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bstacles à la fédération ne résident pas dans les
réalités
, mais bien dans la paresse des esprits et des cœurs. Pour aboutir à f
2
e pour chaque parti de chaque pays, et « voilà la
réalité
»… Si l’Europe n’est que cela, admettons en toute sobriété qu’il n’y
3
yen de son union économique et politique, est une
réalité
de civilisation, une réalité culturelle, — s’il est vrai que la cultu
4
t politique, est une réalité de civilisation, une
réalité
culturelle, — s’il est vrai que la culture est la prise de conscience
5
iné le monde pendant des siècles non point par la
réalité
de ses partis politiques mais bien par la vertu de ses inventions, no
6
ces inventions techniques, sans lesquelles les «
réalités
concrètes » dont on nous parle n’existeraient pas. C’est une culture.
7
sentiments, d’inquiétudes de l’esprit, qui est la
réalité
créatrice de tout le reste. Négliger la culture, la tenir pour un lux
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occupe de sa vie personnelle, avant de songer aux
réalités
électorales. Il demande que sa vie ait un sens. Qu’on lui en donne un
9
ce contact vital entre la culture générale et les
réalités
concrètes d’un coin de l’Europe. Ces foyers bien enracinés sont les c
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C. I. Comment se situe notre action dans la
réalité
européenne d’aujourd’hui ? Je rappellerai d’abord que le CEC est une
11
ccès que je viens d’indiquer, c’est-à-dire de nos
réalités
quotidiennes, d’autre part de la vaste ambition européenne qui a fait
12
tre part, le cadre national ne correspond pas aux
réalités
de la culture : celle-ci s’est toujours faite par un jeu de libre-éch
13
nesco) et non point mondiaux. 2. Centralisé. La
réalité
de la culture ne se trouve ni dans l’individu isolé, ni dans la natio
14
uer les organisations d’aide culturelle sur cette
réalité
de base. Partir d’en bas — non pas d’un centre trop élevé et trop abs
15
— ce problème va nous apparaître dans sa plus nue
réalité
. Comment rendre à notre culture, libératrice plus qu’aucune autre au
16
sormais en termes de coopération, à l’échelle des
réalités
du xxe siècle, c’est-à-dire à l’échelle des ensembles viables. Et en
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à renverse des gouvernements. C’est une preuve de
réalité
, quoique négative. Mais c’est peu, ou ce n’est rien, si cette réalité
18
ative. Mais c’est peu, ou ce n’est rien, si cette
réalité
naissante reste incapable d’instituer un Pouvoir nouveau, conforme au
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ver par une union qui ferait de l’Europe, dans la
réalité
vivante, ce qu’elle n’est aujourd’hui que dans l’arithmétique. Que ma
20
e à l’union ? Ces souverainetés ont-elles quelque
réalité
et consistance, en dehors des débats où elles figurent comme prétexte
21
pour ceux qui en sont victimes, de s’adapter aux
réalités
changeantes du siècle, et même de les apercevoir. D’où la prise qu’il
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pour l’idée européenne était faite. Examinons les
réalités
que cachaient ces deux illusions. I. À un moment ou à un autre, nous
23
Action sur les esprits d’abord, comme le veut la
réalité
du xxe siècle. Il est très remarquable en effet que, dans ce siècle,
24
. Mais il y a plus. Si la détente se manifeste en
réalités
, et non pas seulement en déclarations, les échanges culturels vont re
25
es lentes et difficiles périodes d’adaptation aux
réalités
telles qu’elles sont, sans perdre pour autant son pouvoir d’entraînem
26
autant son pouvoir d’entraînement au-delà de ces
réalités
. La dernière assemblée générale de l’association des festivals, réuni
27
r de paix, à la faveur de sa double ignorance des
réalités
russes et staliniennes (ou post-staliniennes). Pour les intellectuels
