient débattus par les plus hautes compétences
97
les à s’intéresser d’une manière très concrète au
problème
européen. Dès 1957, le CEC enregistre les effets de ce changement d’a
98
e (rurale et industrielle) en plein essor, où les
problèmes
du Marché commun vont se poser d’une manière très concrète. Exécutio
99
mener une enquête sur « la population devant les
problèmes
d’autonomie ». Un groupe d’experts internationaux constitue le Comité
100
’état actuel de l’intégration européenne, sur les
problèmes
éducatifs que pose cette intégration et sur certaines techniques part
101
aux du Bulletin du CEC ont déjà été consacrés aux
problèmes
éducatifs : Pour une éducation européenne (avril-mai 1956) et L’Eu
102
ropéenne » comportant des ouvrages variés sur les
problèmes
d’ensemble de l’Europe. Ces ouvrages seront publiés simultanément en
103
et la traduction immédiate d’ouvrages traitant de
problèmes
européens, le CEC a conçu dès 1956 le plan d’une Collection européenn
104
ondation européenne de la culture et celui sur le
problème
des échanges culturels Europe-URSS. Traduits en deux ou trois langues
105
nt sous une forme condensée les divers aspects du
problème
de l’union, ce numéro, dont le tirage atteignait 75 000 exemplaires e
106
. Équilibres humains et névroses « culturelles ».
Problème
des hiérarchies, etc. bq. Rougemont Denis de, « Le bulletin du Cen
107
. On ne coule pas un homme dans un moule. Le vrai
problème
d’une formation européenne se ramène en fait au problème de détecter
108
e d’une formation européenne se ramène en fait au
problème
de détecter des vocations, des compétences ou des promesses humaines,
109
, par suite, auront compris que les solutions aux
problèmes
qu’ils se posent impliquent un cadre supranational : ce ne peut être
110
asion de travailler ensemble en tenant compte des
problèmes
concrets, non des passeports. Historiens, physiciens, biologistes, éc
111
era. Seuls jusqu’ici, les communistes ont pris ce
problème
au sérieux, avec le succès que l’on sait. Dans les deux cas — coopéra
112
i comptent vraiment, et de situer l’Europe et ses
problèmes
dans le grand jeu mondial des forces de l’époque, de manière à faire
113
recherches et de documentation, se consacrent au
problème
européen dans huit de nos pays (leur liaison étant assurée par le sec
114
ule négocier avec force et succès la solution des
problèmes
différents qui se multiplient autour de nous, tels que la libération
115
ter nos peuples d’un pouvoir politique commun. Le
problème
de l’union politique domine tout. Or c’est là justement que nous somm
116
s une préface au bel ouvrage d’Olivier Philip, Le
Problème
de l’union européenne, p. 10. bt. Rougemont Denis de, « Positions,
117
o du Bulletin du CEC est entièrement consacré aux
problèmes
posés par l’enseignement européen supérieur, et notamment par les div
118
universitaires « européistes » en présence de ces
problèmes
, soit : — les rapports préparatoires, — un résumé des débats, — le te
119
t postuniversitaire (juillet 1958)bx Le vrai
problème
1. Partons de deux constatations de base : a) Une « Université eur
120
sur la nécessité de réserver une large part à des
problèmes
de culture générale, pendant les semaines ou mois que comportent les
121
ausanne en 1959, consacrera un tiers du temps aux
problèmes
technologiques, deux tiers aux questions européennes : historiques, p
122
ns, hygiénistes, etc., qui ont à faire face à des
problèmes
professionnels se posant à l’échelle européenne, trouveraient là le l
123
paraît donc que la solution la plus réaliste des
problèmes
qui ont conduit à évoquer l’idée d’une Université européenne devrait
124
ie de stages d’études professionnelles. 8. Deux
problèmes
à discuter. I. Un tel Centre devrait être ouvert en principe aux Euro
125
s mass médias (mai 1959)by Laissant de côté le
problème
de l’estimation quantitative des loisirs dans la société de demain, j
126
lu que dans un seul pays, en une seule langue. Le
problème
concret qui se pose à l’écrivain « européen » est donc de trouver les
127
