1 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
1 utable : le concept de culture en soi, d’activité prospective de l’esprit non liée par les règles du sacré ou les décrets de la pol
2 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
2 ologues français d’aujourd’hui, spécialiste de la prospective , Jean Fourastié, disait il y a un an devant un colloque réunissant to
3 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
3 , linguistique ou géographique, traditionnelle ou prospective , ce qui est frappant, c’est qu’ils jouent tous dans le même sens. De
4 ais le problème n’est pas seulement spéculatif et prospectif  ! Il est posé en vrac, en termes concrets, mal comparables, voire con
4 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
5 r l’adhésion d’une majorité du corps social ». La prospective et la futurologie elles-mêmes en viennent enfin à considérer la possi
5 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
6 tre européen de la culture : « Deux études sur la prospective  », Genève, septembre 1975, p. 51-53.
6 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
7 Paradoxes de la prospective (automne 1975)dq dr Jouvenel observe une chose très simple : c’est
8 le-t-il, à poser le problème fondamental de toute prospective . Il serait facile d’en déduire un sophisme du gouvernement : — Si l’a
9 ance. Bon usage éventuel mais abus actuel de la prospective « scientifique » Les calculs prévisionnels sont utiles ou indispen
10 u’elles se vérifient. Ce n’est donc pas contre la prospective qu’il s’agit de nous mettre en garde, mais contre l’illusion fatalist
11 ent à l’ordinateur d’orienter notre politique. La prospective doit nous montrer la nécessité de choisir, et non pas faire le choix
12 s par la Rand Corporation. L’intime liaison de la prospective scientifique et de l’état de guerre ne peut manquer de jouer le rôle
13 passé récent : c’est le contraire d’une véritable prospective . Le court terme est seul calculable. Le long terme ne peut faire ress
14 ux seules lois du passé, et l’aliène. Pour une prospective intuitive L’avenir dépend de nos passions, pas de nos calculs. C’e
15 i de l’évolution humaine — et du même coup, de la prospective intuitive. Finalités et critères d’une prospective personnaliste
16 pective intuitive. Finalités et critères d’une prospective personnaliste La prospective que j’ai dite intuitive pourrait être
17 et critères d’une prospective personnaliste La prospective que j’ai dite intuitive pourrait être aussi bien baptisée subjective,
18 ure même, déshumanisé. On peut aussi nommer cette prospective personnaliste, parce qu’elle ne voit de sens possible à l’avenir que
19 erait qu’alibi des vocations reniées. De fait, la prospective n’aurait plus de raison d’être si l’on ne croyait plus à la liberté d
20 fs » de la technologie et du profit comptable. La prospective utile et significative ne peut donc être que libératrice (« Fais l’av
21 x dépens du devenir personnel. Les critères de ma prospective seront choisis comme idoines à mes fins133, et ne seront donc ni la r
22 culté d’imaginer et d’inventer. Car l’objet de la prospective n’est nullement de prévoir et de calculer des phénomènes indépendants
23 seth. dq. Rougemont Denis de, « Paradoxes de la prospective  », Bulletin du Centre européen de la culture : « Deux études sur la p
24 tre européen de la culture : « Deux études sur la prospective  », Genève, automne 1975, p. 30-43. dr. Une note liminaire précise qu