28
de noblesse). Dès le début, l’État superpose à la
réalité
du peuple — indifférent et passif — ses structures dictatoriales et c
29
it l’expression organique d’une vaste et complexe
réalité
humaine. Disons, pour simplifier excessivement, que la méthode des au
30
imaginait et telles que la presse les décrit. Les
réalités
qu’il perçoit n’ont rien de commun avec les grandes fictions qu’il re
31
r pour but d’informer ce jeune homme au sujet des
réalités
du monde dans lequel il vit, et dans lequel il se prépare à courir so
32
i feront et vivront notre fédération. Il va de la
réalité
mondiale à celle de la commune et de l’individu. Mais le mouvement in
33
ines à grand tirage, en France, tels que Match et
Réalités
, publient des appels à l’union qui ont l’éloquence urgente des faits
34
de se douter qu’elles ne correspondent plus à la
réalité
ou qu’elles sont de purs et simples préjugés. Selon la nation dans la
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se propose de préparer le terrain, d’éclairer les
réalités
qui comptent vraiment, et de situer l’Europe et ses problèmes dans le
36
et pour méthode, de constater et de rappeler les
réalités
les plus significatives du temps. Au lieu d’objurgations éloquentes,
37
ccident moderne (et non pas à la féodalité). — La
réalité
et les mythes du communisme soviétique, version brutalement simplifié
38
t jamais être obtenu par la suppression d’une des
réalités
antinomiques, ni par son triomphe isolé. jacobins et réactionnaires,
39
cul antinomique. Si l’on n’arrive pas à penser la
réalité
physique, sociale, psychologique et politique, par paires ou pluralit
40
erkegaard, puis Nietzsche, redécouvraient que les
réalités
religieuses et philosophiques n’existent pas hors des contradictions
41
tant d’autres, une histoire de l’Europe dans ses
réalités
politiques ou économiques. Il entend seulement nous donner une histoi
42
r là rendra d’autres services aux étudiants de la
réalité
européenne qu’un Spengler, un Toynbee, un Keyserling, voire un Ortega
43
’au-delà du monde technique, comme avant lui, les
réalités
spirituelles sont la « vraie vie » dont parlait Rimbaud, trois fois c
44
araissent particulièrement incompatibles avec les
réalités
de la culture créatrice telle que l’on vient de les décrire. D’où la
45
que la personne, telle que je la définis, est une
réalité
dialectique par définition : elle est la résultante de deux tendances
46
la mesure où vous serez vous-mêmes sensibles à la
réalité
spirituelle, dialectique, antinomique, dynamique de la personne. Ces
47
lidaire. Le But étant donc la personne, c’est la
réalité
sentie de la personne qui doit nous inspirer les moyens de le rejoind
48
visme et les institutions du pays par rapport aux
réalités
quotidiennes, sociales et économiques, aux principes et idéaux qui in
49
ès les premières phrases, je me sens jeté dans la
réalité
vivante du civisme. Nos manuels commencent par définir l’État et ses
50
s dans son pays aux programmes existants : 1° Les
réalités
économiques sont encore trop négligées ; or, sans connaissances écono
51
ion civique ne tienne pas un compte suffisant des
réalités
économiques ! Mais il est clair aussi que, dans ces conditions, le ci
52
les dirigeants anglais, étrangement ignorants des
réalités
de l’Est, que le fait polonais peut revêtir une certaine importance p
53
mme un simple exercice dans son apprentissage des
réalités
européennes. Exil en Espagne Cependant, ces activités d’agent p
54
ies trop vastes. Elles ne correspondent pas à des
réalités
culturelles suffisamment définies ou homogènes pour pouvoir dialoguer
55
frique noire, c’est-à-dire ne correspond plus aux
réalités
du xxe siècle. Les régions culturelles qui constituent de nos jours d
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acilitant leurs contacts et leur connaissance des