ts dont il expose les intérêts communs. Quant au
problème
de l’éditeur, il consiste d’abord à découvrir ce qui est valable et n
128
ur la cause de l’Europe. Enfin, n’oublions pas le
problème
particulier des organismes européens, tant officiels que privés : les
129
pres à développer une meilleure compréhension des
problèmes
fondamentaux européens ou à illustrer le génie de l’Europe ». La prés
130
éen simultanément en huit langues. Les principaux
problèmes
signalés tout à l’heure, celui des auteurs traitant de l’Europe, celu
131
cations. bz. Rougemont Denis de, « Editeuropa :
problèmes
et promesses d’une formule neuve », Bulletin du Centre européen de la
132
ue les écrits du passé, commentés en fonction des
problèmes
majeurs de leur temps. Curcio n’a pas voulu refaire, après tant d’aut
133
posé, regardons notre époque et le concret de ses
problèmes
. Voici le tableau, tel qu’il s’offrait à nous il y a dix ans. À l’idé
134
duits. Chaque groupement national croit avoir ses
problèmes
uniques, parce qu’il ignore ceux des autres, et prétend les résoudre
135
Europe un lieu où l’on se préoccupe de poser les
problèmes
communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus ta
136
multipliés au point de poser à leur tour un grave
problème
de coordination… et de financement ; et les déclarations d’intention
137
960 voient donc apparaître, en réponse à ces deux
problèmes
nouveaux, d’une part des fondations (Genève, puis Amsterdam, Bruxelle
138
e une bibliothèque d’ouvrages spécialisés sur les
problèmes
européens. L’action du CEC, en tout ceci, a parfois été décisive, enc
139
’existe pas en théorie, mais qu’elle répond à des
problèmes
concrets. En voici trois, qui se posent avec une insistance croissant
140
éraux, et de ce qu’elle veut de l’homme. C’est le
problème
de l’Éducation qui se pose ici dans son ampleur et son urgence. Depui
141
l’éducation occidentale au xxe siècle ? C’est le
problème
unique que je me pose ici, et je crois qu’il n’est pas impossible d’y
142
la discipline ? Prenez n’importe lequel de nos
problèmes
traditionnels ou modernes, sociaux, éthiques ou même économiques, et
143
errez qu’ils se rattachent tous, en Europe, à des
problèmes
de dosage, d’équilibre vivant entre ces éléments. Le problème de la d
144
dosage, d’équilibre vivant entre ces éléments. Le
problème
de la discipline scolaire par exemple. En faut‑il plus ou moins ? Fau
145
ation générale et formation technique Un autre
problème
, plus nouveau, se pose à l’éducateur européen de notre temps : c’est
146
x et de fonctionnaires, au mieux technocrates. Le
problème
urgent qui se pose est donc celui de la promotion d’un civisme europé
147
r être significative. Elle ne vise qu’à situer le
problème
d’une formation civique européenne dans ses divers contextes nationau
148
aurer, et sur le sens social. En Allemagne, mêmes
problèmes
concernant l’héritage nazi et l’acquisition de réflexes démocratiques
149
l’ensemble européen dont il est une province.
Problèmes
communs et déficiences communes Ces variations ou oppositions nati
150
général de l’enseignement civique en Europe, ses
problèmes
communs et ses déficiences communes. Mes remarques introductives n’ay
151
s devoirs qu’on lui a enseignés, à faire face aux
problèmes
concrets de la vie civique. Rien qui relie le civisme à autre chose q
152
voirs de chacun, puis s’arrêtent au moment où les
problèmes
concrets vont se poser. Celui-ci me demande dès la première ligne : «
153
prend à l’élève comment chercher à comprendre les
problèmes
généraux et comment discuter les questions pratiques soumises au vote
154
ent qui doit nous engager à prendre conscience du
problème
d’un civisme européen. Ils ne disent pas, et ils ne peuvent pas dire,
155
ors, il verra dans l’Europe non plus seulement un
problème
politique, mais le pays de son avenir, quelque chose à aimer si l’on
156
de la presse et de l’opinion sur l’existence d’un
problème
polonais. Retinger obtient l’appui de quelques riches Anglais d’origi
157
vra l’accomplir en passant d’abord chez l’ennemi.
