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ue l’État doit être fort pour servir fortement le
Prolétariat
, lequel ne manquera pas de s’en emparer un jour — après quoi, logique
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ue le problème là-bas ne se pose plus, puisque le
Prolétariat
est au pouvoir, s’étant approprié les moyens de production. Bien. Mai
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ique ou morale des bourgeois ? ou la dictature du
prolétariat
? Ou bien ne faites-vous que répéter un mot d’ordre du siècle passé ?
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que veut le Parti, et qu’il appelle dictature du
Prolétariat
. C’est vouloir quelque chose d’impossible, car ce slogan est le type
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remplaçant ses termes par leur définition. Si le
Prolétariat
est la classe non possédante, aliénée de ce fait, il cesse d’être Pro
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n possédante, aliénée de ce fait, il cesse d’être
Prolétariat
dès l’instant qu’il accède au pouvoir et à la propriété des moyens de
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uvoir et à la propriété des moyens de production.
Prolétariat
et dictature sont des termes contradictoires ou mutuellement exclusif
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prolétarienne, la dictature comme l’esclavage du
prolétariat
étant également des consolidations de l’oppression technique dont sou
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définit comme un jacobin lié à l’organisation du
prolétariat
, relève (non sans indignation) Rosa Luxembourg, en 1904 déjà ! 98.
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emiers à le voir et à l’écrire : « Le triomphe du
prolétariat
ne le rend pas maître absolu de la société, car il ne peut triompher