réalités
humaines et des problèmes de la région. 3. Relais, « clearing hous
57
itiques et nos inégalités économiques, il y a des
réalités
beaucoup plus durables et profondes, qui sont nos cultures au sens la
58
croire, de légiférer, de rêver et d’agir. Or ces
réalités
qu’on peut appeler culturelles sont les sources profondes des grands
59
e, économique et social. La méconnaissance de ces
réalités
« culturelles » est ce qui empêche le plus souvent nos négociateurs,
60
ure dans chacune des régions différentes et cette
réalité
objective qu’est devenue la technique. Première forme du dialogue, pr
61
eulent toutes « fondées sur le terrain solide des
réalités
». Leur unanimité fondamentale devrait-elle nous rendre optimistes su
62
ont imposées d’une manière assez arbitraire à des
réalités
économiques, linguistiques et culturelles qui n’ont pas du tout les m
63
de sortir de ce sophisme théorique opposant deux
réalités
encore à naître. Le moyen pratique d’en sortir nous a paru de nous ap
64
’Europe politiquement unie pourrait revenir à ses
réalités
géographiques, pourrait recommencer une vie mieux aménagée (mot à la
65
e le dogme de l’Incarnation (reconnaissance de la
réalité
de la matière et du corps, où Dieu se manifeste) et le développement
66
esthéticiens, laisse tout de même muettes trop de
réalités
précieuses, affectives et personnelles, essentielles au sens de nos v
67
riental » : dans quelle mesure traduisent-ils des
réalités
, et dans quel contexte faut-il les replacer ? Enfin, la question des
68
ois conduit à reprendre la définition de ces deux
réalités
. Je voudrais vous montrer comment, si elles sont bien comprises, elle
69
il faut maintenant la faire exister au niveau des
réalités
politiques, afin que l’Europe puisse tenir sa juste place dans la com
70
éen de la culture. Cela ne correspondrait ni à la
réalité
historique (aucun pays, comme tel, ne s’est jamais préoccupé de faire
71
téraire, à l’on ne sait quel pool idéal), ni à la
réalité
de la création littéraire, qui est toujours le fait d’un individu (ce
72
guérir s’il veut se conformer à la vérité et à la
réalité
de son objet. Quand il faut caractériser en peu de mots une œuvre, un
73
i s’oppose à cela, dramatiquement, et que cette «
réalité
fondamentale du siècle », que serait la nation, est précisément celle
74
pneumonie » ? Autre chose est de constater que la
réalité
politique de notre temps est encore la nation, autre chose est d’affi
75
Le cancer et les maladies mentales sont aussi des
réalités
importantes de notre temps, mais je ne pense pas que le réalisme cons
76
ent une inadaptation morbide de l’État-nation aux
réalités
politiques, économiques, techniques et démographiques de notre temps.
77
conquis, déclarées « frontières naturelles », les
réalités
les plus hétérogènes : langues parlées dans les villes et richesses d
78
rammes scolaires et fiscalité, idéal politique et
réalités
industrielles, et les régir à partir d’un centre unique de décision,
79
sur ce qui est destiné à devenir demain la vraie
réalité
de notre société, et je vais désigner par là une unité d’un type nouv
80
t la police, se détachent maintenant les régions,
réalités
absolument modernes. Ce ne sont pas les provinces de l’Ancien Régime,
81
is douteuses et ses accidents trop certains ; les
réalités
ethniques sous-jacentes ou renaissantes, ici en voie d’extinction, et
82
oie d’extinction, et là, de réveil agressif ; les
réalités
culturelles, universités, centres de formation des cadres, laboratoir
83
e rigide de frontières identiquement imposées aux
réalités
les plus hétérogènes, comme par exemple la langue, l’économie, l’état
84
tières politiques et administratives imposées aux
réalités
ethniques et économiques, les régions vont très rapidement se dessine
85
leurs affinités, selon leur voisinage, selon les