Problème
urgent : comment quitter l’Autriche en guerre, avec un passeport autr
158
à l’intérieur de nos pays, puis de faire face aux
problèmes
immenses que posent les relations entre l’Europe et le Monde. Lui qui
159
ers le plus grand Ensemble. Dans les deux cas, le
problème
consistait à créer de toutes pièces un capital d’Histoire, sans avoir
160
ni sur l’intérêt qu’il portait aux hommes et aux
problèmes
, ni même sur les plans et les projets qu’il élabora jusqu’au dernier
161
moyens les plus efficaces de cette fin ; 2° qu’un
problème
tout à fait analogue se posait aux nouvelles nations de l’Afrique et
162
rté ; recherche d’une éthique commune ; examen de
problèmes
politiques et sociaux replacés dans le contexte spirituel d’une cultu
163
moins « dialogique » par sa nature même. Mais son
problème
majeur, qui est celui de l’intégration de la civilisation technicienn
164
pelle le dialogue avec l’Europe, et le partage du
problème
avec d’autres régions en situation analogue. Autre exemple : la cultu
165
aissante de l’Afrique noire doit faire face à des
problèmes
d’éducation qui nécessitent évidemment les échanges, mais d’abord à u
166
sitent évidemment les échanges, mais d’abord à un
problème
de prise de conscience d’elle-même que le dialogue avec l’Europe, l’A
167
iographies et bibliothèques sont si riches que le
problème
est moins de les multiplier que d’arriver à les utiliser. Enfin, les
168
ier à la satisfaction générale, sans qu’aucun des
problèmes
de fonds et d’ensemble soit touché. Le Dialogue des cultures doit s’é
169
s’établir entre des ensembles, et porter sur des
problèmes
vivants : attitudes fondamentales, conflits actuels, besoins organiqu
170
gent les aspects spirituels et psychologiques des
problèmes
) ; ou de firmes privées (qui envoient les représentants qu’elles ont
171
es les autres régions non européennes, posent des
problèmes
non moins urgents et importants, quoique beaucoup moins étudiés jusqu
172
Amérique latine. Cette dernière ne connaît pas de
problème
des races, mais des problèmes de développement industriel et éducatif
173
re ne connaît pas de problème des races, mais des
problèmes
de développement industriel et éducatif, d’inégalité sociale, et cont
174
t difficile de trouver un dénominateur commun aux
problèmes
de l’Inde et à ceux du Japon, par exemple, ou de la Chine. Au surplus
175
eux se connaître, parfois même à se découvrir. Le
problème
n’existe guère pour des ensembles comme l’URSS et les USA, qui sont f
176
faire face avec des moyens plus amples aux vrais
problèmes
du siècle : éducation des masses ; lutte contre le matérialisme que p
177
ivités, œuvres créées, institutions, tendances et
problèmes
) ; — contribuer à définir et à mettre en lumière les valeurs communes
178
communes propres à toute une région, étudier les
problèmes
spécifiques de cette région ; offrir un lieu de rencontre et de coopé
179
e coopération aux hommes qui peuvent résoudre ces
problèmes
; puis placer les résultats de ces travaux à la disposition des respo
180
ies critiques des livres et articles traitant des
problèmes
de la région. (Exemple : le CEC a publié une première bibliographie d
181
urs propres de sa culture — Séminaires sur les
problèmes
communs à tous les pays de la région : intégration économique ou poli
182
et leur connaissance des réalités humaines et des
problèmes
de la région. 3. Relais, « clearing houses », points d’appui pour
183
le que l’on vient d’esquisser pose évidemment des
problèmes
de personnel, de financement et de statut juridique, qui varient cons
184
région. Il ne nous appartient pas de discuter ces
problèmes
dans le présent papier, qui ne veut qu’introduire le sujet. Le colloq
185
fisamment pourquoi le CEC, aujourd’hui, aborde le
problème
immense du dialogue entre les cultures. Ici, dans cette maison, nous
186
ersonnes, pour débrouiller scientifiquement notre
problème
. Mais quoi ! Si nous étions des centaines, nous ne pourrions pas même
187
d que nous sommes tous conscients de l’urgence du
problème
, d’accord sur sa position générale et clairement convaincus de la néc
188
. Il importe que chaque région décrive son ou ses
problèmes
majeurs, mais indique aussi ce qu’elle attend des cultures différente
189
nous entendre. Il y a eu une première position du
problème
par Bertrand de Jouvenel, que j’ai trouvée extrêmement heureuse : « N
190
, dans toutes nos cultures différentes, d’un même
problème
qui est l’industrialisation, la technique. Je parlais dans mon introd
191
térature et linguistique — Religion — Éducation —
Problèmes
politiques de l’Union — Aspects juridiques — Institutions — Fédéralis
192
dans toutes nos universités et qui traitent d’un
problème
européen. Vers une Semaine européenne du livre De cette bibliogr
193
a part et à son tour redécouvre le continent, ses
problèmes
et les solutions proposées à ces problèmes depuis des siècles, ou de
194
t, ses problèmes et les solutions proposées à ces
problèmes
depuis des siècles, ou de nos jours. Chacun brûle d’apporter au débat
195
notre monde. Mais publier tout cela pose un autre
problème
, et c’est aux éditeurs qu’on voudrait demander de se montrer plus dif
196
ieux quelles sont les lacunes à combler, et quels
problèmes
nouveaux attendent d’être traités. Ils pourraient établir une politiq
197
x et de fonctionnaires, au mieux technocrates. Le
problème
urgent qui se pose est donc celui de la promotion d’un civisme europé
198
ssionnelle et d’une réflexion quotidienne sur les
problèmes
proposés par l’ordre du jour. La spontanéité de leurs interventions e
199
aspects administratifs, politiques et civiques du
problème
des métropoles. Fort heureusement, un autre colloque en avait traité
200
de progrès technique, sans ouverture d’esprit aux
problèmes
philosophiques, par exemple, et même, dirait M. Oppenheimer, aux prob
201
par exemple, et même, dirait M. Oppenheimer, aux
problèmes
esthétiques. Les Soviétiques, eux-mêmes, ont découvert cela récemment
202
vriers à la chaîne du xix e siècle. Mais c’est un
problème
d’éducation. Un phénomène analogue se produit dans l’évolution des te
203
ns les conversations qui suivront ce colloque, le
problème
de la métropole à la fois culturelle et économique, et le problème de
204
tropole à la fois culturelle et économique, et le
problème
des responsabilités de ceux qui entreprendront de l’animer. cr.
205
décidé de commencer par l’École et d’attaquer le
problème
concret avec l’aide des enseignants. ⁂ Une première réunion s’est ten
206
e, faisant preuve d’une compréhension réaliste du
problème
. L’enquête a fait voir : 1° Un désintéressement flagrant des élèves p
207
décrire les institutions mais ne présente pas les
problèmes
vivants et réels de la vie publique ; 3° Le besoin partout reconnu d’
208
de ceux, d’abord, qui ont pris conscience de ces
problèmes
. Par des stages de discussion, d’information, d’expérimentation dans
209
. Le rôle de chaque stage est : 1° de discuter le
problème
de l’enseignement civique dans un domaine précis, dans une branche ex
210
ralité des langues, Dante a posé implicitement le
problème
beaucoup plus général de ce qui divise les hommes depuis l’aube des t
211
xorablement, le spécialiste. Essayons de poser le
problème
dans son ensemble, à l’échelle planétaire. Nous assistons, me semble-
212
oici de moins en moins armés pour y répondre. Le
problème
qu’on soulève ici, et qui est celui du principe de cohérence de notre
213
en discutent sachent que la dialectique de leurs
problèmes
actuels sur le temps, la matière et sa constitution, est étrangement
214
hes sans références à un langage commun. Le grand
problème
que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre, parce qu’elle seu
215
et du Divers également réels et valables, dont le
problème
des relations entre savoirs spécialisés et synthèse de nos connaissan