réalités
nouvelles qui les auront formées, par-dessus les anciennes frontières
86
de là leurs libertés — sera-t-elle fondée sur des
réalités
en plein essor, non sur des vieilles carcasses historiques et des myt
87
e longue période de mise en place silencieuse des
réalités
de la région, puis d’expériences concertées, et celles-ci connaîtront
88
ornes sacrées, d’attachement au sol, bref par les
réalités
et les valeurs de la paysannerie — qui brusquement font place aux réa
89
e la paysannerie — qui brusquement font place aux
réalités
et aux valeurs de la société industrielle, scientifico-technique, ess
90
sa réalisation la plus authentique au niveau des
réalités
interrégionales. Pour un Tableau de l’Europe des régions La per
91
un exécutif fédéral une Europe « faite » dans les
réalités
. Ce jour-là, une dernière « explication » sera peut-être nécessaire a
92
fédérations interétatiques) du xixe siècle. Les
réalités
de l’Europe des cent régions et les nécessités de l’administration po
93
bleau des régions de l’Europe qui décrirait leurs
réalités
actuelles et virtuelles, recenserait leurs ressources, prendrait la m
94
politiques et des citoyens alertés une Europe des
réalités
, insoupçonnée, et par-là même, la possibilité, voire l’imminence d’un
95
éclare souverain. — Cette superposition forcée de
réalités
radicalement hétérogènes constitue l’unité nationale, terme absolu de
96
). La réduction proprement insensée de toutes les
réalités
humaines (spirituelles et physiques, culturelles et économiques) à un
97
ismes. Je demande seulement qu’il corresponde aux
réalités
humaines et qu’il les serve, au lieu de prétendre à les régir en souv
98
lyser quelques « prises » opérées sur l’immédiate
réalité
civique européenne, dans l’espoir de serrer de plus près le sens de q
99
bourgeois, voyons comment cela se traduit dans la
réalité
du siècle. Prenons le problème majeur de l’écologie. C’est décidémen
100
implement ! Eh bien, la lutte des classes est une
réalité
très différente de celle dont je traite ici. Elle me paraît indépenda
101
r derrière l’écran de ce pseudo-concept, c’est la
réalité
de la dictature, indépendante de toute idéologie et qui ne peut être,
102
politique en soi est-elle imaginable ? Toutes les
réalités
sérieuses une fois déduites, que reste-t-il ? Les jeux, plus ou moins
103
vocables, sont d’effet nul sur les actions et les
réalités
proprement politiques d’aujourd’hui. Prenons l’exemple des réalités é
104
t politiques d’aujourd’hui. Prenons l’exemple des
réalités
écologiques. Dès lors que les hypothèses calculées sur les trois proc
105
randeurs nationales soient seules enseignées, les
réalités
régionales étant systématiquement oblitérées ou frappées d’interdit,
106
ons éhontées des faits. Ainsi l’ignorance sur les
réalités
immédiates est générale. 3. La presse, la radio, la TV La diffusion
107
rontière fixe, un même territoire « sacré » à des
réalités
hétérogènes par nature, et qui ne sont superposables ni dans l’espace
108
des rythmes de changement auxquels obéissent les
réalités
susceptibles de définir des régions : l’économie, l’ethnie et la volo
109
non-coïncidence des limites administratives, des
réalités
ethniques et des dynamismes économiques, n’est que la traduction du d
110
re et la géographie sont à reprendre à partir des
réalités
proches de l’élève, donc régionales, alors qu’elles sont axées depuis
111
s’il n’y avait l’horizon européen. Enseigner les
réalités
de la région et l’idéal de l’Europe au lieu des mythes de l’État-nati
112
fficiels, lesquels tablaient sur l’effacement des
réalités
régionales et souvent même en proscrivaient l’étude, voire la seule m
113
concrète de l’économie ferait voir à tous que les
réalités
, dans ce domaine, sont régionales et continentales, mais non pas stat
114