216
eule possible et désirable. ⁂ Comment résoudre ce
problème
dans le cadre qui nous intéresse ici, celui de l’Université ? Trois s
217
’une discipline particulière va déboucher sur des
problèmes
qui relèvent d’autres disciplines, parfois connexes mais souvent très
218
éconiser, si nous voulons tenter de faire face au
problème
posé par l’accroissement babélique de la spécialisation. Sur le probl
219
roissement babélique de la spécialisation. Sur le
problème
de l’explosion des effectifs universitaires, je n’aurais guère à prop
220
est petit, y compris les universités. Mais sur le
problème
de l’explosion du savoir, dont je vous ai plus longuement entretenu,
221
e et privée de l’unité culturelle en question. Le
problème
des possibles convergences entre l’Orient et l’Occident, c’est-à-dire
222
nces éprouvées pourrait aider sinon à résoudre le
problème
, du moins à définir ses termes, à décrire ses vraies dimensions, à mi
223
ise au sérieux, la prise de conscience commune du
problème
symbolisé par l’ellipse Europe-Monde. Le groupe a commencé par établi
224
arisme — phénomène typique de notre culture —, du
problème
des missions, et des vieux clichés sur le « matérialisme occidental »
225
s : l’influence de la technique sur les mœurs, le
problème
de l’équilibre humain dans le monde technique, l’urbanisme, le statut
226
emme en Occident et dans le tiers-monde, enfin le
problème
de la population. Les publicistes à gros tirage et Lord Russell nous
227
l’ampleur des objectifs de ce congrès, et que le
problème
que nous allons aborder est si vital, si central, et disons-le, si fo
228
st inquiétant… J’estime donc opportun de poser le
problème
en toute franchise, au seuil de ce stage. Et comme c’est un problème
229
ranchise, au seuil de ce stage. Et comme c’est un
problème
qui résulte à mon avis d’une double erreur très courante sur la fonct
230
sse du citoyen actif ou de l’artiste créateur, le
problème
est le même dans sa forme et dans ses étapes dialectiques. Il s’agit
231
arables, terme à terme. ⁂ Revenant maintenant aux
problèmes
plus spécifiques de l’enseignement des arts, je voudrais formuler que
232
rché commun notamment, enfin par l’existence d’un
problème
chaque année plus aigu, celui du sous-développement de nombreuses et
233
a vie politique qu’ils prétendent monopoliser. Le
problème
du petit État dans le monde des Grands, c’est en vérité le problème d
234
État dans le monde des Grands, c’est en vérité le
problème
de tous les États du monde sauf trois, c’est-à-dire d’environ cent-tr
235
s d’Europe sur les grandes nations étatistes. Le
problème
de l’union de l’Europe à partir des États-nations paraissant insolubl
236
n renoncer à l’union et alors il n’y aura plus de
problème
, ou bien modifier les données mêmes du problème, c’est-à-dire cherche
237
e problème, ou bien modifier les données mêmes du
problème
, c’est-à-dire chercher à fonder l’union sur autre chose que les États
238
ose que les États-nations. Renoncer à résoudre le
problème
de l’union, c’est faire, en somme, ce que l’on fait actuellement, c’e
239
us profitables. Mais changer les données mêmes du
problème
de l’union pour le rendre soluble, c’est d’abord accepter de remettre
240
ur un autre plan que celui-là, précisément, où le
problème
se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est destiné à deven
241
rées Pour tenter de faire sentir le concret du
problème
tel que je l’ai découvert (après bien d’autres), voici un exemple véc
242
ibliographie des ouvrages consacrés en France aux
problèmes
de la région moderne comporte déjà une cinquantaine de volumes78 et u
243
ements de ces pays à étudier très sérieusement le
problème
de la régionalisation du territoire. On s’est aperçu que ce sous-déve
244
nvétérés (de gauche et de droite) ; e) enfin, des
problèmes
délicats, passionnés et passionnants, se trouvent posés par la dispar
245
eux, a) prendrait trop de temps, b) poserait des
problèmes
trop complexes pour les institutions communes, enfin c) reste subordo
246
! Vous risquez de tout saboter en compliquant le
problème
avec votre utopie ! » « On ne peut passer des nations souveraines aux
247
es projets d’Europe fédérale, dès qu’on aborde le
problème
de leur structure politique. C’est donc ce dernier groupe d’arguments
248
ante unité, ou au moins à l’uniformité ? C’est un
problème
d’éducation ou de recyclage qui va nous prendre au moins douze ans si
249
out de suite. Il nous faut apprendre à penser par
problèmes
et non par nations. Devant un problème donné (urbanisme, participatio
250
enser par problèmes et non par nations. Devant un
problème
donné (urbanisme, participation civique, université, par exemple), il
251
nisme : il serait facile de multiplier ce type de
problèmes
à résoudre au niveau communal, régional, national-fédéral et continen
252
partisans, c’est-à-dire détourner l’attention des
problèmes
réels — aliéner l’intérêt civique. Dans le cas sicilien, c’est réduir
253
salut à l’État, tel Guillaume Tell. 4. Le seul
problème
politique sérieux d’aujourd’hui est de défaire l’État-nation. Défaire
254
piège bourgeois. f) Vous tentez de dépolitiser le
problème
. Je réponds dans cet ordre fortuit. (Tout en notant que « la Jeunesse
255
se traduit dans la réalité du siècle. Prenons le
problème
majeur de l’écologie. C’est décidément la droite patronale qui est r
256
ont je traite ici. Elle me paraît indépendante du
problème
de l’État-nation, et c’est même tout ce qu’elle peut nous apprendre à
257
s classes ? En URSS d’abord. Vous me dites que le
problème
là-bas ne se pose plus, puisque le Prolétariat est au pouvoir, s’étan
258
éenne103. f) « Vous voulez donc dépolitiser les
problèmes
? » Oui, si la politique est le jeu des partis et des États-nations é
259
ner des solutions, que nous jugions fausses, à ce
problème
fondamental que les démocraties ne voyaient même pas : le problème de
260
tal que les démocraties ne voyaient même pas : le
problème
de la communauté. La révolte des étudiants, de Berkeley à Paris en pa
261
iques et socioéconomiques qui crée la plupart des
problèmes
culturels, dont nous avons à traiter ici et que nous allons énumérer.
262
à traiter ici et que nous allons énumérer. II.
Problèmes
culturels des régions frontalières 1. On se bornera à un ou deux e
263
deux exemples de chacun des groupes principaux de
problèmes
observés : langues, enseignement aux trois degrés et formation techni
264
nes administrations soient mis en doute »107. Des
problèmes
similaires se posent aux Valdotains et Piémontais de langue française
265
mêmes entraves nationalistes. Il n’y a pas là de
problèmes
sérieux. On a beau répéter que la musique ne connaît pas de frontière
266
ésion nationale ». III. Les frontières Les
problèmes
qu’on vient d’évoquer sont créés par les frontières. Et ce sont les f
267
se nouera entre les régions. 3. Les solutions aux
problèmes
énumérés sous II. seront à chercher dans le cadre régional, et non pa
268
t-à-dire entre capitales, ne peut qu’étouffer les
problèmes
ou les rendre explosifs. (De même que le centralisme autoritaire étou
269
nons-le, d’autant plus que l’actualité englobe le
problème
européen et que la régionalisation de nos pays ne serait même pas con
270
e la commune à l’Europe par la région Tous les
problèmes
régionaux — qu’ils soient économiques, écologiques ou éducatifs — son
271
cologiques ou éducatifs — sont liés en fait à des
problèmes
continentaux. Une commune, une région, n’ont pas les moyens de recher
272
du dictateur). Partir d’en bas, c’est-à-dire des
problèmes
dans leur réalité humaine la plus proche de la personne, c’est en fai
273
heresse, ils révéleront à beaucoup l’existence du
problème
régional, les vraies dimensions de sa problématique, et la richesse d
274
plication variant, en fait et en droit, selon les
problèmes