ir d’en bas, c’est-à-dire des problèmes dans leur
réalité
humaine la plus proche de la personne, c’est en fait partir des commu
115
omme dans la cité. Pour les politiciens, la seule
réalité
est celle de l’État-nation, tel qu’ils l’ont apprise à l’école — et c
116
st pas simple prétexte à refuser de s’adapter aux
réalités
du xxe siècle. Les politiciens courtisent l’État central pour qu’il
117
lus souple et plus réaliste puisque plus près des
réalités
et, en définitive, première dans le processus de concertation ». Le R
118
s à peu près vierges de toute information sur les
réalités
du xxe siècle, qui ne savent pas qu’il faut faire l’Europe, ou qui n
119
problème se révèle insoluble. Il faut partir des
réalités
en train de se faire. Et nous voyons qu’elles sont d’une part contine
120
a fois trop petite et trop grande par rapport aux
réalités
du monde actuel. Voilà le thème central de la critique fédéraliste de
121
é, imposant les mêmes limites territoriales à des
réalités
aussi hétéroclites que la langue parlée à la surface du sol et le min
122
des traités, et qui ne correspondent plus à nulle
réalité
ni ethnique ni économique. Sur toutes les frontières de tous nos État
123
pas ! C’est repérer une série de problèmes et de
réalités
dont chacune définit une région réelle, selon sa fonction. Prenons l’
124
ondes. Une génération éduquée en accord avec les
réalités
d’aujourd’hui, et non pas avec les mythes nationaux, sera seule capab
125
es politiciens, mais situées sur un autre plan de
réalités
. Dès 1932, le groupe personnaliste de L’Ordre nouveau 117 se livre à
126
e voyez pas ? On nous répète qu’ils sont la seule
réalité
… Nous voici donc contraints et acculés à l’invention de formes neuves
127
nvient, avant de s’en occuper, de s’assurer de sa
réalité
. Le second cas est évidemment celui des régions, du problème régional
128
toute chose. La question n’est pas d’étudier une
réalité
donnée, telle qu’elle est, mais de construire une réalité habitable,
129
donnée, telle qu’elle est, mais de construire une
réalité
habitable, telle que des hommes seuls peuvent la faire devenir. Les r
130
amais de région, que la région ne sera jamais une
réalité
pour celui qui ne veut pas la faire ; ou pour celui qui n’accepterait
131
eux types de réponses possibles : — à partir des
réalités
locales qui exigent la région ; — à partir de la crise mondiale qui e
132
ans doute : — à partir de l’homme lui-même, de sa
réalité
morale, à partir de la dégradation de toute existence communautaire q
133
otre question, je la formulerai donc à partir des
réalités
les plus proches : de mon environnement, de mon milieu humain, de ses
134
l’inadéquation de la formule stato-nationale aux
réalités
économiques, sociales et culturelles du xxe siècle qui se « déclare
135
nement, sont en train de prendre conscience de la
réalité
possible et vivement souhaitable d’une région écologique d’un seul te
136
acun peut vérifier. Pour qui voit et comprend les
réalités
locales, la leçon est claire : il faut susciter la région pour que la
137
ème réponse possible à la question : à partir des
réalités
mondiales, de la crise globale et des leçons qui en découlent à l’évi
138
s de la délinquance universelle. Car, au-delà des
réalités
locales et derrière la crise mondiale il y a le danger, bien plus gra
139
chacune ayant pour extension le territoire de sa
réalité
— ne naîtront pas de nos modèles, mais bien de la nécessité de recrée
140
main leurs affaires communes — qu’il s’agisse de
réalités
culturelles ou énergétiques, écologiques ou sociales. Et voilà qui re
141
in d’introduire dans le modèle quelques bribes de
réalité
d’un futur calculable à coup sûr, tout comme le magicien mêle à la gl
142
t tombés d’accord sur deux points décisifs : — la
réalité
, l’ampleur et l’urgence des dangers — le respect absolu des souverain