». On vient de lire tout cela dans le Rapport J. André. Quant à moi,
275
lle de l’ensemble des communes pour lesquelles un
problème
fonctionnel se posera, et qui choisiront d’adhérer au syndicat interc
276
s cas, ce syndicat sera suprafrontalier, comme le
problème
qui l’aura suscité. Il va de soi, également, à mes yeux tout au moins
277
onstruction européenne, ou à la présentation d’un
problème
culturel européen comme les universités, ou la presse et les media ;
278
nstruments capables de résoudre virtuellement ces
problèmes
économiques et commerciaux, on a vu que cela ne suffisait pas. Restau
279
on s’est aperçu que tout cela posait aussitôt des
problèmes
encore plus difficiles. Le succès même de l’effort industriel provoqu
280
et peut-être suprême raison de faire l’Europe. Le
problème
de l’Europe aujourd’hui résume ainsi tous les problèmes de notre soci
281
ème de l’Europe aujourd’hui résume ainsi tous les
problèmes
de notre société, et les repose. Vous voyez qu’il déborde largement e
282
n, d’un autre plan que celui-là, justement, où le
problème
se révèle insoluble. Il faut partir des réalités en train de se faire
283
ites régions et de grandes unions. Position du
problème
régional Claude Lévi-Strauss écrivait récemment : « On peut se dem
284
nt amené la plupart des pays européens à poser le
problème
régional. Que ces motifs soient de nature ethnique ou économique, lin
285
to-national et dépasser ce modèle périmé. Mais le
problème
n’est pas seulement spéculatif et prospectif ! Il est posé en vrac, e
286
à l’autre. Tous nos États ont à faire face à des
problèmes
régionaux de nature très diverse, ethniques ou sociaux, économiques o
287
n fréquente. Motifs ethniques d’abord. Il y a les
problèmes
linguistiques du Sud-Tyrol et de l’Alsace, de la grande Occitanie ou
288
ction générale de la politique régionale. Mais un
problème
d’une portée politique beaucoup plus décisive est posé par les région
289
hapelle–Maastricht–Liège, etc., etc. Désormais le
problème
est posé officiellement, par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de
290
tions. Justement pas ! C’est repérer une série de
problèmes
et de réalités dont chacune définit une région réelle, selon sa fonct
291
oisines par une frontière nationale. Cela pose le
problème
d’une région genevoise, ou plutôt, de plusieurs régions genevoises qu
292
nt possibles ou souhaitables, selon la nature des
problèmes
posés : — les quelque 20 000116 travailleurs français qui viennent t
293
u par de futures centrales nucléaires : autant de
problèmes
écologiques qui ne connaissent pas de frontières politiques, et qui a
294
égionales dans un cadre continental. — enfin, les
problèmes
de l’enseignement aux trois degrés, de la formation professionnelle e
295
par Lausanne et Grenoble, Fribourg et Genève. Le
problème
est partout le même : comment résoudre ces difficultés concrètes en d
296
s générales au plan européen, débattront de leurs
problèmes
communs, et arrêteront d’un commun accord des mesures correspondant à
297
que j’ai tenté de vous faire sentir, c’est que le
problème
européen dépasse largement les problèmes discutés dans la presse sous
298
st que le problème européen dépasse largement les
problèmes
discutés dans la presse sous cette rubrique. Il résume en réalité tou
299
ous cette rubrique. Il résume en réalité tous les
problèmes
de notre société, et c’est à ce titre qu’il doit être considéré par l
300
e son union, et plus encore, des régions. Tout le
problème
politique, social, culturel, économique, écologique de l’Europe — et
301
bles. Ainsi Georg Picht : Comme aucun des grands
problèmes
mondiaux ne peut être résolu dans un cadre national, la raison exige
302
niser — contre l’avis de ses conseillers — sur le
problème
des régions. Ma thèse : le problème des régions lui offrait un point
303
lers — sur le problème des régions. Ma thèse : le
problème
des régions lui offrait un point de chute idéal. Le paladin de l’Euro
304
nement totalitaire que l’on subit. La position du
problème
me paraît fausse, non pas seulement parce que le capitalisme (libéral
305
e second cas est évidemment celui des régions, du
problème
régional. En tant qu’il est discuté en public, le problème ne date gu
306
régional. En tant qu’il est discuté en public, le
problème
ne date guère que des années soixante de ce siècle. La bibliographie
307
nts, conseils de la recherche — la consistance du
problème
ou son sérieux scientifique. Et cela suffit encore moins à établir sa
308
y a sans doute ici plusieurs spécialistes de ces
problèmes
qui pourraient être tentés de croire que les raisons de faire des rég
309
tifique. Eh bien non ! Les régions ne sont pas un
problème
scientifique d’abord, mais politique. Pas un problème logique, théori
310
lème scientifique d’abord, mais politique. Pas un
problème
logique, théorique, économétrique d’abord, mais un problème civique d
311
ogique, théorique, économétrique d’abord, mais un
problème
civique d’abord, social, psychologique, éthique avant toute chose. La
312
olonté humaine. C’est donc sur l’argumentation du
problème
régional que je voudrais centrer mes réflexions. À la question Pourqu
313
disponibles et de ses virtualités frustrées. Les
problèmes
écologiques, économiques, énergétiques, éducatifs, sociaux et culture
314
Trieste. Et cela tient au fait que les données du
problème
général des régions dans le cadre de l’État-nation (plus ou moins cen
315
et on ressent immédiatement que les solutions aux
problèmes
qu’on vient de citer sont rendues difficiles ou impossibles du simple
316
la frontière, non maîtrisés par l’État central ;
problèmes
de production locale et de distribution d’énergie, rendus insolubles
317
formation professionnelle ; tout cela définit le
problème
des régions frontalières. Mais ce n’est pas seulement l’inadéquation
318
distribution de l’énergie. C’est probablement le
problème
des frontaliers, c’est-à-dire des ouvriers et employés résidant dans
319
ommission s’est donné un programme qui déborde le
problème
des frontaliers et s’étend déjà, prudemment, vers les domaines de l’e
320
sont inscrits dans la logique des choses. Car les
problèmes
écologiques que la bipartition nationale du bassin lémanique a empêch
321
enablement, sont plus graves à long terme que les
problèmes
de l’emploi. Le Léman, au milieu duquel passe la frontière, est morte
322
e principale de l’aéroport de Cointrin ! Tous ces
problèmes
concrets, quotidiennement vécus, et le fait aisément vérifiable que s
323
aquelle il n’est pas une vraie personne, c’est le
problème
central de notre temps. Les régions fonctionnelles, d’aires diverses
324
rmes les plus propres, me semble-t-il, à poser le
problème
fondamental de toute prospective. Il serait facile d’en déduire un so
325
composition de faits passés, opérée à partir des
problèmes
du présent ; une espèce d’utopie à rebours, d’anticipation à rebours,
326
plus de rentabilité à prendre en compte. Le seul
problème
étant de gagner la guerre à n’importe quel prix financier ou humain,
327
et tout en est venu, ou presque. Paul Valéry Le
problème
des relations Europe-Monde m’a souvent occupé depuis deux décennies.
328
t par malentendu ? II. Approche proposée Le
problème
des relations entre l’Europe et le Monde (tiers et quart-monde) est t
329
ou à l’heure des toasts, on cite bien entendu les
problèmes
culturels, dont l’importance, assure-t-on, ne saurait être sous-estim
330
donc, à bref délai, de bombes atomiques, pose le
problème
de la survie du genre humain au-delà du xxe siècle. En effet, le dog
331
ns, ni à résoudre le complexe systémique de leurs
problèmes
économiques-écologiques-civiques, au prix de l’abandon de leurs sacro
332
ral deux parties. Pour la partie Mélanges, pas de
problèmes
. Chacun donne un essai, un poème, un chapitre de livre en train, qui,